Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandora a Caronte
se dice que, como siempre, la última en salir de la caja de Pandora es la engañosa esperanza. Es una flecha que pasa por el aljibe y hace que surja —otra vez— en el espejo del agua, la ilusión de la alegría. Pero el espejo muestra —otra vez— al antiguo ladrón. Él tiene la llave de la puerta y tiene la llave de la luz y está pronto a cerrar la puerta y a apagar la luz . Y entonces —otra vez— y esta vez para siempre, ella comprende que la caja de Pandora, abierta ya del todo para ella, es la barca de Caronte.
Traduction temporaire :
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit d’une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui – de nouveau – fait surgir l’illusion de la joie dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – de nouveau – l’ancien voleur. Il a la clé de la porte et celle de la lumière et il est prêt à fermer la porte et à éteindre la lumière. Alors – de nouveau - et cette fois pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, grande ouverte pour elle, n’est autre que la barque de Charon.
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit d’une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui – de nouveau – fait surgir l’illusion de la joie dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – de nouveau – l’ancien voleur. Il a la clé de la porte et celle de la lumière et il est prêt à fermer la porte et à éteindre la lumière. Alors – de nouveau - et cette fois pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, grande ouverte pour elle, n’est autre que la barque de Charon.
19 commentaires:
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit comme toujours, que le dernier à sortir de la boite de Pandore, c’est l’espoir trompeur. C’est une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui fait surgir – encore une fois- dans le reflet de l’eau, l’illusion de la joie. Mais le reflet montre –encore une fois – l’ancienne voleuse. Elle a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, c’est la barque de Charon.
Maïté
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit comme toujours, que le dernier [tu changes la syntaxe = CS] à sortir de la boite de Pandore, c’est l’espoir trompeur [tu as bien vérifié que c'est ainsi qu'on le dit en français ?] [je pense que tu devrais complètement revoir la syntaxe de cette phrase. Fais des essais].
C’est une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui fait surgir – encore une fois- dans le reflet de l’eau, l’illusion de la joie. Mais le reflet montre –encore une fois – l’ancienne voleuse. Elle a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, c’est la barque de Charon.
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que, toujours, la dernière à sortir de la boite de Pandore, c’est la trompeuse espérance.
C’est une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui fait surgir – encore une fois- dans le reflet de l’eau, l’illusion de la joie. Mais le reflet montre –encore une fois – l’ancienne voleuse. Elle a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, c’est la barque de Charon.
Maïté
(je n'avais pas reçu par mail ton commentaire, je viens juste de le voir sur le site, d'où le retard!, désolée)
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que, toujours, la dernière à sortir de la boite de Pandore, c’est la trompeuse espérance.
Il faut vraiment que tu reformules… ça manque beaucoup de fluidité. On ne peut pas traduire littéralement.
C’est une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui fait surgir – encore une fois- dans le reflet de l’eau, l’illusion de la joie. Mais le reflet montre –encore une fois – l’ancienne voleuse. Elle a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, c’est la barque de Charon.
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit toujours que c’est la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. C’est une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui fait surgir – encore une fois- dans le reflet de l’eau, l’illusion de la joie. Mais le reflet montre –encore une fois – l’ancienne voleuse. Elle a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, c’est la barque de Charon.
Maïté
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit toujours [ou « toujours » s'applique à la suite ?] que c’est la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. C’est une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui fait surgir – encore une fois[espace][« de nouveau » ? Je te laisse voir]- dans le reflet de l’eau, l’illusion de la joie [j'hésite pour la syntaxe ; il n'y a pas plus fluide ?]. Mais le reflet montre –encore une fois – l’ancienne voleuse. Elle a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, c’est la barque de Charon.
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours c’est la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. C’est une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui fait surgir – de nouveau – l’illusion de la joie, dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre –encore une fois – l’ancienne voleuse. Elle a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, c’est la barque de Charon.
Maïté
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours c’est la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. C’est une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui fait surgir – de nouveau – l’illusion de la joie, dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre –encore une fois – l’ancienne voleuse. Elle a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, c’est la barque de Charon.
Maïté
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours c’est la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. C’est une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui fait surgir – de nouveau – l’illusion de la joie, dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre –encore une fois – l’ancienne voleuse. Elle a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, c’est la barque de Charon.
Relis-toi – des coquilles + trop de « c'est » – tu sais bien que c'est une facilité de traduction…, a fortiori répété.
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit une flèche qui passe par le bateau - citerne et qui fait surgir – de nouveau – l’illusion de la joie, dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – encore une fois – l’ancienne voleuse. Elle a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, n’est autre que la barque de Charon.
Maïté
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance [vérifie quand même qu'on le dit bien comme ça… au minimum petit doute sur la syntaxe ; dans l'autre sens ?] qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit une flèche qui passe par le bateau - citerne [bizarre, non ?] et qui fait surgir – de nouveau – l’illusion de la joie, dans le reflet de l’eau [je crois que tu devrais remettre dans l'ordre de la V.O.]. Mais le reflet montre – encore une fois [répétition volontaire] – l’ancienne voleuse [pourquoi au féminin ?]. Elle [idem ?] a la clé de la porte et celle de la lumière et elle est prête à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, ouverte entièrement pour elle, n’est autre que la barque de Charon.
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance [j’ai vérifié, on dit bien comme ça] qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit une flèche qui passe par le bateau - citerne [oui, mais c’est ce que ça veut dire, dans la RAE, c’est écrit « cisterna »] et qui – de nouveau – fait surgir l’illusion de la joie dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – de nouveau – l’ancien voleur. Il a la clé de la porte et celle de la lumière et il est prêt à la fermer et à allumer la lumière. Et alors – encore une fois – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, qui lui est grand ouvert, n’est autre que la barque de Charon.
Maïté
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit [?] une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui – de nouveau – fait surgir l’illusion de la joie dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – de nouveau – l’ancien voleur. Il a la clé de la porte et celle de la lumière et il est prêt à la fermer et à allumer [FS] la lumière. Et alors – encore une fois [répétition volontaire] – et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, qui lui est grand ouvert [vérifie la grammaire], n’est autre que la barque de Charon.
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit d’une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui – de nouveau – fait surgir l’illusion de la joie dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – de nouveau – l’ancien voleur. Il a la clé de la porte et celle de la lumière et il est prêt à la fermer et à éteindre la lumière. Et alors –de nouveau - et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, qui lui est grande ouverte, n’est autre que la barque de Charon.
Maïté
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit d’une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui – de nouveau – fait surgir l’illusion de la joie dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – de nouveau – l’ancien voleur. Il a la clé de la porte et celle de la lumière et il est prêt à la [pour faire le parallèle, répète « porte » // tu répètes « lumière » ; autant assumer] fermer et à éteindre la lumière. Et alors –[espace]de nouveau - et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, qui lui est grande ouverte [ce sera mieux avec « pour elle »], n’est autre que la barque de Charon.
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit d’une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui – de nouveau – fait surgir l’illusion de la joie dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – de nouveau – l’ancien voleur. Il a la clé de la porte et celle de la lumière et il est prêt à fermer la porte et à éteindre la lumière. Et alors – de nouveau - et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, qui lui est grande ouverte pour elle, n’est autre que la barque de Charon.
Maïté
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit d’une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui – de nouveau – fait surgir l’illusion de la joie dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – de nouveau – l’ancien voleur. Il a la clé de la porte et celle de la lumière et il est prêt à fermer la porte et à éteindre la lumière. Alors – de nouveau - et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, qui lui est [supprime du coup ; relis avant d'enregistrer tes commentaires] grande ouverte pour elle, n’est autre que la barque de Charon.
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit d’une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui – de nouveau – fait surgir l’illusion de la joie dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – de nouveau – l’ancien voleur. Il a la clé de la porte et celle de la lumière et il est prêt à fermer la porte et à éteindre la lumière. Alors – de nouveau - et cette fois, pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, grande ouverte pour elle, n’est autre que la barque de Charon.
Maïté
Cristina Feijoo (Argentine)
De Pandore à Charon
On dit que c’est toujours la trompeuse espérance qui sort en dernier de la boite de Pandore. Il s’agit d’une flèche qui passe par le bateau-citerne et qui – de nouveau – fait surgir l’illusion de la joie dans le reflet de l’eau. Mais le reflet montre – de nouveau – l’ancien voleur. Il a la clé de la porte et celle de la lumière et il est prêt à fermer la porte et à éteindre la lumière. Alors – de nouveau - et cette fois pour toujours, elle comprend que la boite de Pandore, grande ouverte pour elle, n’est autre que la barque de Charon.
OK.
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