mardi 4 novembre 2014

Projet Florian – phrases 62-66

Se oyen los cascos de los caballos y los gritos del cochero. Me quiero levantar, les digo que me bajo que sólo quiero encontrar a Mercedes. Se ríen, abro la puerta en el momento que el holandés errante da la vuelta a un cabo vestido con un camisón y un gorro de dormir. Al fondo, las orcas acompañan a la galerna. El holandés me mira con los ojos idos de un loco y recita la dedicatoria que incluyó el escritor en su novela que, claro, es para Mercedes.

Traduction temporaire :

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap vêtu d'une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui intègre l'écrivain dans son œuvre et est clairement destinée à Mercedes.

22 commentaires:

Unknown a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dit que je descends car je veux seulement retrouver Mercedes. Ils rient, j'ouvre la portière au moment ou le hollandais errant renverse un brigadier vêtu d'une chemise et d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Tradabordo a dit…

Ne vous inquiétez pas pour le nom de l'auteur, je le changerai à la fin.

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dit [grammaire] que je descends car [non ; pas en V.O.] je veux seulement retrouver Mercedes. Ils rient, j'ouvre la portière au moment ou le hollandais errant [référence culturelle ; faites des recherches pour savoir le nom qu'on lui donne en français] renverse [?]

un brigadier vêtu d'une chemise et d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Unknown a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, je veux seulement retrouver Mercedes. Ils rient, j'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant revient avec un brigadier vêtu d'une chemise et d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Tradabordo a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, je veux [un moyen d'éviter les deux « je veux » ?] seulement retrouver Mercedes. Ils rient, [point] j'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant revient avec un brigadier vêtu [sûr ?????] d'une chemise et d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Unknown a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant revient avec un brigadier habillé avec une chemise et un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Tradabordo a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, [« que » ?] je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant revient [sens de « dar la vuelta » ?] avec un brigadier habillé avec une chemise et un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Unknown a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant fait le tour avec un brigadier habillé avec une chemise et un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Tradabordo a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant fait le tour avec [non] un brigadier habillé [non ; c'est quoi le Hollandais volant ? Et donc, il fait quoi ? Vous auriez dû vous renseigner plus vite ;-)] avec une chemise et un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Unknown a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant fait le tour avec [non] un brigadier habillé [je suis désolé mais je suis complétement perdu, surtout que le Hollandais volant peut être plusieurs choses. Il est soit un bateau maudit, soit un homme qui a voulu faire croire qu'il pouvait volé. De plus je ne vois pas du tout le rapport avec la chemise et le bonnet de nuit. Je ne comprends pas le sens que l'auteur a voulu donner à cette phrase. J'ai beau me renseigner, cela me perd encore plus] avec une chemise et un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Unknown a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap habillé d'une chemise et d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Tradabordo a dit…

Conclusion ; ne jamais avoir la flemme de chercher… sous peine de mettre n'importe quoi.

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap habillé [il y a mieux] d'une chemise et [ici, il faudra un autre adjectif] d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques sont en chœur [?????] avec la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux perdus dans le vague, comme un fou [pas formulé comme ça en V.O.], et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Unknown a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap ajusté d'une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui insère l'écrivain dans son œuvre et qui est clairement dédiée à Mercedes.

Tradabordo a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap ajusté [non] d'une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui insère [« intègre »] l'écrivain dans son œuvre et qui [nécessaire ?] est clairement dédiée [« pour », comme en V.O.] à Mercedes.

Unknown a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap dans une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui intègre l'écrivain dans son œuvre et est clairement pour Mercedes.

Tradabordo a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap dans [un adjectif ; il s'agit de faire écho à « coiffé »] une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui intègre l'écrivain dans son œuvre et est clairement pour Mercedes.

Unknown a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap paré d'une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui intègre l'écrivain dans son œuvre et est clairement pour Mercedes.

Tradabordo a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap paré [« vêtu »] d'une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui intègre l'écrivain dans son œuvre et est clairement pour [bon allez, « destinée à » ?] Mercedes.

Tradabordo a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap paré [« vêtu »] d'une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui intègre l'écrivain dans son œuvre et est clairement pour [bon allez, « destinée à » ?] Mercedes.

Tradabordo a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap paré [« vêtu »] d'une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui intègre l'écrivain dans son œuvre et est clairement pour [bon allez, « destinée à » ?] Mercedes.

Unknown a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap vêtu d'une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui intègre l'écrivain dans son œuvre et est clairement destinée à Mercedes.

Tradabordo a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap vêtu d'une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui intègre l'écrivain dans son œuvre et est clairement destinée à Mercedes.

OK.

Tradabordo a dit…

On entend les sabots des chevaux et les cris du cocher. Je veux me lever, je leur dis que je descends, que je souhaite seulement retrouver Mercedes. Ils rient. J'ouvre la portière au moment ou le Hollandais volant franchit un cap vêtu d'une chemise et coiffé d'un bonnet de nuit. Au loin, les orques accompagnent la galerne. Le Hollandais me regarde avec les yeux d'un fou, perdus dans le vague, et récite la dédicace qui intègre l'écrivain dans son œuvre et est clairement destinée à Mercedes.

OK.