Cuando hubo salido, se acercaron dos estudiantes, querían decirme que antes de mi visita no sabían que sus vidas podían escribirse y convertirse en historia: “Usted nos cambió la manera de mirar”.
Traduction temporaire :
Quand elle est sortie, deux étudiantes se sont approchées de moi. Elles voulaient me confier qu'avant ma visite, elles ignoraient tout bonnement que leurs vies pouvaient être matière à écriture et devenir des histoires : « Vous avez changé notre façon de regarder autour de nous. »
Quand elle est sortie, deux étudiantes se sont approchées de moi. Elles voulaient me confier qu'avant ma visite, elles ignoraient tout bonnement que leurs vies pouvaient être matière à écriture et devenir des histoires : « Vous avez changé notre façon de regarder autour de nous. »
11 commentaires:
Quand elle fut sortie, deux étudiantes se sont approchées de moi ; elles voulaient me confier qu’avant ma visite, elles ignoraient que leurs vies pouvaient s’écrire et se transformer en histoire : « Vous avez changé notre façon de voir le monde. »
Dès qu'elle est sortie, deux étudiantes se sont approchées, elles voulaient m'avouer qu'avant ma visite, elles ignoraient qu'il était possible de transcrire leurs vies, que cela devienne des histoires : « Vous avez changé notre façon de regarder les choses. »
1) Il n'y a pas la nuance « dès que », en effet…
2) Le « de moi » est-il nécessaire ? J'hésite. Elena ?
3) Je mettrais un point à la place de votre virgule / point-virgule.
4) Bonne idée « confier ».
5) Il faut l'une comme l'autre reprendre « que sus vidas podían escribirse y convertirse en historia »
6) Oui pour la fin d'Elena (mais vérifiez quand même qu'on n'a pas déjà « chose(s) »).
1) Ok, je comprenais qu'elles n’attendaient que ça…
2) J'ai longuement réfléchi, mais comme nous avons le pronom "me" juste après, je me suis dit qu'il n'y avait pas ambiguïté.
3) et 4) ok
5) Oui, cela n'est guère satisfaisant :-/
6) Nous avons une fois "choses" et deux fois "vie"…
Quand elle est sortie, deux étudiantes se sont approchées, elles voulaient me confier qu'avant ma visite, elles ignoraient que l'on pouvait écrire sur sa vie et la convertir en histoire : « Vous avez changé notre façon de regarder la réalité. »
- "regarder" / "observer" / "approcher" / "appréhender" ?
Quand elle est sortie, deux étudiantes se sont approchées, elles voulaient me confier qu'avant ma visite, elles ignoraient que l'on pouvait écrire sur sa vie et la convertir en histoire : « Vous avez changé notre façon de regarder la réalité. »
Je commence par ajouter le point, mentionné dans le 3) de mon précédent commentaire.
Quand elle est sortie, deux étudiantes se sont approchées.
Malgré tout, je crois que le « moi » donnerait plus de clarté au texte – ne serait-ce que parce que la prof est déjà, elle, désignée comme « elle ».
Elles voulaient me confier qu'avant ma visite, elles ignoraient que l'on pouvait écrire sur sa vie et la convertir en histoire :
1) Ajoute-t-on la cheville : « elles ignoraient TOUT BONNEMENT » ?
2) Je vous propose : « que nos vies peuvent être matière à écriture et devenir des histoires »
« Vous avez changé notre façon de regarder la réalité. »
Je me demande si « réalité » n'est pas trop précis et si ça ne tire pas l'interprétation… Les filles n'emploient pas des termes aussi précis et codés.
« autour d'elles » ?
1) Je ne suis pas convaincue pour "autour de nous" ; là, pour le coup, je trouve que ce n'est pas assez précis. Avec "monde", ça ne va pas ? Il s'agit de regarder le monde qui les entoure, non ?
Quand elle est sortie, deux étudiantes se sont approchées. Elles voulaient me confier qu’avant ma visite, elles ignoraient tout bonnement que nos vies peuvent être matière à écriture et devenir des histoires : « Vous avez changé notre façon de regarder le monde. »
Quand elle est sortie, deux étudiantes se sont approchées de moi. Elles voulaient me confier qu'avant ma visite, elles ignoraient tout bonnement que leurs vies pouvaient être matière à écriture et devenir des histoires : « Vous avez changé notre façon de regarder autour de nous. »
1) Oui, pour le point, j'avais dit ok, mais dire n'est pas toujours faire ! ;-)
Alors : « le monde » ou « autour de nous » ?
Elena ? Perrine ?
Je ne sais pas, j'avais hésité par rapport à la proposition de Perrine. Toutefois, je pense que des filles qui habitent dans un coin perdu du Chili, avec une vie assez restreinte au quotidien, n'auraient pas la prétention de regarder "le monde", elles commenceraient, en effet, par regarder "autour d'elles", le monde qui les entoure.
Quand elle est sortie, deux étudiantes se sont approchées de moi. Elles voulaient me confier qu'avant ma visite, elles ignoraient tout bonnement que leurs vies pouvaient être matière à écriture et devenir des histoires : « Vous avez changé notre façon de regarder autour de nous. »
Très juste, ta remarque :
Quand elle est sortie, deux étudiantes se sont approchées de moi. Elles voulaient me confier qu'avant ma visite, elles ignoraient tout bonnement que leurs vies pouvaient être matière à écriture et devenir des histoires : « Vous avez changé notre façon de regarder autour de nous. »
OK pour moi.
Perrine ?
En effet, tu as raison, Elena. OK pour moi aussi.
Enregistrer un commentaire