vendredi 1 août 2014

Projet Élise 3 – phrases 165-173

A mi nadie me va a mandar a ninguna parte —bramó Zebrel—. Voy a salir de este lugar ahora mismo y les voy a meter una denuncia... les voy a romper el culo...
Lo dudo —dijo el otro—. Primero averigüe qué le cortaron. Y si todavía no le cortaron nada, ya se lo van a cortar.
Zebrel se sintió aturdido. Volvió a pensar en la mujer del callejón y en la garra del exoprot moliéndole los huesos. Recordó el espacio roto entre nubes negras y levantó los brazos. Le habían amputado ambas manos.

Traduction temporaire :

— Personne ne m'enverra nulle part, moi ! rugit Zebrel. Je vais sortir de cet endroit illico et porter plainte… Je vais leur casser la gueule…
— J'en doute, lui opposa l'autre. D'abord, cherche à savoir ce qu'ils t'ont coupé. Et s'ils ne t'ont encore rien enlevé, ça ne saurait tarder.
Zebrel resta étourdi. Il repensa à la femme de la ruelle et à la main de l'exoprot lui broyant les os. Il se rappela l'espace brisé parmi les nuages noirs et leva les bras. On l'avait amputé des deux mains.

6 commentaires:

Unknown a dit…

— Personne ne m'enverra nulle part, moi ! rugit Zebrel. Je vais sortir de cet endroit dès maintenant et je vais porter plainte… Je vais leur botter le cul…
— J'en doute, affirma l'autre. D'abord, cherche à savoir ce qu'ils t'ont coupé. Et s'ils ne t'ont encore rien enlevé, ça ne saurait tarder.
Zebrel se sentit étourdi. Il repensa à la femme de la ruelle et à la main de l'exoprot lui broyant les os. Il se rappela l'espace brisé parmi les nuages noirs et leva les bras. Ils l'avaient amputé des deux mains.

Tradabordo a dit…

— Personne ne m'enverra nulle part, moi ! rugit Zebrel. Je vais sortir de cet endroit dès maintenant [« illico » ?] et je vais [nécessaire ?] porter plainte… Je vais leur botter [pas plus forte en V.O.] le cul…
— J'en doute, affirma [« opposa » ?] l'autre. D'abord, cherche à savoir ce qu'ils t'ont coupé. Et s'ils ne t'ont encore rien enlevé, ça ne saurait tarder.
Zebrel se sentit étourdi [naturel ?]. Il repensa à la femme de la ruelle et à la main de l'exoprot lui broyant les os. Il se rappela l'espace brisé parmi les nuages noirs et leva les bras. Ils l'avaient amputé des deux mains.

Unknown a dit…

— Personne ne m'enverra nulle part, moi ! rugit Zebrel. Je vais sortir de cet endroit illico et porter plainte… Je vais leur casser la gueule…
— J'en doute, opposa l'autre. D'abord, cherche à savoir ce qu'ils t'ont coupé. Et s'ils ne t'ont encore rien enlevé, ça ne saurait tarder.
Zebrel resta étourdi. Il repensa à la femme de la ruelle et à la main de l'exoprot lui broyant les os. Il se rappela l'espace brisé parmi les nuages noirs et leva les bras. Ils l'avaient amputé des deux mains.

Tradabordo a dit…

— Personne ne m'enverra nulle part, moi ! rugit Zebrel. Je vais sortir de cet endroit illico et porter plainte… Je vais leur casser la gueule…
— J'en doute, [« lui » ?] opposa l'autre. D'abord, cherche à savoir ce qu'ils t'ont coupé. Et s'ils ne t'ont encore rien enlevé, ça ne saurait tarder.
Zebrel resta étourdi. Il repensa à la femme de la ruelle et à la main de l'exoprot lui broyant les os. Il se rappela l'espace brisé parmi les nuages noirs et leva les bras. Ils [ou « On » ? Comme tu veux] l'avaient amputé des deux mains.

Unknown a dit…

— Personne ne m'enverra nulle part, moi ! rugit Zebrel. Je vais sortir de cet endroit illico et porter plainte… Je vais leur casser la gueule…
— J'en doute, lui opposa l'autre. D'abord, cherche à savoir ce qu'ils t'ont coupé. Et s'ils ne t'ont encore rien enlevé, ça ne saurait tarder.
Zebrel resta étourdi. Il repensa à la femme de la ruelle et à la main de l'exoprot lui broyant les os. Il se rappela l'espace brisé parmi les nuages noirs et leva les bras. On l'avait amputé des deux mains.

Tradabordo a dit…

— Personne ne m'enverra nulle part, moi ! rugit Zebrel. Je vais sortir de cet endroit illico et porter plainte… Je vais leur casser la gueule…
— J'en doute, lui opposa l'autre. D'abord, cherche à savoir ce qu'ils t'ont coupé. Et s'ils ne t'ont encore rien enlevé, ça ne saurait tarder.
Zebrel resta étourdi. Il repensa à la femme de la ruelle et à la main de l'exoprot lui broyant les os. Il se rappela l'espace brisé parmi les nuages noirs et leva les bras. On l'avait amputé des deux mains.

OK.