— Ve tú por delante, ya te alcanzo –lo despedí, anulando sus intentos por llevarme.
Al subir por las escaleras me crucé con otros policías que escoltaban al fiscal, a juzgar por las medallas que colgaban de su solapa. También con los médicos legistas que descendían apresurados por efecto rutinario mientras se enguantaban.
Traduction temporaire :
— Pars devant, je te rattrape. Je lui dis au revoir, mettant un terme à ses tentatives pour m'emmener avec lui. En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui, ayant l'habitude de travailler rapidement, descendaient à la hâte les marches en mettant leurs gants.
— Pars devant, je te rattrape. Je lui dis au revoir, mettant un terme à ses tentatives pour m'emmener avec lui. En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui, ayant l'habitude de travailler rapidement, descendaient à la hâte les marches en mettant leurs gants.
20 commentaires:
— Pars devant, toi, je te rattrape. Je l'avais salué, réduisant à néant ses tentatives de m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, j'avais croisé d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés sur le revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes qui descendaient, pressés par leur routine, en mettant leur gants.
— Pars devant, toi, je te rattrape. [virgule] Je l'avais salué [pas exactement ça… parce que c'est le commentaire de ce qu'il a dit], réduisant à néant ses tentatives de m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, j'avais croisé [sûre pour le PQP ?] d'autres policiers [virgule ?] qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés sur le [« au » ?] revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes [virgule] qui descendaient, pressés par leur routine, en mettant leur [grammaire // attention, tu te relis moins] gants.
— Pars devant, toi, je te rattrape, - je lui dis au revoir, réduisant à néant ses tentatives de m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui descendaient, pressés par leur routine, en mettant leurs gants.
— Pars devant, toi, je te rattrape, - [souviens-toi de ce que je vous ai dit sur ce cas de typo] je lui dis au revoir, réduisant à néant ses tentatives de m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui descendaient, pressés par leur routine, en mettant leurs gants.
— Pars devant, toi, je te rattrape, − je lui dis au revoir, réduisant à néant ses tentatives de m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui descendaient, pressés par leur routine, en mettant leurs gants.
— Pars devant, toi [nécessaire ?], je te rattrape, − [supprime le tiret !] je lui dis au revoir, réduisant à néant [ou « mettre un terme » ? Essaie les deux et vois…] ses tentatives de m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui descendaient, pressés par leur routine, en mettant leurs gants [bizarre qu'ils mettent des gants en descendant, non ?].
— Pars devant, je te rattrape.
Je lui dis au revoir, mettant un terme à ses tentatives pour m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui descendaient les marches, pressés par leur routine, en mettant leurs gants.
— Pars devant, je te rattrape.
Je lui dis au revoir, mettant un terme à ses tentatives pour m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui descendaient les marches, pressés par leur routine, en mettant leurs gants.
Je te repose ma question – car je ne me souviens plus de ton histoire : les médecins légistes repartent, non ? Alors pourquoi ils mettent des gants. Un truc que je n'ai pas compris… donc, explique-moi et on passe à la suite.
Moi, il me semble que lui, il remonte les escaliers pour partir alors que les médecins légistes les descendent pour aller voir le corps. Non ?
Le corps est dans un sous-sol, alors ?
Non, sur la plage. C'est un escalier qui donne sur la plage je crois.
Ah OK.
Remets-moi la phrase dans sa bonne version.
— Pars devant, je te rattrape.
Je lui dis au revoir, mettant un terme à ses tentatives pour m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui descendaient les marches, pressés par leur routine, en mettant leurs gants.
— Pars devant, je te rattrape.
Je lui dis au revoir, mettant un terme à ses tentatives pour m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui descendaient les marches, pressés par [pas un peu bizarrement formulé ? Je me demande si tu ne vas pas devoir expliciter un peu] leur routine, en mettant leurs gants.
— Pars devant, je te rattrape.
Je lui dis au revoir, mettant un terme à ses tentatives pour m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui descendaient les marches à la hâte, pressés par leur routine, en mettant leurs gants.
— Pars devant, je te rattrape.
Je lui dis au revoir, mettant un terme à ses tentatives pour m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui descendaient les marches à la hâte, pressés par [« dans » ? Mais en fait, quelle est l'idée ?] leur routine, en mettant leurs gants.
Qu'ils sont toujours pressés dans leur métier ?
Oui, bien sûr… mais là, c'est juste bizarrement formulée. Reprends tout ça en main, fermement ;-)
— Pars devant, je te rattrape.
Je lui dis au revoir, mettant un terme à ses tentatives pour m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui, ayant l'habitude de travailler rapidement, descendaient à la hâte les marches en mettant leurs gants.
— Pars devant, je te rattrape.
Je lui dis au revoir, mettant un terme à ses tentatives pour m'emmener avec lui.
En montant les escaliers, je croisai d'autres policiers qui escortaient le Procureur, à en juger par les médailles accrochés au revers de sa veste. Il y avait aussi les médecins légistes, qui, ayant l'habitude de travailler rapidement, descendaient à la hâte les marches en mettant leurs gants.
OK.
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