lundi 3 novembre 2014

Projet Morgane 12 – phrases 103-104

Abraham se dio cuenta de lo que iba a ocurrir y salió disparado gritando («¡no por favor!») como si hubiera venido a llevarnos la caravana de la muerte. Yo me quedé quieto y en silencio, no porque quisiera hacerme el valiente sino porque en ese momento no entendía que la diversión de la noche consistía en golpearme sin motivo, en vaciar como fuera la ira acumulada que todos nosotros llevábamos dentro.

Traduction temporaire :
Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! »), comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai immobile et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux de la troupe, mais parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit, c'était de me frapper gratuitement, de libérer la colère que nous avions en nous par tous les moyens.

14 commentaires:

Unknown a dit…

Abraham se rendit compte de ce qui allait arriver. Il sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît! ») comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai tranquille et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux, plutôt parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit consistait en me frapper sans raison, en libérer comme on le pouvait la colère que nous avions tous en nous.

Tradabordo a dit…

Rétablis tes espaces.

Unknown a dit…

Abraham se rendit compte de ce qui allait arriver. Il sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! ») comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai tranquille et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux, plutôt parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit consistait en me frapper sans raison, en libérer comme on le pouvait la colère que nous avions tous en nous.

Tradabordo a dit…

Abraham se rendit compte [tu as déstructuré le raisonnement en faisant deux phrases // que penses-tu de : « se rendant compte………… » ?] de ce qui allait arriver. Il sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! ») comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai tranquille et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux, plutôt parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit consistait en me frapper sans raison, en libérer comme on le pouvait la colère que nous avions tous en nous.

Unknown a dit…

Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! ») comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai tranquille et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux, plutôt parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit consistait en me frapper sans raison, en libérer comme on le pouvait la colère que nous avions tous en nous.

Tradabordo a dit…

Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! ») [virgule ?] comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai tranquille [ou dans le sens de « calme » ou « immobile » ? Vérifie bien] et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux [cheville : « de la troupe » ou alors « un »], [il manque le « mais », non ?] plutôt parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit consistait en me frapper sans raison [naturel ?], en libérer comme on le pouvait la colère que nous avions tous en nous.

Unknown a dit…

Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! »), comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai immobile et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux de la troupe, mais plutôt parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit consistait en me frapper gratuitement, en libérer comme on le pouvait la colère que nous avions tous en nous.

Tradabordo a dit…

Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! »), comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai immobile et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux de la troupe, mais plutôt [nécessaire ? Comme tu veux…] parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit consistait en [sûre ? Ça me fait bizarre à chaque fois que je le lis…] me frapper gratuitement, en libérer comme on le pouvait la colère que nous avions tous en nous.

Unknown a dit…

Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! »), comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai immobile et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux de la troupe, mais parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit, c'était de me frapper gratuitement, de libérer comme on le pouvait la colère que nous avions tous en nous.

Tradabordo a dit…

Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! »), comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai immobile et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux de la troupe, mais parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit, c'était de me frapper gratuitement, de libérer comme on le pouvait [« par tous les moyens » / « n'importe comment » ?] la colère que nous avions tous en nous.

Unknown a dit…

Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! »), comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai immobile et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux de la troupe, mais parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit, c'était de me frapper gratuitement, de libérer par tous les moyens la colère que nous avions tous en nous.

Tradabordo a dit…

Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! »), comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai immobile et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux de la troupe, mais parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit, c'était de me frapper gratuitement, de libérer par tous les moyens [à la fin ? Essaie] la colère que nous avions tous en nous.

Unknown a dit…

Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! »), comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai immobile et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux de la troupe, mais parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit, c'était de me frapper gratuitement, de libérer la colère que nous avions en nous par tous les moyens.

Tradabordo a dit…

Se rendant compte de ce qui allait arriver, Abraham sortit précipitamment en criant (« Non, s'il vous plaît ! »), comme si la caravane de la mort était venue nous chercher. Moi, je restai immobile et silencieux, pas parce que je voulais passer pour le courageux de la troupe, mais parce qu'à ce moment-là, je ne comprenais pas que la distraction de la nuit, c'était de me frapper gratuitement, de libérer la colère que nous avions en nous par tous les moyens.

OK.