Diariamente era víctima de humillaciones por parte de los trabajadores.
Elena : j'aime bien « quotidiennement »… En général, tu sais que je vous donne la consigne d'éviter autant que possible les adverbes en -ment (assez lourds), mais là, non seulement nous en avons peu depuis le début (à moins que je ne me trompe), mais, surtout, je le trouve adapté.
Irène : - « subissait » ; oui, je crois que tu as raison. C'est bien… - En revanche, c'est Elena qui, à mon avis, a raison en ne mettant pas « les autres travailleurs » – d'une part ça n'apparaît pas en V.O., d'autre part, plus ennuyeux, cela suppose qu'il est un travailleur, donc un humain… ce qu'il a précisément été dit et répété qu'il n'était pas.
En résumé : il faut faire un mixte de vos deux propositions. J'attends de voir ce que ça donne.
"autres" est effectivement une erreur qui n'apparait pas sur mon texte initial: sans doute l'inconscient continuait-il à réfléchir sur la notion de "travailleur"de la phrase 11. J'étais partie sur quotidiennement et puis je l'ai trouvé lourd... Il subissait quotidiennement les humiliations des travailleurs. ?
Irène : je l'ai dit dans mon précédent commentaire : je suis d'accord sur la lourdeur des adverbes en -ment, mais là, il est adapté, précisément pour montrer la pénibilité de la situation de notre pauvre robot automate…
Je pense qu'on peut garder : Il subissait quotidiennement les humiliations des travailleurs.
Irène : Toujours à propos de la lourdeur : parfois, il faut en passer par là, par exemple pour rendre le naturel de l'oralité ; exemple : « Veux-tu une tasse de thé ? » La formulation est légère, mais le dirais-tu spontanément comme ça ? Je pense que non… Tu dirais sans doute davantage ou : « tu veux une tasse de thé »… ou même : « est-ce que tu veux une tasse de thé ? » Dernière solution la plus « lourde », certes, mais qui sortirait majoritaire dans un sondage. Le critère de la lourdeur est donc à prendre en compte comme outil de travail aussi… outil/atout ;-)
L'art, je ne sais pas… mais l'expérience, à n'en pas douter. Et il faut bien dire que cela prend un peu de temps avant d'être au point. Mais quel plaisir, n'est-ce pas ?!?!
14 commentaires:
Tous les jours/habituellement / quotidiennement, il était victime des humiliations des travailleurs.
Il subissait tous les jours les humiliations des autres travailleurs.
Diariamente era víctima de humillaciones por parte de los trabajadores.
Elena : j'aime bien « quotidiennement »… En général, tu sais que je vous donne la consigne d'éviter autant que possible les adverbes en -ment (assez lourds), mais là, non seulement nous en avons peu depuis le début (à moins que je ne me trompe), mais, surtout, je le trouve adapté.
Irène :
- « subissait » ; oui, je crois que tu as raison. C'est bien…
- En revanche, c'est Elena qui, à mon avis, a raison en ne mettant pas « les autres travailleurs » – d'une part ça n'apparaît pas en V.O., d'autre part, plus ennuyeux, cela suppose qu'il est un travailleur, donc un humain… ce qu'il a précisément été dit et répété qu'il n'était pas.
En résumé : il faut faire un mixte de vos deux propositions. J'attends de voir ce que ça donne.
Quotidiennement, il subissait les humiliations des travailleurs.
ou bien :
Il subissait au quotidien les humiliations des travailleurs.
« au quotidien », fait trop langage/jargon journalistique… beurk.
« Quotidiennement, il subissait les humiliations des travailleurs. »
- Petite lourdeur syntaxique… essaie de placer l'adverbe ailleurs.
Il subissait les humiliations des travailleurs quotidiennement.
ou
Il subissait quotidiennement les humiliations des travailleurs.
"autres" est effectivement une erreur qui n'apparait pas sur mon texte initial: sans doute l'inconscient continuait-il à réfléchir sur la notion de "travailleur"de la phrase 11.
J'étais partie sur quotidiennement et puis je l'ai trouvé lourd...
Il subissait quotidiennement les humiliations des travailleurs. ?
Irène :
je l'ai dit dans mon précédent commentaire : je suis d'accord sur la lourdeur des adverbes en -ment, mais là, il est adapté, précisément pour montrer la pénibilité de la situation de notre pauvre robot automate…
Je pense qu'on peut garder :
Il subissait quotidiennement les humiliations des travailleurs.
OK
Irène :
Toujours à propos de la lourdeur : parfois, il faut en passer par là, par exemple pour rendre le naturel de l'oralité ; exemple :
« Veux-tu une tasse de thé ? » La formulation est légère, mais le dirais-tu spontanément comme ça ? Je pense que non… Tu dirais sans doute davantage ou : « tu veux une tasse de thé »… ou même : « est-ce que tu veux une tasse de thé ? » Dernière solution la plus « lourde », certes, mais qui sortirait majoritaire dans un sondage. Le critère de la lourdeur est donc à prendre en compte comme outil de travail aussi… outil/atout ;-)
C'est là qu'est l'ART !!!
L'art, je ne sais pas… mais l'expérience, à n'en pas douter. Et il faut bien dire que cela prend un peu de temps avant d'être au point. Mais quel plaisir, n'est-ce pas ?!?!
Oui pour moi un vrai plaisir !!!
Un vrai bonheur !
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