A todo dar remaron los marinos. No ignoraban que tenían poco tiempo. La mar se enfurecía: se negaba a devolver su presa.
Traduction temporaire :
Les marins ramèrent de toutes leurs forces. Ils n'ignoraient pas qu'ils avaient peu de temps. La mer se démontait : elle refusait de rendre sa proie.
Les marins ramèrent de toutes leurs forces. Ils n'ignoraient pas qu'ils avaient peu de temps. La mer se démontait : elle refusait de rendre sa proie.
7 commentaires:
Les marins ramèrent de toutes leurs forces. Ils n'ignoraient pas qu'il leur restait peu de temps. La mer se démontait : elle refusait de rendre sa prise.
Les marins ramèrent de toutes leurs forces. Ils n'ignoraient pas qu'il leur restait [pourquoi tu changes ?] peu de temps. La mer se démontait [on dit qu'elle est démontée… mais est-ce qu'on utilise le verbe ? Je ne sais pas… Tu as vérifié ?] : elle refusait de rendre sa prise [« proie » ?].
Les marins ramèrent de toutes leurs forces. Ils n'ignoraient pas qu'ils avaient peu de temps [pourquoi tu changes ? > j'avais changé parce que, généralement, avec être, avoir et dire, tu me dis d'améliorer ;-)]. La mer se démontait [on dit qu'elle est démontée… mais est-ce qu'on utilise le verbe ? > apparemment, oui] : elle refusait de rendre sa prise [« proie » ? > Au départ, comme toi, je pensais plutôt à proie. Mais dans la mesure où la mer l'a déjà attrapé ce pauvre homme, j'ai mis "prise"...].
Les marins ramèrent de toutes leurs forces. Ils n'ignoraient pas qu'ils avaient peu de temps. La mer se démontait : elle refusait de rendre sa prise [« proie » ? > Au départ, comme toi, je pensais plutôt à proie. Mais dans la mesure où la mer l'a déjà attrapé ce pauvre homme, j'ai mis "prise"... / C'est vraiment bizarre et je me demande si ce sera une compréhension immédiate pour un lecteur francophone de base. Tiens : fais un test autour de toi, mais en posant le pb de manière neutre ;-)].
Les marins ramèrent de toutes leurs forces. Ils n'ignoraient pas qu'ils avaient peu de temps. La mer se démontait : elle refusait de rendre sa proie.
ça sonne tellement plus naturel en français... Et, en fin de compte, comme la mer ne l'a pas encore englouti, je pense qu'il reste sa "proie"...
Les marins ramèrent de toutes leurs forces. Ils n'ignoraient pas qu'ils avaient peu de temps. La mer se démontait : elle refusait de rendre sa proie.
OK.
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