No escribía frente a ella. Sentía una suerte de pudor o pena. Pretendía ser una gran escritora de cuentos audaces. Cada noche me contaba cómo iban a desarrollarse esos cuentos, pero bajaba la cabeza y decía cuentos que no podré escribir jamás. Nunca terminaba uno solo de ellos, pasaba a otro y a otro y si quería retomar alguno, ya no podía hacerlo. Cuando se quedaba dormida yo sacaba un cuaderno y escribía todo lo que ella decía. Argumentos increíbles.
Traduction temporaire :
Je n'écrivais pas devant elle. J'éprouvais une sorte de pudeur, voire de la peine. Elle prétendait être une grande écrivaine, l'auteure de nouvelles osées. Chaque nuit, elle me déroulait la trame de ces textes, mais, tête basse, elle se lamentait : des histoires que je ne pourrai jamais écrire… Elle n'en achevait jamais une seule, en entamait une autre et encore une autre, et si jamais elle voulait modifier quelque chose, elle en était incapable. Lorsqu'elle dormait, je sortais un cahier et notais tout ce qu'elle avait dit. Des thèmes incroyables !
Je n'écrivais pas devant elle. J'éprouvais une sorte de pudeur, voire de la peine. Elle prétendait être une grande écrivaine, l'auteure de nouvelles osées. Chaque nuit, elle me déroulait la trame de ces textes, mais, tête basse, elle se lamentait : des histoires que je ne pourrai jamais écrire… Elle n'en achevait jamais une seule, en entamait une autre et encore une autre, et si jamais elle voulait modifier quelque chose, elle en était incapable. Lorsqu'elle dormait, je sortais un cahier et notais tout ce qu'elle avait dit. Des thèmes incroyables !
6 commentaires:
Je n'écrivais pas devant elle. J'éprouvais une sorte de pudeur, voire de la peine. Elle prétendait être une grande écrivaine, auteure de nouvelles audacieuses. Chaque nuit, elle me déroulait la trame de ces textes, mais elle baissait la tête en se lamentant : des histoires que je ne pourrai jamais écrire… Elle n'en achevait jamais une seule, en entamait une autre et encore une autre, et si jamais elle voulait modifier quelque chose, elle en était incapable. Lorsqu'elle dormait, je sortais un cahier et notait tout ce qu'elle avait dit. Des thèmes incroyables.
Je n'écrivais pas devant elle. J'éprouvais une sorte de pudeur, voire de la peine. Elle prétendait être une grande écrivaine, [« l' »]auteure de nouvelles audacieuses [ou dans le sens « osées » ? Vérifie dans l'unilingue]. Chaque nuit, elle me déroulait la trame de ces textes, mais elle baissait la tête [« mais la tête basse et » ?] en se lamentant : des histoires que je ne pourrai jamais écrire… Elle n'en achevait jamais une seule, en entamait une autre et encore une autre, et si jamais elle voulait modifier quelque chose, elle en était incapable. Lorsqu'elle dormait, je sortais un cahier et notait tout ce qu'elle avait dit. Des thèmes incroyables.
Je n'écrivais pas devant elle. J'éprouvais une sorte de pudeur, voire de la peine. Elle prétendait être une grande écrivaine, l'auteure de nouvelles osées. Chaque nuit, elle me déroulait la trame de ces textes, mais la tête basse, elle se lamentait : des histoires que je ne pourrai jamais écrire… Elle n'en achevait jamais une seule, en entamait une autre et encore une autre, et si jamais elle voulait modifier quelque chose, elle en était incapable. Lorsqu'elle dormait, je sortais un cahier et notais tout ce qu'elle avait dit. Des thèmes incroyables !
Je n'écrivais pas devant elle. J'éprouvais une sorte de pudeur, voire de la peine. Elle prétendait être une grande écrivaine, l'auteure de nouvelles osées. Chaque nuit, elle me déroulait la trame de ces textes, mais la [supprime] tête basse, elle se lamentait : des histoires que je ne pourrai jamais écrire… Elle n'en achevait jamais une seule, en entamait une autre et encore une autre, et si jamais elle voulait modifier quelque chose, elle en était incapable. Lorsqu'elle dormait, je sortais un cahier et notais tout ce qu'elle avait dit. Des thèmes incroyables !
Je n'écrivais pas devant elle. J'éprouvais une sorte de pudeur, voire de la peine. Elle prétendait être une grande écrivaine, l'auteure de nouvelles osées. Chaque nuit, elle me déroulait la trame de ces textes, mais, tête basse, elle se lamentait : des histoires que je ne pourrai jamais écrire… Elle n'en achevait jamais une seule, en entamait une autre et encore une autre, et si jamais elle voulait modifier quelque chose, elle en était incapable. Lorsqu'elle dormait, je sortais un cahier et notais tout ce qu'elle avait dit. Des thèmes incroyables !
Je n'écrivais pas devant elle. J'éprouvais une sorte de pudeur, voire de la peine. Elle prétendait être une grande écrivaine, l'auteure de nouvelles osées. Chaque nuit, elle me déroulait la trame de ces textes, mais, tête basse, elle se lamentait : des histoires que je ne pourrai jamais écrire… Elle n'en achevait jamais une seule, en entamait une autre et encore une autre, et si jamais elle voulait modifier quelque chose, elle en était incapable. Lorsqu'elle dormait, je sortais un cahier et notais tout ce qu'elle avait dit. Des thèmes incroyables !
OK.
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