Hombre hipocondríaco donde los hubiera creyó que esas imágenes podrían ser síntomas de algún mal, con lo que su desazón fue in crescendo.
Traduction temporaire :
L’homme, hypocondriaque par excellence, crut que ces images pouvaient être les symptômes de quelque mal, ce qui accrut son désarroi.
L’homme, hypocondriaque par excellence, crut que ces images pouvaient être les symptômes de quelque mal, ce qui accrut son désarroi.
19 commentaires:
Maria Sergia Martin Gonzalez
Lors desquels cela se passait, l’homme hypocondriaque cru que ces images pourraient être des symptômes d’un certain mal, avec lequel sa peine monta crescendo.
Lors desquels cela se passait [FS], l’homme hypocondriaque cru que ces images pourraient être des symptômes d’un certain mal, avec lequel sa peine monta crescendo.
Maria Sergia Martin Gonzalez
Lorsqu’il les avait, l’homme hypocondriaque cru que ces images pourraient être les symptômes d’un certain mal, avec lequel sa peine monta crescendo.
Lorsqu’il les avait [CS ; vous devriez regarder dans quel contexte on utilise cette expression ; sur Google avec les guillemets], l’homme hypocondriaque cru que ces images pourraient être les symptômes d’un certain mal, avec lequel sa peine monta crescendo.
Maria Sergia Martin Gonzalez
Dans lesquels il était/ Lors desquels il était/ Lorsqu’il y était, [en regardant plusieurs textes sur google avec cette même expression : « donde los hubiera », je la comprends comme ça mais ça n’est pas fluide…] l’homme hypocondriaque cru que ces images pourraient être les symptômes d’un certain mal, avec lequel sa peine monta crescendo.
Dans lesquels il était/ Lors desquels il était/ Lorsqu’il y était, [en regardant plusieurs textes sur google avec cette même expression : « donde los hubiera », je la comprends comme ça mais ça n’est pas fluide…] l’homme hypocondriaque cru que ces images pourraient être les symptômes d’un certain mal, avec lequel sa peine monta crescendo.
CS ; ça veut dire « s'il en est » = un des plus
Maria Sergia Martin Gonzalez
l’homme hypocondriaque, s'il en est, [ou par excellence?] cru que ces images pourraient être les symptômes d’un certain mal, avec lequel sa peine monta crescendo.
l’homme hypocondriaque, s'il en est, [ou par excellence? OUI] cru [grammaire] que ces images pourraient être les symptômes [ou au singulier ? J'hésite] d’un certain [pas exactement] mal, avec lequel [petit CS] sa peine monta crescendo.
L’homme hypocondriaque, par excellence, (qui ?) crut que ces images pourraient être les symptômes [ou au singulier ? J'hésite : en discutant avec des gens du métier (psychiatrie, médecine…), tous m’ont dit qu’ils parlaient toujours de symptômes (au pluriel) pour parler d’une maladie car celle-ci s’accompagne toujours de plusieurs symptômes.] d’un mal, ( ?) ce qui/ lequel accrut [J’ai changé par le verbe accroître plutôt que de mettre « fit monter » qui est plus lourd] sa peine crescendo.
[selon moi il faudrait changer le sens de la phrase, c’est-à-dire mettre la fin « con lo que su desazón fue in crescendo. » au début de la phrase et faire suivre le reste ( ?)]
L’homme [virgule] hypocondriaque, [supprimez la virgule] par excellence, (qui ?) [je ne comprends pas votre question] crut que ces images pourraient être les symptômes d’un mal, ( ?) ce qui/ lequel [à vous de trancher ; à l'arrivée, il ne faut me proposer qu'une seule solution] accrut [J’ai changé par le verbe accroître plutôt que de mettre « fit monter » qui est plus lourd] sa peine crescendo.
L’homme, hypocondriaque par excellence, (qui ?) [je ne comprends pas votre question: je pensais la phrase serait plus claire si l'on rajoutait le relatif "qui" avant le morceau qui suit] crut que ces images pourraient être les symptômes d’un mal, ce qui accrut sa peine crescendo.
L’homme, hypocondriaque par excellence, (qui ?) [je ne comprends pas votre question: je pensais la phrase serait plus claire si l'on rajoutait le relatif "qui" avant le morceau qui suit // non, puisque si on laisse de côté l'entre-virgules (qui est juste une précision), « l'homme » va directement avec le verbe…] crut que ces images pourraient être les symptômes d’un mal, ce qui accrut sa peine crescendo.
Maria Sergia Martin Gonzalez
L’homme, hypocondriaque par excellence,crut que ces images pourraient être les symptômes d’un mal, ce qui accrut sa peine crescendo.
Maria Sergia Martin Gonzalez
L’homme, hypocondriaque par excellence,crut que ces images pourraient être les symptômes d’un mal, ce qui accrut sa peine crescendo.
Maria Sergia Martin Gonzalez
L’homme, hypocondriaque par excellence, crut que ces images pourraient [temps ? Adapté ici ?] être les symptômes d’un mal, ce qui accrut sa peine crescendo [redondant ; simplifiez].
Maria Sergia Martin Gonzalez.
L’homme, hypocondriaque par excellence, crut que ces images pouvaient être les symptômes d’un mal, ce qui accrut sa peine.
L’homme, hypocondriaque par excellence, crut que ces images pouvaient être les symptômes d’un [« de quelque » ?] mal, ce qui accrut sa peine [ou « désarroi » ? J'hésite ; regardez bien les différentes définitions dans le dictionnaire unilingue, DRAE et María Moliner].
Maria Sergia Martin Gonzalez
L’homme, hypocondriaque par excellence, crut que ces images pouvaient être les symptômes de quelque mal, ce qui accrut son désarroi. [Effectivement… : Désarroi= Trouble moral impliquant l'indécision, l'anxiété ; angoisse, détresse ; Desazón: 3. f. Disgusto, pesadumbre, inquietud interior.
L’homme, hypocondriaque par excellence, crut que ces images pouvaient être les symptômes de quelque mal, ce qui accrut son désarroi.
OK.
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