La visión de lo que le rodea se empequeñece, el sol le parece una antorcha vil, digna apenas de ocupar un sitio en un rincón de su regia alcoba. El delirio del orgullo lo posee. El vértigo se apodera de él, su pecho se hincha, sus sienes laten y de sus ojos brotan rayos tan intensos como los del astro hacia el que alarga la diestra, queriendo asirle y detenerle en su carrera triunfal. Por un momento permanece así, transfigurado, en un paroxismo de infinita soberbia, oyendo resonar aquella voz que le hablara en sueños:
Traduction temporaire :
La vision de ce qui l'entoure rapetisse , le soleil lui semble une torche vile, à peine digne d'occuper une place dans un coin de son alcôve royale. Le délire de l’orgueil le possède. Le vertige s'empare de lui, sa poitrine se gonfle, ses tempes battent et de ses yeux jaillissent des rayons aussi intenses que ceux de l'astre vers lequel il tend la main, voulant le saisir et le retenir dans sa course triomphale. Pendant un moment, il reste ainsi, transfiguré, dans un paroxysme d'un orgueil infini, entendant résonner cette voix qui lui parlerait dans ses rêves :
La vision de ce qui l'entoure rapetisse , le soleil lui semble une torche vile, à peine digne d'occuper une place dans un coin de son alcôve royale. Le délire de l’orgueil le possède. Le vertige s'empare de lui, sa poitrine se gonfle, ses tempes battent et de ses yeux jaillissent des rayons aussi intenses que ceux de l'astre vers lequel il tend la main, voulant le saisir et le retenir dans sa course triomphale. Pendant un moment, il reste ainsi, transfiguré, dans un paroxysme d'un orgueil infini, entendant résonner cette voix qui lui parlerait dans ses rêves :
12 commentaires:
La vision de ce qui l'entoure se rapetisse, le sol lui semble être une torche vile, à peine digne d'occuper une place dans un coin de sa chambre royale. Il est possédé par un orgueil délirant. Le vertige s'empare de lui, sa poitrine se gonfle, ses tempes battent et de ses yeux jaillissent des rayons si intenses comme ceux de l'astre vers celui qui tend la main, voulant le saisir et le retenir dans sa carrière triomphale. Pendant un instant il reste ainsi, transfiguré, dans un paroxisme d'un orgeuil infini, entendant résonner cette voix qui lui parle dans ses rêves :
La vision de ce qui l'entoure se [j'hésite…] rapetisse, le sol [FS] lui semble être [nécessaire ?] une torche vile, à peine digne d'occuper une place dans un coin de sa chambre [littéral] royale. Il est possédé par un orgueil délirant [pas possible de revenir plus près de la V.O. ?]. Le vertige s'empare de lui, sa poitrine se gonfle, ses tempes battent et de ses yeux jaillissent des rayons si intenses comme [si comme = grammaire] ceux de l'astre vers celui qui tend la main, voulant le saisir et le retenir dans sa carrière [FS ; attention de bien ouvrir le dico pour faire des vérifications] triomphale. Pendant un instant [texte ; moment et instant, ça n'est pas exactement la même chose] il reste ainsi, transfiguré, dans un paroxisme [ortho] d'un orgeuil [oryho] infini, entendant résonner cette voix qui lui parle [temps du texte ?] dans ses rêves :
La vision de ce qui l'entoure se rapetisse, le soleil lui semble une torche vile, à peine digne d'occuper une place dans un coin de sa chambre royale. Un orgueil délirant le possède. Le vertige s'empare de lui, sa poitrine se gonfle, ses tempes battent et de ses yeux jaillissent des rayons si intenses comme ceux de l'astre vers celui qui tend la main, voulant le saisir et le retenir dans sa course triomphale. Pendant un moment il reste ainsi, transfiguré, dans un paroxysme d'un orgueil infini, entendant résonner cette voix qui lui parlerait dans ses rêves :
La vision de ce qui l'entoure se [incorrect] rapetisse [soit « rapetisse » tout seul, soit quelque chose comme diminue], le soleil lui semble une torche vile, à peine digne d'occuper une place dans un coin de sa chambre [déjà commenté] royale. Un orgueil délirant [littéral ; revenez à la V.O.] le possède. Le vertige s'empare de lui, sa poitrine se gonfle, ses tempes battent et de ses yeux jaillissent des rayons si intenses comme ceux [Iris, je vois que vous ne tenez pas compte de mes commentaires précédents !] de l'astre vers celui qui tend la main, voulant le saisir et le retenir dans sa course triomphale. Pendant un moment il reste ainsi, transfiguré, dans un paroxysme d'un orgueil infini, entendant résonner cette voix qui lui parlerait dans ses rêves :
Bien sûr que si! C'est pour ça que j'ai corrigé les autres erreurs aussi. Pour quelques uns je trouve pas la solution immédiatement.
Ah bon ? Alors :
alcoba = alcove
D'accord
La vision de ce qui l'entoure rapetisse , le soleil lui semble une torche vile, à peine digne d'occuper une place dans un coin de son alcôve royale. Le délire de l’orgueil le possède. Le vertige s'empare de lui, sa poitrine se gonfle, ses tempes battent et de ses yeux jaillissent des rayons si intenses que ceux de l'astre vers celui qui tend la main, voulant le saisir et le retenir dans sa course triomphale. Pendant un moment il reste ainsi, transfiguré, dans un paroxysme d'un orgueil infini, entendant résonner cette voix qui lui parlerait dans ses rêves :
La vision de ce qui l'entoure rapetisse, le soleil lui semble une torche vile, à peine digne d'occuper une place dans un coin de son alcôve royale. Le délire de l’orgueil le possède. Le vertige s'empare de lui, sa poitrine se gonfle, ses tempes battent et de ses yeux jaillissent des rayons si [« aussi »] intenses que ceux de l'astre vers celui qui [CS ou incorrect] tend la main, voulant le saisir et le retenir dans sa course triomphale. Pendant un moment [virgule] il reste ainsi, transfiguré, dans un paroxysme d'un orgueil infini, entendant résonner cette voix qui lui parlerait dans ses rêves :
La vision de ce qui l'entoure rapetisse , le soleil lui semble une torche vile, à peine digne d'occuper une place dans un coin de son alcôve royale. Le délire de l’orgueil le possède. Le vertige s'empare de lui, sa poitrine se gonfle, ses tempes battent et de ses yeux jaillissent des rayons aussi intenses que ceux de l'astre vers lequel il tend la main, voulant le saisir et le retenir dans sa course triomphale. Pendant un moment, il reste ainsi, transfiguré, dans un paroxysme d'un orgueil infini, entendant résonner cette voix qui lui parlerait dans ses rêves :
La vision de ce qui l'entoure rapetisse , le soleil lui semble une torche vile, à peine digne d'occuper une place dans un coin de son alcôve royale. Le délire de l’orgueil le possède. Le vertige s'empare de lui, sa poitrine se gonfle, ses tempes battent et de ses yeux jaillissent des rayons aussi intenses que ceux de l'astre vers lequel il tend la main, voulant le saisir et le retenir dans sa course triomphale. Pendant un moment, il reste ainsi, transfiguré, dans un paroxysme d'un orgueil infini, entendant résonner cette voix qui lui parlerait dans ses rêves :
OK.
Medea ?
Oui ok pour moi :-)
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