Me cuentan, ya en el auto y volviendo, que el Colo conoció a la mujer de su vida, que Mauricio estuvo con dos chicas de Pilar y que Joaquín no se atrevió a meterle los cuernos a su novia, con lo cual sólo bailó e histeriqueó un poco. ¿Y vos?, preguntaron.
No respondo. Permanezco callado durante todo el viaje de regreso hacia Villa Martelli, viendo los carteles publicitarios de la Panamericana, los coches que pasamos a gran velocidad, los isologotipos encendidos de las estaciones de servicio, las porciones de pasto que se elevan a los costados de la ruta.
Traduction temporaire :
Sur le trajet de retour, ils me racontent que Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a passé la soirée avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé tromper sa fiancée et que du coup, il a juste dansé et un peu fait son cinéma. Et toi ? demandèrent-ils ? Je ne réponds pas. Je reste muet jusqu’à Villa Martelli, à regarder les panneaux publicitaires de la Panaméricaine, les caisses que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui bordent la route.
12 commentaires:
Une fois installés dans la voiture, pendant le trajet de retour, ils me racontent que le Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a flirté avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé mettre les cornes à sa fiancée et que du coup, il a juste dansé et fait l'histéro. Un peu. Et toi? Demandèrent-ils? Je ne réponds pas. Je reste muet pendant tout le trajet de retour à Villa Martelli, à regarder les panneaux publicitaires de la Panaméricaine, les autos que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui longent la route.
Une fois installés [nécessaire ?] dans la voiture, pendant le trajet de retour, ils me racontent que le Colo [surnom ? Auquel cas, il faut le traduire] a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a flirté [sûre ?] avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé mettre les cornes [pas un peu vieilli ?] à sa fiancée et que du coup, il a juste dansé et fait l'histéro [?]. Un peu [pourquoi tu sépares ?]. Et toi[espace]? Demandèrent-ils[espace]?
Je ne réponds pas. Je reste muet pendant tout le trajet de retour à Villa Martelli, à regarder les panneaux publicitaires de la Panaméricaine, les autos que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui longent la route.
Une fois installés, pendant le trajet de retour, ils me racontent que Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a passé la soirée avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé tromper sa fiancée et que de ce fait, il a juste dansé et fait son cinéma. Un peu [pourquoi tu sépares ? c'est comme ça dans le texte]. Et toi ? Demandèrent-ils ? Je ne réponds pas. Je reste muet pendant tout le trajet de retour à Villa Martelli, à regarder les panneaux publicitaires de la Panaméricaine, les autos que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui longent la route.
Un article intéressant sur el histeriqueo :
http://www.taringa.net/posts/offtopic/7086755/Argentina-el-pais-del-histeriqueo.html
Une fois installés, pendant [ou avec « pour » ? J'hésite ; essaie et vois ce qui est mieux] le trajet de retour, ils me racontent que Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a passé la soirée avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé tromper sa fiancée et que de ce fait [peu naturel ici], il a juste dansé et fait son cinéma. Un peu [pourquoi tu sépares ? c'est comme ça dans le texte // Ben sur la version que j'ai collée, je ne vois pas ça]. Et toi ? demandèrent-ils ? Je ne réponds pas. Je reste muet pendant tout le trajet de retour [essaie de ne pas répéter] à Villa Martelli, à [pb à cause du précédent… ça les met sur le même niveau et l'effet est bizarre…] regarder les panneaux publicitaires de la Panaméricaine, les autos [bof] que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui longent la route.
Une fois installés et sur [ou avec « pour » ? il me semble que cela ne signifie pas la même chose] le trajet de retour, ils me racontent que Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a passé la soirée avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé tromper sa fiancée et que du coup, il a juste dansé et un peu fait son cinéma. Un peu [c’était une erreur]. Et toi ? Demandèrent-ils ? Je ne réponds pas. Je reste muet jusqu’à Villa Martelli, et je regarde les panneaux publicitaires de la Panaméricaine, les caisses que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui longent la route.
Une fois installés et sur le trajet de retour, ils me racontent que Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a passé la soirée avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé tromper sa fiancée et que du coup, il a juste dansé et un peu fait son cinéma. Et toi ? Demandèrent-ils ? Je ne réponds pas. Je reste muet jusqu’à Villa Martelli, et je regarde les panneaux publicitaires de la Panaméricaine, les caisses que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui longent la route.
Une fois installés et [supprime tout ça ; à chaque fois, ça me fait bizarre… et c'est implicite s'ils sont sur le chemin du retour] sur le trajet de retour, ils me racontent que Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a passé la soirée avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé tromper sa fiancée et que du coup, il a juste dansé et un peu fait son cinéma. Et toi ? demandèrent-ils ? Je ne réponds pas. Je reste muet jusqu’à Villa Martelli, et je regarde [« à regarder » ?] les panneaux publicitaires de [ou « sur » ? J'hésite…] la Panaméricaine, les caisses que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui longent [« bordent » ?] la route.
Sur le trajet de retour, ils me racontent que Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a passé la soirée avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé tromper sa fiancée et que du coup, il a juste dansé et un peu fait son cinéma. Et toi ? demandèrent-ils ? Je ne réponds pas. Je reste muet jusqu’à Villa Martelli,à regarder [c'était mon choix initial] les panneaux publicitaires de [ou « sur » ? sur : me semble lourd ???] la Panaméricaine, les caisses que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui bordent la route.
Sur le trajet de retour, ils me racontent que Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a passé la soirée avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé tromper sa fiancée et que du coup, il a juste dansé et un peu fait son cinéma. Et toi ? demandèrent-ils [dis : on était au passé simple ?] ? [supprime ce ?] Je ne réponds pas. Je reste muet jusqu’à Villa Martelli,[espace]à regarder [c'était mon choix initial] les panneaux publicitaires de [ou « sur » ? sur : me semble lourd ??? OK] la Panaméricaine, les caisses que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui bordent la route.
Sur le trajet de retour, ils me racontent que Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a passé la soirée avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé tromper sa fiancée et que du coup, il a juste dansé et un peu fait son cinéma. Et toi ? demandèrent-ils [le texte est au passé simple !!!] ? Je ne réponds pas. Je reste muet jusqu’à Villa Martelli, à regarder les panneaux publicitaires de la Panaméricaine, les caisses que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui bordent la route.
Sur le trajet de retour, ils me racontent que Colo a rencontré la femme de sa vie, que Mauricio a passé la soirée avec deux filles du Pilar et que Joaquin n’a pas osé tromper sa fiancée et que du coup, il a juste dansé et un peu fait son cinéma. Et toi ? demandèrent-ils ? Je ne réponds pas. Je reste muet jusqu’à Villa Martelli, à regarder les panneaux publicitaires de la Panaméricaine, les caisses que nous dépassons à toute berzingue, les enseignes lumineuses des stations services, les bandes de prairie qui bordent la route.
OK.
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