Le escupían, pintaban, meaban en su cuerpo metálico y éste no entendía la burla de los que se reían de él.
Solution temporaire :
On crachait, on jetait de la peinture, on urinait sur son corps de métal et lui, il ne saisissait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui.
48 commentaires:
On lui crachait dessus, on le peignait, on pissait sur son corps métallique et il ne comprenait pas les railleries de ceux qui se moquaient de lui.
Si Irène est encore dans les parages, j'attends sa traduction pour vous faire mes "commentaires"… ; plus pratique, plus efficace et comme vous avez de bonnes idées toutes les deux, ça permet d'avoir une solution convaincante rapidement.
J'arrive mais je dois changer d'ordi.
J'ai mis plusieurs possibilités :
Ils lui crachaient dessus, peignaient, pissaient sur son corps de métal et/mais il:celui-ci ne comprenait pas les plaisanteries de ceux qui se moquaient de lui.
Le escupían, pintaban, meaban en su cuerpo metálico y éste no entendía la burla de los que se reían de él.
Question 1 :
« on » ou « ils »… ? Vous avez chacune opté pour une solution différente ; argumentez brièvement (en prenant compte de ce que disait la phrase précédente).
C'est par rapport à la phrase précédente que j'ai choisi ils = les travailleurs.
Irène :
oui, c'est sur la base du même argument que j'aurais fait comme toi… Mais je veux quand même savoir pourquoi Elena à choisi « on ».
J'ai opté par "on" car ce n'est pas "les" travailleurs, mais "des" travailleurs... On ne sait pas exactement qui fait ça...
Elena : oui, ça se défend… Irène, qu'en penses-tu ?
Je crois qu'effectivement en dépersonnalisant l'indéfini généralise: il me semble que les 2 possibilités ne s'excluent pas.
Ça ne s'exclut pas, en effet, mais pour l'heure, il faut trancher… Votons : « on » ou « ils » ?
La balle est dans votre camp !
Après réflexion, je me range derrière ton « on ».
Preuve que je ne suis pas veule : s'il faut trancher, tranchons!
J'ai un penchant pour ma proposition qui coule bien à la suite de la phrase précédente.
Bingo!
1 partout balle au centre !
Personnellement, je trouve que "on" rend mieux l'idée que c'est plutôt des gestes veules de la part des travailleurs...
Elena :
- « on le peignait » ne va pas… D'autant que ça n'est pas tout à fait cela (il ne s'agit pas d'une action volontaire, suivie, etc.)
- « pissait » me semble trop fort… Je sais bien que c'est la traduction littérale de l'espagnol ; mais il faut tenir de ce fameux écart dans l'emploi de l'argent / langue verte entre l'espagnol et le français…
- Est-ce que « railleries » + « se moquaient » n'est pas redondant. Je sais, que là aussi, nous traduisons littéralement… mais ne conviendrait-il pas d'"améliorer" un peu les choses ? Et je mets beaucoup de guillemets à ce verbe. Cela dit, si on trouve une solution avec les deux, je prends… À vous de voir.
Irène :
- « peignaient » ne me semble pas assez "insultant"…
- le « y » = « et » ou « mais » ?
- Derrière, il faut une vrai rupture : LUI,
barbouillait ?
urinait crée une rupture par rapport à la finesse de l'entourage en question : pissait me semble plus adapté : ce sont des finauds!!!
TB pour le lui, c'est ce que je cherchais en fait : je n'étais satisfaite ni du il ni de celui-ci.
On lui crachait dessus, on le peinturlurait, on urinait sur son corps métallique
Pour cette histoire de peinture, pourquoi pas une mini-périphrase : « on jetait de la peinture » ?
Elena : tu ne peux pas mettre « dessus » si après tu reprends le « corps ».
ok pour dessus...
Pour raillerie : malice/méchanceté/dédain/mépris...
« malice » n'est pas mal… car ça fait double emploi, en l'occurrence… Qu'en penses-tu, Irène ?
percevait ou saisissait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui
« percevait », si, justement… « saisissait », non, malheureusement pour lui.
Ne reste donc qu'à régler cette histoire de peinture et on pourra ranger les pinceaux pour cette phrase-là.
On lui jetait de la peinture, on crachait et on urinait sur son corps de métal et lui, ne saisissait pas les plaisanteries de ceux qui se moquaient de lui.
Irène :
ça ne va pas, tu changes l'ordre des verbes. Interdit (à plus forte raison le jour du concours !!!!!!!). Remets-moi les choses dans l'ordre, STP ;-)
Je reprends :
On crachait, on peinturlurait, on urinait sur son corps métallique et il ne percevait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui
Désolée j'ai fait une erreur de manipulation :
On lui jetait de la peinture, on crachait et on urinait sur son corps de métal et lui, ne saisissait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui.
Mais alors le complément pose problème!
Elena :
- « peinturlurait » : non… arguments avancés avant. + construction incorrecte ensuite « SUR son corps ».
- n'oublie pas le fameux LUI, il… pour bien marquer la différence et donc insister sur son isolement.
Irène :
Lui, IL (pour insister)
On crachait, on jetait de la peinture, on urinait sur son corps de métal et lui, il ne saisissait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui.
Irène : oui, c'est pour ça que j'ai demandé la modification à Elena…
Allez, reprenez depuis le début en tenant compte de tous les paramètres… On verra ce qu'il reste à limer.
Elena :
voilà, ça, ça me semble très bien… Qu'en pensez-vous ?
On crachait, on peinturlurait, on urinait son corps métallique et celui-ci ne percevait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui.
"peinturlurait" : pour moi, on ne lui "jette" pas forcément de la peinture... Les travailleurs font ça à son insu, alors, j'imagine que le robot passe par là et hop ! il reçoit un coup de pinceau...
ça baigne...
Irène, Elena,
J'espère que vous n'avez pas manqué de voir la page « Traduction collective en cours » que j'ai créée cet après-midi ;-)
« peinturlurer »
Oui, certes, mais avec « peinturlurer », c'est trop « actif »… Tu prends vraiment ton pinceau et tu peins à proprement parler… – ce qui n'est pas exactement le cas ici. Je te propose qu'on retienne « jeter » pour l'instant et qu'on refasse le point à la fin.
D'accord.
Tout à fait...
Justement, comme on a pas mal avancé… je vous propose de faire une petite pause pour essayer de voir si on ne peut pas resserrer quelques boulons à notre robot. Pour ce faire, il vous suffit de vous reporter à la page fixe que j'ai créée (cf en haut de la colonne de droite) et de relire tout ce que nous avons fait jusque-là. Vous regardez s'il y a des choses qui vous semblent devoir être changées… Mais attention au changement pour le changement ; car sachez que plus on relit, plus on risque d'attraper l'horrible maladie de l'insatisfaction ou du pinaillage inutile et idiot. Autrement dit : si c'est bien, on ne touche pas ; on ne fait re-fonctionner les outils que si c'est vraiment nécessaire. J'ouvre un post « modifications » et vous mettez vos éventuelles remarques dedans.
J'ai mis du temps mais j'ai fini par trouver la page!!!
Merci à vous deux pour cette partie de "mots".
Merci à toi !
Je viens de lire "notre" trad et je la trouve pas mal !
Merci Caroline et merci Irène de votre patience...
Enregistrer un commentaire