Se sintió entonces el más reconfortante de los seres y desplegó las alas. Hizo cabriolas, ebrio de alegría; batió vientos; formó remolinos de ilusiones; aumentó la felicidad de los pueblos contentos y mermó la tristeza de los apaleados.
Traduction temporaire :
Il sentit alors qu'il était l'être le plus réconfortant qui soit et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; déchaîna les vents ; forma des tourbillons d'espoirs ; augmenta le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des peuples abattus.
Il sentit alors qu'il était l'être le plus réconfortant qui soit et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; déchaîna les vents ; forma des tourbillons d'espoirs ; augmenta le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des peuples abattus.
9 commentaires:
Il se sentit alors le plus réconfortant des êtres et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; souleva des vents ; forma des tourbillons d'espoirs ; éleva le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des abattus.
Il se sentit alors le plus réconfortant des êtres [juste, mais un petit manque de fluidité / naturel… Je t'accorde que l'idée ne l'est pas, mais bon… ;-)] et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; souleva des vents [euh… mieux vaut le formuler autrement] ; forma des tourbillons d'espoirs ; éleva le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des abattus [non… en adjectif, ok, pas en substantif].
Il sentit alors qu'il était l'être le plus réconfortant et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; souleva des vents [euh… mieux vaut le formuler autrement / problème de vocabulaire ou de syntaxe ?] ; forma des tourbillons d'espoirs ; éleva le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des peuples abattus.
Il sentit alors qu'il était l'être le plus réconfortant [cheville : « qui soit » ?] et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; souleva des vents [euh… mieux vaut le formuler autrement / problème de vocabulaire ou de syntaxe ? Non, c'est « vents » au pluriel et avec cet entourage ;-))))] ; forma des tourbillons d'espoirs ; éleva le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des peuples abattus.
Je vous explique pourquoi j'ai choisi « déchaîna des vents » :
Voilà ce que dit le DRAE pour « batir » : . Dicho del sol, del agua o del viento: Dar en una parte sin estorbo alguno.
Il sentit alors qu'il était l'être le plus réconfortant qui soit et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; déchaîna des vents ; forma des tourbillons d'espoirs ; augmenta le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des peuples abattus.
Il sentit alors qu'il était l'être le plus réconfortant qui soit et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; déchaîna le souffle des vents ; forma des tourbillons d'espoirs ; augmenta le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des peuples abattus.
Je trouve ça pire en ajoutant "le souffle" ;-)
Il sentit alors qu'il était l'être le plus réconfortant qui soit et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; déchaîna les vents ; forma des tourbillons d'espoirs ; augmenta le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des peuples abattus.
Il sentit alors qu'il était l'être le plus réconfortant qui soit et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; déchaîna les vents ; forma des tourbillons d'espoirs ; augmenta le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des peuples abattus.
OK.
Justine ?
Il sentit alors qu'il était l'être le plus réconfortant qui soit et déploya ses ailes. Il fit des cabrioles, ivre de joie ; déchaîna les vents ; forma des tourbillons d'espoirs ; augmenta le bonheur des peuples contents et réduisit la tristesse des peuples abattus.
OK.
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