Lo encontré en la puerta del cuartito, con los ojos fijos en la boca abierta de mi abuela, por donde salía aquel gorgoteo entrecortado. Fui a buscarle su pastilla y lo llevé otra vez como un sonámbulo de regreso a su cama. Cuando mi abuela por fin murió me tocó en el entierro sujetar una de las manijas del ataúd.
Traduction temporaire :
Je le retrouvai devant la porte de la petite chambre, les yeux rivés à la bouche ouverte de ma grand-mère, d'où sortait un gargouillis entrecoupé. Je cherchai son médicament, puis le ramenai à son lit, tel un somnambule. Lorsque ma grand-mère mourut enfin, je dus tenir l'une des poignées de son cercueil.
Je le retrouvai devant la porte de la petite chambre, les yeux rivés à la bouche ouverte de ma grand-mère, d'où sortait un gargouillis entrecoupé. Je cherchai son médicament, puis le ramenai à son lit, tel un somnambule. Lorsque ma grand-mère mourut enfin, je dus tenir l'une des poignées de son cercueil.
4 commentaires:
Je le retrouvai devant la porte de la petite chambre, les yeux rivés à la bouche ouverte de ma grand-mère, d'où sortait ce gargouillis entrecoupé. Je cherchai sa pastille, puis je le ramenai à son lit, tel un somnambule. Lorsque ma grand-mère décéda enfin, je dus tenir l'une des poignées de son cercueil.
Je le retrouvai devant la porte de la petite chambre, les yeux rivés à [ou « sur » ? Vérifie dans une grammaire] la bouche ouverte de ma grand-mère, d'où sortait ce [« un »] gargouillis entrecoupé. Je cherchai sa pastille [?], puis je [supprime] le ramenai à son lit, tel un somnambule. Lorsque ma grand-mère décéda [non] enfin, je dus tenir l'une des poignées de son cercueil.
Je le retrouvai devant la porte de la petite chambre, les yeux rivés à la bouche ouverte de ma grand-mère, d'où sortait un gargouillis entrecoupé. Je cherchai son médicament, puis le ramenai à son lit, tel un somnambule. Lorsque ma grand-mère mourut enfin, je dus tenir l'une des poignées de son cercueil.
Pour "rivés", on utilise les deux...
Je le retrouvai devant la porte de la petite chambre, les yeux rivés à la bouche ouverte de ma grand-mère, d'où sortait un gargouillis entrecoupé. Je cherchai son médicament, puis le ramenai à son lit, tel un somnambule. Lorsque ma grand-mère mourut enfin, je dus tenir l'une des poignées de son cercueil.
OK.
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