Cuando volví, convertida en una escritora de 48 años, desmentí a la profesora y pedí a las jóvenes que continuaran leyendo.
Traduction temporaire :
Lorsque j'ai réintégré la réalité, et suis donc redevenue une écrivaine de 48 ans, j'ai contredit les propos de la professeure et incité les filles à poursuivre leur lecture.
Lorsque j'ai réintégré la réalité, et suis donc redevenue une écrivaine de 48 ans, j'ai contredit les propos de la professeure et incité les filles à poursuivre leur lecture.
10 commentaires:
Lorsque je suis revenue, convertie en écrivaine de 48 ans, j'ai démenti les propos de la professeure et j'ai demandé aux filles de continuer de lire.
1) « lorsque je suis revenue »… Faut-il ajouter une cheville pour faire comprendre que c'est dans le présent, etc. ?
2) « convertie »… ne va pas.
3) « démentir » n'a pas ce sens en français.
4) « inciter » à la place de « demander »…
Lorsque je suis revenue à la réalité, transformée en écrivaine de 48 ans, j'ai contredit les propos de la professeure et j'ai incité les filles de continuer de lire.
Lorsque je suis revenue à la réalité, transformée en écrivaine de 48 ans, j'ai contredit les propos de la professeure et j'ai incité les filles de continuer de lire.
Je te propose :
Lorsque j'ai réintégré à la réalité, et suis donc redevenue une écrivaine de 48 ans, j'ai contredit les propos de la professeure et incité les filles à continuer de lire.
Qu'en penses-tu ?
Lorsque j'ai réintégré la réalité, et suis donc redevenue une écrivaine de 48 ans, j'ai contredit les propos de la professeure et incité les filles à continuer de lire.
Je pense que c'est très bien !
Perrine ?
Pourrait-on mettre plutôt "incité les filles à poursuivre leur lecture" à la place de "incité les filles à continué de lire", que je trouve un peu lourd ?
Lorsque j'ai réintégré la réalité, et suis donc redevenue une écrivaine de 48 ans, j'ai contredit les propos de la professeure et incité les filles à poursuivre leur lecture.
Lorsque j'ai réintégré la réalité, et suis donc redevenue une écrivaine de 48 ans, j'ai contredit les propos de la professeure et incité les filles à poursuivre leur lecture.
OK pour moi.
Elena ?
Oui, pourquoi pas. J'avais choisi "lire", car nous avons déjà deux fois "lecture" et un seul "lire".
Vu le genre de difficultés que présente ce texte, je propose qu'on essaie d'éviter les répétitions, mais de se laisser une certaine marge de manœuvre pour le premier jet. Nous verrons après… au moment du lissage.
Enregistrer un commentaire