mardi 8 juillet 2014

Projet Elena 7 – phrase 89

Cada tanto, a la noche, veía al padre por el Paseo de las Estatuas; caminaba del brazo con su mujer, con la pacífica laxitud de dos antiguos enamorados y a veces, cuando me cruzaba con ellos, la madre inclinaba hacia mí la cabeza con una sonrisa plácida, educada, como si quisiera decirme “Sí, somos felices, absolutamente felices, podés mirar tan de cerca como quieras: no hay fallas”.

Traduction temporaire :
De temps en temps, la nuit, je voyais le père au Paseo de las Estatuas ; il marchait bras dessus bras dessous avec sa femme, dans la pacifique lassitude de deux anciens amoureux et quelquefois, quand je les croisais, la mère tournait la tête vers moi avec un sourire placide, poli, comme si elle voulait me dire : « Oui, nous sommes heureux, absolument heureux, tu auras beau nous observer d'aussi près que tu le voudras, il n'y a aucune faille. »

8 commentaires:

Elena a dit…

De temps en temps, la nuit, je voyais le père au Paseo de las Estatuas, il marchait avec sa femme, se tenant par le bras, avec la pacifique lassitude de deux anciens jeunes amoureux et quelquefois, quand je les croisais, la mère tournait sa tête vers moi avec un sourire placide, poli, comme s'il elle voulait me dire : « Oui, nous sommes heureux, absolument heureux, tu peux nous observer d'aussi près que tu le voudras, il n'y a aucune faille. »

Tradabordo a dit…

De temps en temps, la nuit, je voyais le père au Paseo de las Estatuas, [pouruqoi tu changes la ponctuation ?] il marchait avec sa femme, se tenant par le bras [tu as plus près de la V.O.], avec la pacifique lassitude de deux anciens jeunes amoureux et quelquefois, quand je les croisais, la mère tournait sa tête vers moi avec un sourire placide, poli, comme s'il elle voulait me dire : « Oui, nous sommes heureux, absolument heureux, tu peux nous observer d'aussi près que tu le voudras, il n'y a aucune faille. »

Elena a dit…

De temps en temps, la nuit, je voyais le père au Paseo de las Estatuas ; il marchait avec sa femme, bras dessus bras dessous, avec la pacifique lassitude de deux anciens jeunes amoureux et quelquefois, quand je les croisais, la mère tournait sa tête vers moi avec un sourire placide, poli, comme s'il elle voulait me dire : « Oui, nous sommes heureux, absolument heureux, tu peux nous observer d'aussi près que tu le voudras, il n'y a aucune faille. »

Tradabordo a dit…

De temps en temps, la nuit, je voyais le père au Paseo de las Estatuas ; il marchait avec sa femme, bras dessus bras dessous [avance-le], avec [essaie de ne pas répéter « avec »] la pacifique lassitude de deux anciens jeunes [nécessaire ?] amoureux et quelquefois [« parfois » pour plus de légèreté ?], quand je les croisais, la mère tournait sa [non] tête vers moi avec un sourire placide, poli, comme s'il elle [???] voulait me dire : « Oui, nous sommes heureux, absolument heureux, tu peux nous observer d'aussi près que tu le voudras, il n'y a aucune faille. »

Elena a dit…

De temps en temps, la nuit, je voyais le père au Paseo de las Estatuas ; il marchait bras dessus bras dessous avec sa femme, dans la pacifique lassitude de deux anciens amoureux et quelquefois, quand je les croisais, la mère tournait la tête vers moi avec un sourire placide, poli, comme si elle voulait me dire : « Oui, nous sommes heureux, absolument heureux, tu peux nous observer d'aussi près que tu le voudras, il n'y a aucune faille. »

J'ai un "parfois" juste avant...

Tradabordo a dit…

De temps en temps, la nuit, je voyais le père au Paseo de las Estatuas ; il marchait bras dessus bras dessous avec sa femme, dans la pacifique lassitude de deux anciens amoureux et quelquefois, quand je les croisais, la mère tournait la tête vers moi avec un sourire placide, poli, comme si elle voulait me dire : « Oui, nous sommes heureux, absolument heureux, tu peux [avec « avoir beau » ?] nous observer d'aussi près que tu le voudras, il n'y a aucune faille. »

Elena a dit…

De temps en temps, la nuit, je voyais le père au Paseo de las Estatuas ; il marchait bras dessus bras dessous avec sa femme, dans la pacifique lassitude de deux anciens amoureux et quelquefois, quand je les croisais, la mère tournait la tête vers moi avec un sourire placide, poli, comme si elle voulait me dire : « Oui, nous sommes heureux, absolument heureux, tu auras beau nous observer d'aussi près que tu le voudras, il n'y a aucune faille. »

Tradabordo a dit…

De temps en temps, la nuit, je voyais le père au Paseo de las Estatuas ; il marchait bras dessus bras dessous avec sa femme, dans la pacifique lassitude de deux anciens amoureux et quelquefois, quand je les croisais, la mère tournait la tête vers moi avec un sourire placide, poli, comme si elle voulait me dire : « Oui, nous sommes heureux, absolument heureux, tu auras beau nous observer d'aussi près que tu le voudras, il n'y a aucune faille. »

OK.