Y se sintió la mariposa más vital del mundo. Ese sentimiento vino a ser reforzado con el testimonio de las gentes que le suplicaron:
-Nada de invernar; no podríamos vivir sin ti. Sin tus arrebatos, sin tus palpitaciones, sin tu deleite. Si nos abandonas, hombres y mujeres tendríamos que estar dispuestos a sufrir los neutros fatales de los tiempos.
Traduction temporaire :
Et il eut l'impression d'être le papillon le plus important du monde, sentiment renforcé par le témoignage des gens qui le supplièrent : — Pas question d’hiberner ! On ne pourrait pas vivre sans toi. Sans les impulsions, les palpitations, le délice que tu procures. Si tu nous abandonnes, nous, hommes et femmes, nous devrons être prêts à endurer les indifférences fatales des saisons.
Et il eut l'impression d'être le papillon le plus important du monde, sentiment renforcé par le témoignage des gens qui le supplièrent : — Pas question d’hiberner ! On ne pourrait pas vivre sans toi. Sans les impulsions, les palpitations, le délice que tu procures. Si tu nous abandonnes, nous, hommes et femmes, nous devrons être prêts à endurer les indifférences fatales des saisons.
10 commentaires:
Et il se sentit le papillon le plus important du monde. Ce sentiment fut renforcé par le témoignage des gens qui le supplièrent :
— Pas question d’hiberner ! On ne pourrait pas vivre sans toi. Sans tes impulsions, sans tes palpitations, sans ton délice. Si tu nous abandonnes, nous, hommes et femmes, devrons être prêts à supporter les indifférences fatales des saisons.
Et il se sentit [« eut l'impression d'être » ?] le papillon le plus important du monde. Ce [nécessaire ?] sentiment fut renforcé par le témoignage des gens qui le supplièrent :
— Pas question d’hiberner ! On ne pourrait pas vivre sans toi. Sans tes impulsions, sans tes palpitations, sans ton délice [est-ce que ça n'est pas : « les……………… que tu procures » ?]. Si tu nous abandonnes, nous, hommes et femmes, [« nous »] devrons être prêts à supporter [« endurer »] les indifférences [sûre ?] fatales des saisons.
J'ai enlevé la répétition de "sans", vous me donnerez votre avis.
Pour "indifférences", je trouve que ça correspond bien à ce contexte, mais qu'est-ce qui te gênait, Caroline ?
Et il eut l'impression d'être le papillon le plus important du monde. Sentiment renforcé par le témoignage des gens qui le supplièrent :
— Pas question d’hiberner ! On ne pourrait pas vivre sans toi. Sans les impulsions, les palpitations, le délice que tu procures. Si tu nous abandonnes, nous, hommes et femmes, nous devrons être prêts à endurer les indifférences [sûre ?] fatales des saisons.
Et il eut l'impression d'être le papillon le plus important du monde. [ou une simple virgule ? Comme vous voulez] Sentiment renforcé par le témoignage des gens qui le supplièrent :
— Pas question d’hiberner ! On ne pourrait pas vivre sans toi. Sans les impulsions, les palpitations, le délice que tu procures. Si tu nous abandonnes, nous, hommes et femmes, nous devrons être prêts à endurer les indifférences [sûre ? Je n'ai pas eu de réponse à mon dernier commentaire] fatales des saisons.
Si, tu as eu une réponse, relis bien mon commentaire ;)
Je ne vois pas… J'ai beau relire les deux versions.
C'était au-dessus de la proposition ;) je te le copie ici :
Pour "indifférences", je trouve que ça correspond bien à ce contexte, mais qu'est-ce qui te gênait, Caroline ?
Ah. Mieux vaut mettre tes remarques à l'endroit où elles interviennent, car comme je dois faire vite, tout ce qui est annexe me ralentit.
Non, OK… après réflexion, ça va.
Justine ?
Et il eut l'impression d'être le papillon le plus important du monde, sentiment renforcé par le témoignage des gens qui le supplièrent :
— Pas question d’hiberner ! On ne pourrait pas vivre sans toi. Sans les impulsions, les palpitations, le délice que tu procures. Si tu nous abandonnes, nous, hommes et femmes, nous devrons être prêts à endurer les indifférences fatales des saisons.
Et il eut l'impression d'être le papillon le plus important du monde, sentiment renforcé par le témoignage des gens qui le supplièrent :
— Pas question d’hiberner ! On ne pourrait pas vivre sans toi. Sans les impulsions, les palpitations, le délice que tu procures. Si tu nous abandonnes, nous, hommes et femmes, nous devrons être prêts à endurer les indifférences fatales des saisons.
OK.
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