Total, que los descartó. Fue donde los curanderos y los vio haciéndolo montoncitos para estancar las heridas, de manera que se fue porque para qué consultarlos. Recurrió a los astrólogos, pero sobrevolaron las estrellas y dijeron que donde trasegaba Café era síntoma de inteligencia abierta y que el poder mental de los bebedores no tenía precio.
Traduction temporaire :
Résultat : il les repoussa. De là, il se tourna vers les guérisseurs, mais les voyant le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla – à quoi bon les consulter ? Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que l'endroit où coulait Café trahissait l'existence d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
Résultat : il les repoussa. De là, il se tourna vers les guérisseurs, mais les voyant le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla – à quoi bon les consulter ? Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que l'endroit où coulait Café trahissait l'existence d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
13 commentaires:
Résultat, il les repoussa. Pour courir chez les guérisseurs qu'il vit le transformer en petits tas pour guérir les blessures, il s’en alla donc – pourquoi les consulterait-il ?
Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que là où coulait Café, naissait le signe d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
Résultat, [ou deux points ?] il les repoussa. Pour [pourquoi cette construction // ambiguë ici] courir chez les guérisseurs qu'il vit le transformer en petits tas pour guérir les blessures, il s’en alla donc – pourquoi les consulterait-il ?
Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que là où coulait Café, naissait le signe d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
On a exactement la même construction que précédemment « fue donde »
Résultat : il les repoussa. Où il courut chez les guérisseurs qu'il vit le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla donc – pourquoi les consulterait-il ?
Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que là où coulait Café, naissait le signe d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
Non, mais change… C'est trop loin + trop de ponctuation au milieu ; ça ne fonctionne pas. Simplifie.
Résultat : il les repoussa. De là, il courut chez les guérisseurs et les vit le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla donc – pourquoi les consulterait-il ?
Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que là où coulait Café, naissait le signe d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
Résultat : il les repoussa. De là, il courut [pourquoi avec « courir » ?] chez les guérisseurs et les vit [change le mode pour assurer le lien logique avec la suite de la phrase] le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla donc – pourquoi les consulterait-il ?
Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que là où coulait Café, naissait le signe d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
Résultat : il les repoussa. De là, il s'en remit aux guérisseurs, mais les voyant le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla – pourquoi les consulterait-il ?
Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que là où coulait Café, naissait le signe d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
Résultat : il les repoussa. De là, il s'en remit [dans ce cas « se tourna vers » ?] aux guérisseurs, mais les voyant le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla – pourquoi [ou avec « à quoi bon » ?] les consulterait-il ?
Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que là où coulait Café, naissait le signe [tu changes trop] d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
Résultat : il les repoussa. De là, il se tourna vers les guérisseurs, mais les voyant le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla – à quoi bon les consulter ? Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que l'endroit où coulait Café était symptomatique d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
Résultat : il les repoussa. De là, il se tourna vers les guérisseurs, mais les voyant le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla – à quoi bon les consulter ? Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que l'endroit où coulait Café était symptomatique d’ [« trahissait l'existence d'une » ou quelque chose comme ça] une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
Résultat : il les repoussa. De là, il se tourna vers les guérisseurs, mais les voyant le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla – à quoi bon les consulter ? Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que l'endroit où coulait Café trahissait l'existence d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
Résultat : il les repoussa. De là, il se tourna vers les guérisseurs, mais les voyant le transformer en petits tas pour soigner les blessures, il s’en alla – à quoi bon les consulter ? Il eut ensuite recours aux astrologues, mais ces derniers survolèrent les étoiles et affirmèrent que l'endroit où coulait Café trahissait l'existence d’une intelligence ouverte, et que le pouvoir mental des buveurs n’avait pas de prix.
OK.
Manon ?
Ok.
Enregistrer un commentaire