lundi 3 novembre 2014

Projet Cindy – phrases 6-8

Cuando él volvió, todavía estaba aferrada a las sábanas gastadas por el roce de las lágrimas. Cerré los ojos esperando la brutalidad cotidiana, pero enseguida me puse de pie y, con una fuerza que no había tenido nunca, lo aparté de mi camino para correr hacia la libertad. Desde la cárcel, aún se pregunta por qué su carisma no me retuvo para siempre.

Traduction temporaire :

Lorsqu'il est revenu, j'étais toujours agrippée aux draps, usés par le frottement de mes larmes. J'ai fermé les yeux, attendant mon lot de brutalités quotidiennes, mais je me suis tout de suite mise debout et, avec une force que je n'avais jamais eue, je l'ai écarté de mon chemin pour courir vers la liberté. Depuis la prison, il se demande encore pourquoi son charisme ne m'a pas retenue pour toujours.

9 commentaires:

Unknown a dit…

Lorsqu'il est revenu, j'étais toujours agrippée aux draps, usés par le frottement de mes larmes. J'ai fermé les yeux, attendant la brutalité quotidienne, mais je me suis tout de suite mise debout et, avec une force, comme je n'en avais jamais eu, je l'ai écarté de mon chemin pour courir vers la liberté. Depuis la prison, il se demande encore pourquoi son charisme ne m'avait pas retenue pour toujours.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'il est revenu, j'étais toujours agrippée aux draps, usés par le frottement de mes larmes. J'ai fermé les yeux, attendant la brutalité quotidienne, mais je me suis tout de suite mise debout et, avec une force, comme [pourquoi changer ?] je n'en avais jamais eu, je l'ai écarté de mon chemin pour courir vers la liberté. Depuis la prison, il se demande encore pourquoi son charisme ne m'avait pas retenue [temps ?] pour toujours.

Unknown a dit…

Lorsqu'il est revenu, j'étais toujours agrippée aux draps, usés par le frottement de mes larmes. J'ai fermé les yeux, attendant la brutalité quotidienne, mais je me suis tout de suite mise debout et, avec une force, que je n'avais jamais eu, je l'ai écarté de mon chemin pour courir vers la liberté. Depuis la prison, il se demande encore pourquoi son charisme ne m'a pas retenue pour toujours.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'il est revenu, j'étais toujours agrippée aux draps, usés par le frottement de mes larmes. J'ai fermé les yeux, attendant la brutalité quotidienne [je n'arrive pas à être satisfaite ; manque un possessif ?], mais je me suis tout de suite mise debout et, avec une force, [pourquoi cette virgule ?] que je n'avais jamais eu [grammaire], je l'ai écarté de mon chemin pour courir vers la liberté. Depuis la prison, il se demande encore pourquoi son charisme ne m'a pas retenue pour toujours.

Unknown a dit…

Lorsqu'il est revenu, j'étais toujours agrippée aux draps, usés par le frottement de mes larmes. J'ai fermé les yeux, attendant sa brutalité quotidienne, mais je me suis tout de suite mise debout et, avec une force que je n'avais jamais eue, je l'ai écarté de mon chemin pour courir vers la liberté. Depuis la prison, il se demande encore pourquoi son charisme ne m'a pas retenue pour toujours

Unknown a dit…

Lorsqu'il est revenu, j'étais toujours agrippée aux draps, usés par le frottement de mes larmes. J'ai fermé les yeux, attendant sa brutalité quotidienne, mais je me suis tout de suite mise debout et, avec une force que je n'avais jamais eue, je l'ai écarté de mon chemin pour courir vers la liberté. Depuis la prison, il se demande encore pourquoi son charisme ne m'a pas retenue pour toujours.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'il est revenu, j'étais toujours agrippée aux draps, usés par le frottement de mes larmes. J'ai fermé les yeux, attendant sa [« mon lot de » ?] brutalité quotidienne, mais je me suis tout de suite mise debout et, avec une force que je n'avais jamais eue, je l'ai écarté de mon chemin pour courir vers la liberté. Depuis la prison, il se demande encore pourquoi son charisme ne m'a pas retenue pour toujours.

Unknown a dit…

Lorsqu'il est revenu, j'étais toujours agrippée aux draps, usés par le frottement de mes larmes. J'ai fermé les yeux, attendant mon lot de brutalités quotidiennes, mais je me suis tout de suite mise debout et, avec une force que je n'avais jamais eue, je l'ai écarté de mon chemin pour courir vers la liberté. Depuis la prison, il se demande encore pourquoi son charisme ne m'a pas retenue pour toujours.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'il est revenu, j'étais toujours agrippée aux draps, usés par le frottement de mes larmes. J'ai fermé les yeux, attendant mon lot de brutalités quotidiennes, mais je me suis tout de suite mise debout et, avec une force que je n'avais jamais eue, je l'ai écarté de mon chemin pour courir vers la liberté. Depuis la prison, il se demande encore pourquoi son charisme ne m'a pas retenue pour toujours.

OK.