mardi 5 août 2014

Projet Hélène 3 – phrases 25-30


Natashenka casi no almorzaba ni desayunaba en la casa. El paradero de su esposo se había vuelto un secreto de estado. Aunque recorrió varios de los hospitales de Kiev donde los heridos del incendio habían sido llevados, Varenska no apareció. Aliaksei no podía ayudarla porque llevaba a Anya todos los días al hospital luego de las clases. “Abuelo”, sonrió la niña. “Más fuerte”. El anciano se acercó a su espalda y la empujó suavemente esperando que el columpio la pudiera elevar un poco más. Extrañaba ver flotar el pelo de su nieta por el aire. 

Traduction temporaire :

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Natashenka ne prenait presque aucun déjeuner, ni petit déjeuner à la maison. L’endroit où se trouvait son mari était devenu un secret d’État. Bien qu’elle ait parcouru plusieurs des hôpitaux de Kiev, où les blessés de l’incendie avaient été transportés, Varenska demeura introuvable. Comme il emmenait Anya à l’hôpital tous les jours après l’école, Aliaksei ne pouvait pas l’aider. « Grand-père », sourit la petite-fille. « Plus fort ». Le vieil homme s’avança dans son dos et la poussa doucement, espérant que la balançoire puisse l'entraîner un peu plus haut. Voir les cheveux de sa petite-fille flotter au vent lui manquait.

8 commentaires:

Hélène a dit…

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Natashenka ne prenait presque aucun déjeuner, ni petit-déjeuner à la maison. L’endroit où se trouvait son mari était devenu un secret d’État. Bien qu’elle parcourût plusieurs des hôpitaux de Kiev où les blessés de l’incendie avaient été transportés, Varenska ne se manifesta pas. Aliaksei ne pouvait pas l’aider car il emmenait Anya à l’hôpital tous les jours après l’école. « Grand-père », sourit la petite-fille. « Plus fort ». Le vieil homme s’approcha de son dos et la poussa doucement en espérant que la balançoire puisse l’élever un peu plus. Voir les cheveux de sa petite-fille flotter dans le vent lui manquait.

Tradabordo a dit…

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Natashenka ne prenait presque aucun déjeuner, ni petit-[pas de tiret ; tu le mets pour le verbe]déjeuner à la maison. L’endroit où se trouvait son mari était devenu un secret d’État. Bien qu’elle parcourût [« ait parcouru » ?] plusieurs des hôpitaux de Kiev [virgule ?] où les blessés de l’incendie avaient été transportés, Varenska ne se manifesta [mal dit / FS ici] pas. Aliaksei ne pouvait pas l’aider [virgule] car il emmenait Anya à l’hôpital tous les jours après l’école [commence la phrase par « Comme il………… »]. « Grand-père », sourit la petite-fille. « Plus fort ». Le vieil homme s’approcha de [?] son dos et la poussa doucement [virgule] en espérant que la balançoire puisse l’élever un peu plus [peu naturel]. Voir les cheveux de sa petite-fille flotter dans le [« au »] vent lui manquait.

Hélène a dit…

2

Natashenka ne prenait presque aucun déjeuner, ni petit déjeuner à la maison. L’endroit où se trouvait son mari était devenu un secret d’État. Bien qu’elle ait parcouru plusieurs des hôpitaux de Kiev, où les blessés de l’incendie avaient été transportés, Varenska resta introuvable. Comme il emmenait Anya à l’hôpital tous les jours après l’école, Aliaksei ne pouvait pas l’aider. « Grand-père », sourit la petite-fille. « Plus fort ». Le vieil homme s’avança dans son dos et la poussa doucement, en espérant que la balançoire puisse la lèver un peu plus haut. Voir les cheveux de sa petite-fille flotter au vent lui manquait.

Hélène a dit…

2

Natashenka ne prenait presque aucun déjeuner, ni petit déjeuner à la maison. L’endroit où se trouvait son mari était devenu un secret d’État. Bien qu’elle ait parcouru plusieurs des hôpitaux de Kiev, où les blessés de l’incendie avaient été transportés, Varenska resta introuvable. Comme il emmenait Anya à l’hôpital tous les jours après l’école, Aliaksei ne pouvait pas l’aider. « Grand-père », sourit la petite-fille. « Plus fort ». Le vieil homme s’avança dans son dos et la poussa doucement, en espérant que la balançoire puisse la lever un peu plus haut. Voir les cheveux de sa petite-fille flotter au vent lui manquait.

Hélène a dit…

2

Natashenka ne prenait presque aucun déjeuner, ni petit déjeuner à la maison. L’endroit où se trouvait son mari était devenu un secret d’État. Bien qu’elle ait parcouru plusieurs des hôpitaux de Kiev, où les blessés de l’incendie avaient été transportés, Varenska resta introuvable. Comme il emmenait Anya à l’hôpital tous les jours après l’école, Aliaksei ne pouvait pas l’aider. « Grand-père », sourit la petite-fille. « Plus fort ». Le vieil homme s’avança dans son dos et la poussa doucement, en espérant que la balançoire puisse la lever un peu plus haut. Voir les cheveux de sa petite-fille flotter au vent lui manquait.

Tradabordo a dit…

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Natashenka ne prenait presque aucun déjeuner, ni petit déjeuner à la maison. L’endroit où se trouvait son mari était devenu un secret d’État. Bien qu’elle ait parcouru plusieurs des hôpitaux de Kiev, où les blessés de l’incendie avaient été transportés, Varenska resta [ou « demeura » ? Comme tu veux] introuvable. Comme il emmenait Anya à l’hôpital tous les jours après l’école, Aliaksei ne pouvait pas l’aider. « Grand-père », sourit la petite-fille. « Plus fort ». Le vieil homme s’avança dans son dos et la poussa doucement, en [supprime] espérant que la balançoire puisse la lever [bof] un peu plus haut. Voir les cheveux de sa petite-fille flotter au vent lui manquait.

Hélène a dit…

2

Natashenka ne prenait presque aucun déjeuner, ni petit déjeuner à la maison. L’endroit où se trouvait son mari était devenu un secret d’État. Bien qu’elle ait parcouru plusieurs des hôpitaux de Kiev, où les blessés de l’incendie avaient été transportés, Varenska demeura introuvable. Comme il emmenait Anya à l’hôpital tous les jours après l’école, Aliaksei ne pouvait pas l’aider. « Grand-père », sourit la petite-fille. « Plus fort ». Le vieil homme s’avança dans son dos et la poussa doucement, espérant que la balançoire puisse l'entraîner un peu plus haut. Voir les cheveux de sa petite-fille flotter au vent lui manquait.

Tradabordo a dit…

2

Natashenka ne prenait presque aucun déjeuner, ni petit déjeuner à la maison. L’endroit où se trouvait son mari était devenu un secret d’État. Bien qu’elle ait parcouru plusieurs des hôpitaux de Kiev, où les blessés de l’incendie avaient été transportés, Varenska demeura introuvable. Comme il emmenait Anya à l’hôpital tous les jours après l’école, Aliaksei ne pouvait pas l’aider. « Grand-père », sourit la petite-fille. « Plus fort ». Le vieil homme s’avança dans son dos et la poussa doucement, espérant que la balançoire puisse l'entraîner un peu plus haut. Voir les cheveux de sa petite-fille flotter au vent lui manquait.

OK.