Con el alargamiento de la vida la naturaleza perdió la potestad de aplicar la selección natural de las especies, así un hombre aquejado de enfermedades incurables no desaparecía sino que entregaba sus calamidades genéticas al futuro.
Traduction temporaire :
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa faculté de procéder à la sélection naturelle des espèces ; si bien que loin de disparaître, un homme atteint de maladies incurables léguait ses déficiences génétiques à sa descendance.
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa faculté de procéder à la sélection naturelle des espèces ; si bien que loin de disparaître, un homme atteint de maladies incurables léguait ses déficiences génétiques à sa descendance.
16 commentaires:
Avec l'allongement de la vie, la nature a perdu son pouvoir de sélection naturelle des espèces, de sorte qu'un homme atteint de maladies incurables ne disparait pas, mais offre ses calamités génétiques à sa descendance.
Con el alargamiento de la vida la naturaleza perdió la potestad de aplicar la selección natural de las especies, así un hombre aquejado de enfermedades incurables no desaparecía sino que entregaba sus calamidades genéticas al futuro.
Avec l'allongement de la vie, la nature a perdu son pouvoir de sélection naturelle des espèces, de sorte qu'un homme atteint de maladies incurables ne disparait pas, mais offre ses calamités génétiques à sa descendance.
1) « potestad » ; c'est dommage de ne pas trouver un mot plus riche que simplement « pouvoir » / « poder ».
2) « aplicar » ?
3) ponctuation à modifier avant « de sorte »…
4) « de sorte » ou « si bien que » ?
5) « disparait » = accent !!!!!!
6) « offre » ne va pas.
7) « calamités » ne va pas.
Avec l'allongement de la vie, la nature a perdu sa toute-puissance pour appliquer la sélection naturelle des espèces : si bien qu'un homme atteint de maladies incurables ne disparaît pas, mais lègue ses problèmes génétiques à sa descendance.
1) "faculté" ?
4) "si bien que"
6) "remettre", "confier" ?
7) "désastres" ?
8) Et si on ajoutait "durée" avant "vie", ne serait-ce pas plus clair ?
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature a perdu sa faculté d'appliquer la sélection naturelle des espèces ; si bien qu'un homme atteint de maladies incurables ne disparaît pas, mais remet ses désastres génétiques à sa descendance.
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature a perdu sa faculté d'appliquer la sélection naturelle des espèces ; si bien qu'un homme atteint de maladies incurables ne disparaît pas, mais remet ses désastres génétiques à sa descendance.
1) Un doute sur le temps « perdió » : passé composé ou plus-que-parfait ?
2) « appliquer » ou « procéder »
3) Temps « desaparecía » et de « entregaba ».
4) « désastres » = FS
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa toute-puissance pour procéder à la sélection naturelle des espèces : si bien qu'un homme atteint de maladies incurables ne disparaissait pas, mais lèguait ses problèmes génétiques à sa descendance.
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa toute-puissance pour procéder à la sélection naturelle des espèces : si bien qu'un homme atteint de maladies incurables ne disparaissait pas, mais lèguait ses problèmes génétiques à sa descendance.
Corrige faute à « lèguait ».
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa toute-puissance pour procéder à la sélection naturelle des espèces : si bien qu'un homme atteint de maladies incurables ne disparaissait pas, mais léguait ses problèmes génétiques à sa descendance
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa toute-puissance pour procéder à la sélection naturelle des espèces : si bien qu'un homme atteint de maladies incurables ne disparaissait pas, mais léguait ses problèmes génétiques à sa descendance.
1) Je préfère le « faculté » de Perrine.
2) Pas de deux points. Ne change pas en route ce qu'on a établi…
3) Passe par « loin de » pour la fin.
4) « tares génétiques » ?
ou « déficiences génétiques » ?
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa faculté de procéderà la sélection naturelle des espèces ; si bien qu'un homme atteint de maladies incurables, loin de disparaître, léguait ses tares génétiques à sa descendance.
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa faculté de procéder à la sélection naturelle des espèces ; si bien qu'un homme atteint de maladies incurables, loin de disparaître, léguait ses tares génétiques à sa descendance.
Je te propose :
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa faculté de procéder à la sélection naturelle des espèces ; si bien que loin de disparaître, un homme atteint de maladies incurables, léguait ses tares génétiques à sa descendance.
« tares » ou « déficiences » ?
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa faculté de procéder à la sélection naturelle des espèces ; si bien que loin de disparaître, un homme atteint de maladies incurables, léguait ses déficinces génétiques à sa descendance.
Ok pour moi.
Perrine ?
OK pour moi, sauf pour la virgule avant "léguait".
Avec l'allongement de la durée de vie, la nature avait perdu sa faculté de procéder à la sélection naturelle des espèces ; si bien que loin de disparaître, un homme atteint de maladies incurables léguait ses déficiences génétiques à sa descendance.
Oui… c'est bon.
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