jeudi 1 mai 2014

Projet Annelise 1 – phrase 19

Le decía a Emilia que no entendía nada, que la vida me parecía demasiado confusa, demasiado compleja, y que tenía miedo y solo podía soportarlo así, de espaldas a ella, con los ojos cerrados y recogido sobre mi propio cuerpo.

Traduction temporaire :
Je disais à Emilia que je ne comprenais rien, que la vie me paraissait trop confuse, trop complexe, que j'avais peur et qu'il n'y avait que comme ça que je pouvais la supporter, en lui tournant le dos, les yeux fermés et recroquevillé sur mon propre corps.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

Je disais à Emilia que je ne comprenais rien, que la vie me paraissait trop confuse, trop complexe, que j'avais peur et qu'il n'y avait que comme ça que je pouvais la supporter, dos à elle, les yeux fermés et recroquevillé sur mon propre corps.

Tradabordo a dit…

Je disais à Emilia que je ne comprenais rien, que la vie me paraissait trop confuse, trop complexe, que j'avais peur et qu'il n'y avait que comme ça que je pouvais la supporter, dos à elle [naturel ?], les yeux fermés et recroquevillé sur mon propre corps.

Anonyme a dit…

Annelise L

Je disais à Emilia que je ne comprenais rien, que la vie me paraissait trop confuse, trop complexe, que j'avais peur et qu'il n'y avait que comme ça que je pouvais la supporter, en lui tournant le dos, les yeux fermés et recroquevillé sur mon propre corps.

Tradabordo a dit…

Je disais à Emilia que je ne comprenais rien, que la vie me paraissait trop confuse, trop complexe, que j'avais peur et qu'il n'y avait que comme ça que je pouvais la supporter, en lui tournant le dos, les yeux fermés et recroquevillé sur mon propre corps.

OK.