En semicírculo, nosotras comentábamos la actitud sumisa y obediente del caballo, y después de proporcionarnos ese espectáculo, se alejaban con un trote lento. El lado resplandeciente de la madre desaparecía, y sólo nos quedaba el menos familiar, el más austero. Al acercarse a los primeros álamos que limitaban la quinta, recién sentíamos que algo nos faltaba. La barba rojiza de mi padre era lo único que divisábamos. Ahora sé que el otro lada de la madre, el luminoso, iba muy cerca suyo.”
Traduction temporaire :
En demi-cercle, nous commentions l’attitude soumise et obéissante du cheval. Après nous avoir offert ce spectacle, ils s’éloignaient au petit trot.
Le côté resplendissant de la mère disparaissait, et il ne nous restait plus que celui qui nous était moins familier, le plus austère. En nous approchant des premiers peupliers qui délimitaient le domaine, nous sentions soudain que quelque chose nous échappait. La barbe rousse de mon père était la seule chose que nous distinguions. Je sais maintenant que l’autre côté de la mère, le côté lumineux, était tout près du sien. »
Le côté resplendissant de la mère disparaissait, et il ne nous restait plus que celui qui nous était moins familier, le plus austère. En nous approchant des premiers peupliers qui délimitaient le domaine, nous sentions soudain que quelque chose nous échappait. La barbe rousse de mon père était la seule chose que nous distinguions. Je sais maintenant que l’autre côté de la mère, le côté lumineux, était tout près du sien. »
7 commentaires:
En demi-cercle, nous commentions l’attitude soumise et obéissante du cheval, et après nous avoir offert ce spectacle, ils s’éloignaient lentement au trot.
Le côté resplendissant de la mère disparaissait, et il ne nous restait plus que celui qui nous était moins familier, le plus austère. En nous approchant des premiers peupliers qui délimitaient le domaine, nous sentions d’un coup qu’il nous manquait quelque chose. La barbe rousse de mon père était la seule chose que nous pouvions voir. Je sais maintenant que l’autre côté de la mère, le côté lumineux, était très proche de lui. »
En demi-cercle, nous commentions l’attitude soumise et obéissante du cheval, et [point à la place ?] après nous avoir offert ce spectacle, ils s’éloignaient lentement au trot [j'hésite… est-ce que vous ne changez pas légèrement le sens ?].
Le côté resplendissant de la mère disparaissait, et il ne nous restait plus que celui qui nous était moins familier, le plus austère. En nous approchant des premiers peupliers qui délimitaient le domaine, nous sentions d’un coup [mal dit ; assez oral + pas sûre de l'interprétation, au fait] qu’il nous manquait quelque chose. La barbe rousse de mon père était la seule chose que nous pouvions voir [pas exactement]. Je sais maintenant que l’autre côté de la mère, le côté lumineux, était très [« tout » ?] proche de lui [pas ce que dit la V.O.]. »
En demi-cercle, nous commentions l’attitude soumise et obéissante du cheval. Après nous avoir offert ce spectacle, ils s’éloignèrent d'un trot lent.
Le côté resplendissant de la mère disparaissait, et il ne nous restait plus que celui qui nous était moins familier, le plus austère. En nous approchant des premiers peupliers qui délimitaient le domaine, nous sentions soudain que quelque chose nous échappait. La barbe rousse de mon père était la seule chose que nous distinguions. Je sais maintenant que l’autre côté de la mère, le côté lumineux, était tout près de lui [je ne comprends absolument pas la fin de la phrase dans la VO]. »
En demi-cercle, nous commentions l’attitude soumise et obéissante du cheval. Après nous avoir offert ce spectacle, ils s’éloignèrent [temps ; comme dit en cours, l'imparfait ne se remplace pas par du passé simple] d'[? Vérifiez]un trot lent.
Le côté resplendissant de la mère disparaissait, et il ne nous restait plus que celui qui nous était moins familier, le plus austère. En nous approchant des premiers peupliers qui délimitaient le domaine, nous sentions soudain que quelque chose nous échappait. La barbe rousse de mon père était la seule chose que nous distinguions. Je sais maintenant que l’autre côté de la mère, le côté lumineux, était tout près de lui [je ne comprends absolument pas la fin de la phrase dans la VO]. »
L'idée, c'est que la mère embrasse le bonhomme… d'où l'importance de côté
En demi-cercle, nous commentions l’attitude soumise et obéissante du cheval. Après nous avoir offert ce spectacle, ils s’éloignaient au petit trot.
Le côté resplendissant de la mère disparaissait, et il ne nous restait plus que celui qui nous était moins familier, le plus austère. En nous approchant des premiers peupliers qui délimitaient le domaine, nous sentions soudain que quelque chose nous échappait. La barbe rousse de mon père était la seule chose que nous distinguions. Je sais maintenant que l’autre côté de la mère, le côté lumineux, était tout près du sien. »
En demi-cercle, nous commentions l’attitude soumise et obéissante du cheval. Après nous avoir offert ce spectacle, ils s’éloignaient au petit trot.
Le côté resplendissant de la mère disparaissait, et il ne nous restait plus que celui qui nous était moins familier, le plus austère. En nous approchant des premiers peupliers qui délimitaient le domaine, nous sentions soudain que quelque chose nous échappait. La barbe rousse de mon père était la seule chose que nous distinguions. Je sais maintenant que l’autre côté de la mère, le côté lumineux, était tout près du sien. »
OK.
Sarah ?
Je valide !
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