Juancho Plaza (Espagne)
Dedos
Igual que los diez rastreadores mejor entrenados, recorren mi cuerpo despacio y suaves. En un soplo que se me antoja eterno, reparten deleites y exploran cada poro de una piel que se eriza sin remedio, conquistan cada monte y someten cada valle de una geografía rendida ante un placer irresistible, escudriñan cada rincón hasta que uno de ellos, el más osado, descubre mi fuego secreto y en un vaivén de lujuria, profundo e infinito, me desvanece.
Traduction temporaire :
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que je voudrais éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse immanquablement, conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin, jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et m'anéantisse.
21 commentaires:
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Tout comme les dix meilleurs traceurs entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais bien aimé qu'il soit éternel, ils livrent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans cure, ils conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, ils scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'entre eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me dissipe.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Tout comme les dix meilleurs [ne porte pas sur le substantif, mais sur l'adjectif] traceurs [?] entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur.
Dans un souffle, que j'aurais bien aimé qu'il soit éternel, ils livrent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans cure, ils conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, ils scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'entre eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me dissipe.
Tout comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur.
Dans un souffle, que j'aurais bien aimé qu'il soit éternel, ils livrent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans cure, ils conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, ils scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'entre eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me dissipe.
Remets auteur, etc.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Tout comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur.
Dans un souffle, que j'aurais bien aimé qu'il soit éternel, ils livrent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans cure, ils conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, ils scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'entre eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me dissipe.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Tout [nécessaire ?] comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais bien aimé qu'il soit [très lourd et pas sûre que ce soit correct + avoir aimé ou qu'il voudrait ? Vérifie et réfléchis] éternel, ils livrent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans cure, ils conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, ils scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'entre eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me dissipe.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais bien voulu éternel, ils livrent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans cure, ils conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, ils scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'entre eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me dissipe.
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Pour "se me antoja", je trouve "antojarse" = avoir envie de, dans le sens de "encapricharse". Du coup, vouloir me semble plus pertinent.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais bien voulu [ou : « dont j'ai l'impression qu'il est » ? Vérifie avec Google et les guillemets le genre d'usages que tu trouves dans divers contextes] éternel, ils livrent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans cure, ils conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, ils scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'entre eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me dissipe.
Pour "j'ai l'impression qu'il est", je pense qu'il n'est pas adapté au sens de la V.O. "antojarse" = avoir envie.
J'ai aussi cherché les usages de "J'aurais bien voulu que..." et je trouve beaucoup de situations où l'expression est utilisée.
Si cela n'est pas incorrect, je continue de pencher pour cette dernière solution.
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Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais bien voulu éternel, ils livrent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans cure, ils conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, ils scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'entre eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me dissipe.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais bien [supprime] voulu éternel, ils livrent [bof] des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans cure [?????], ils [pas besoin] conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, ils [supprime] scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'entre eux [« d'eux »], le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me dissipe [mal dit].
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais voulu éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans remède, conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me fait disparaître.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais voulu éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans remède [hispanisme], conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me fait disparaître.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais voulu éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans que je puisse l'éviter, conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me fait disparaître.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais voulu éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans que je puisse l'éviter, conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il me fait disparaître [« m'anéantit » ?].
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais voulu éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans que je puisse l'éviter, conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il m'anéantit.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que j'aurais voulu [au fait, ce temps ne va pas puisqu'on est au présent] éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans que je puisse l'éviter, conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il m'anéantit.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que je voudrais éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans que je puisse l'éviter, conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il m'anéantit.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que je voudrais éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse sans que je puisse l'éviter [« immanquablement » ?], conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il m'anéantit.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que je voudrais éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse immanquablement, conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et il m'anéantit.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que je voudrais éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse immanquablement, conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin, jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et m'anéantisse.
Avec un petit changement à la fin… OK.
Je te mets un autre texte.
Juancho Plaza (Espagne)
« Doigts »
Comme les dix pisteurs les mieux entraînés, ils parcourent mon corps lentement et avec douceur. Dans un souffle, que je voudrais éternel, ils dispensent des délices et explorent chaque pore d'une peau qui se hérisse immanquablement, conquièrent chaque mont et soumettent chaque vallée d'une géographie abandonnée au plaisir irrésistible, scrutent chaque recoin, jusqu'à ce que l'un d'eux, le plus hardi, découvre mon feu secret dans un va et vient de luxure, profond et infini, et m'anéantisse.
OK !
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