Mientras masticaba el wayranto y sentía su sabor áspero de ave voladora, la escuché hablarme de la ciudad sumergida que latía bajo el agua. Mi apego a los datos obje tivos pudo más que mi deseo y la contrarié: afirmé que en aquel lago no había ningún rastro de ciudades tragadas por el agua; que lo que sí fue ese lago alguna vez, fue un volcán, que erupcionó con tal potencia que se consumió hasta sus bases, por completo.
—¿Pero quién te asegura que antes de llenarse de agua, no estuvo habitado por gente? —me desafió ella.
—Eso es imposible —repuse con énfasis.
—Nada es imposible —replicó.
Traduction temporaire :
Alors que je mastiquais le wayranto et sentais son goût âpre de volaille, je l'écoutai me parler de la ville enfouie qui battait sous l'eau. Mon attachement aux données objectives fut plus fort que mon désir et je la contredis, arguant qu'il n'y avait aucune trace de villes englouties dans ce lac ; ce qui avait bien existé un jour, c'est un volcan qui était entré en éruption avec tant de puissance qu'il s'était entièrement consumé jusqu'à ses bases.
Traduction temporaire :
Alors que je mastiquais le wayranto et sentais son goût âpre de volaille, je l'écoutai me parler de la ville enfouie qui battait sous l'eau. Mon attachement aux données objectives fut plus fort que mon désir et je la contredis, arguant qu'il n'y avait aucune trace de villes englouties dans ce lac ; ce qui avait bien existé un jour, c'est un volcan qui était entré en éruption avec tant de puissance qu'il s'était entièrement consumé jusqu'à ses bases.
— Mais qui te dit qu'avant de se remplir d'eau, il n'a pas été habité par des gens ? me défia-t-elle.
— Impossible.
— Rien n'est impossible.
— Impossible.
— Rien n'est impossible.
4 commentaires:
Alors que je mastiquais le wayranto et sentais son goût âpre de volaille, je l'écoutai me parler de la ville enfouie qui battait sous l'eau. Mon attachement aux données objectives fut plus fort que mon désir et je la contredis : j'affirmai qu'il n'y avait aucune trace de villes englouties dans ce lac ; ce qu'il fut bien un jour, c'est un volcan qui entra en éruption avec tant de puissance qu'il se consuma entièrement jusqu'à ses bases.
— Mais qui te dit qu'avant de se remplir d'eau, il ne fut pas habité par des gens ? me défia-t-elle.
— C'est impossible, répondis-je.
— Rien n'est impossible, répliqua-t-elle.
Alors que je mastiquais le wayranto et sentais son goût âpre de volaille, je l'écoutai me parler de la ville enfouie qui battait sous l'eau. Mon attachement aux données objectives fut plus fort que mon désir et je la contredis : j'affirmai [« , arguant »] qu'il n'y avait aucune trace de villes englouties dans ce lac ; ce qu'il fut [mal dit] bien un jour, c'est un volcan qui entra en éruption avec tant de puissance qu'il se consuma entièrement jusqu'à ses bases.
— Mais [nécessaire ?] qui te dit qu'avant de se remplir d'eau, il ne fut [passé composé dans les dialogues] pas habité par des gens ? me défia-t-elle.
— C'est [nécessaire ?] impossible, répondis-je [supprime].
— Rien n'est impossible, répliqua-t-elle [supprime].
top le "arguant", merci :)
J'allais te dire que j'avais oublié "avec emphase" mais je suppose que ça part aussi avec "répondis-je" ?
J'aime bien le "mais", je le trouve très naturel à cette place et dans ce contexte.
Alors que je mastiquais le wayranto et sentais son goût âpre de volaille, je l'écoutai me parler de la ville enfouie qui battait sous l'eau. Mon attachement aux données objectives fut plus fort que mon désir et je la contredis, arguant qu'il n'y avait aucune trace de villes englouties dans ce lac ; ce qui avait bien existé un jour, c'est un volcan qui était entré en éruption avec tant de puissance qu'il s'était entièrement consumé jusqu'à ses bases.
— Mais qui te dit qu'avant de se remplir d'eau, il n'a pas été habité par des gens ? me défia-t-elle.
— Impossible.
— Rien n'est impossible.
Alors que je mastiquais le wayranto et sentais son goût âpre de volaille, je l'écoutai me parler de la ville enfouie qui battait sous l'eau. Mon attachement aux données objectives fut plus fort que mon désir et je la contredis, arguant qu'il n'y avait aucune trace de villes englouties dans ce lac ; ce qui avait bien existé un jour, c'est un volcan qui était entré en éruption avec tant de puissance qu'il s'était entièrement consumé jusqu'à ses bases.
— Mais qui te dit qu'avant de se remplir d'eau, il n'a pas été habité par des gens ? me défia-t-elle.
— Impossible.
— Rien n'est impossible.
OK.
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