lundi 3 novembre 2014

Projet Sonita 16 – phrases 30-31

Nunca me lo dijeron pero era evidente que mis padres no sólo no confiaban en mi mujer, sino tampoco en mí y ni en su propia sombra. Lo cierto es que la única compensación que tuve en ese período de mi vida fue saber que vivían miserablemente, sin gozar de nada, sin permitirse nada.

Traduction temporaire :

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme, ni à moi, d'ailleurs ; il faut dire qu'ils se méfiaient même de leur ombre. Ce qui est sûr, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie était de savoir qu'ils vivaient misérablement, sans profiter de rien, sans rien se permettre.

14 commentaires:

Sonita a dit…

Ils ne me l'ont jamais dit, mais c'était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme et qu'en plus il ne me faisaient pas confiance non plus, ni à leur propre ombre. Ce qui est vrai, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie fut de savoir qu'ils vivaient misérablement, ne profitaient de rien, ne se permettaient rien.

Tradabordo a dit…

Ils ne me l'ont jamais dit [tu l'as dans le phrase avant… « formulé ainsi »], mais c'[« il »]était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme et qu'en plus il ne me faisaient pas confiance non plus, ni à leur propre ombre [la fin est du charabia ; reprends]. Ce qui est vrai, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie fut de savoir qu'ils vivaient misérablement, ne profitaient de rien, ne se permettaient rien.

Sonita a dit…

Ils ne me l'ont jamais confié, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme et qu'en plus ils ne me faisaient pas confiance non plus, ils se méfiaient même de leur ombre. Ce qui est vrai, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie fut de savoir qu'ils vivaient misérablement, ne profitaient de rien, ne se permettaient rien.

Tradabordo a dit…

Ils ne me l'ont jamais confié [je t'ai donné la solution dans mon commentaire précédent], mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme et qu'en plus ils ne me faisaient pas confiance non plus, ils se méfiaient même de leur ombre. Ce qui est vrai, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie fut de savoir qu'ils vivaient misérablement, ne profitaient de rien, ne se permettaient rien.

Sonita a dit…

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme et qu'en plus ils ne me faisaient pas confiance non plus, ils se méfiaient même de leur ombre. Ce qui est vrai, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie fut de savoir qu'ils vivaient misérablement, ne profitaient de rien, ne se permettaient rien.

Tradabordo a dit…

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme et qu'en plus ils ne me faisaient pas confiance [ça n'est pas répété en V.O.] non plus, ils se méfiaient même de leur ombre. Ce qui est vrai, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie fut de savoir qu'ils vivaient misérablement, ne profitaient de rien, ne se permettaient rien.

Sonita a dit…

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme ni à moi d'ailleurs, ils se méfiaient même de leur ombre. Ce qui est sûr, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie fut de savoir qu'ils vivaient misérablement, ne profitaient de rien, ne se permettaient rien.

Tradabordo a dit…

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme ni à moi d'ailleurs, ils se méfiaient même [« y compris » ?] de leur ombre. Ce qui est sûr, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie fut [pourquoi tu es soudain au passé simple ?] de savoir qu'ils vivaient misérablement, ne profitaient de rien [pourquoi tu as changé la forme ?], ne se permettaient rien [idem ?].

Sonita a dit…

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme ni à moi d'ailleurs, ils se méfiaient y compris de leur ombre. Ce qui est sûr, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie a été de savoir qu'ils vivaient misérablement, sans profiter de rien, sans se permettre rien.

Tradabordo a dit…

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme, ni à moi d'ailleurs, [« ; il faut dire »] ils se méfiaient y compris [remets « même »] de leur ombre. Ce qui est sûr, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie a été de savoir qu'ils vivaient misérablement, sans profiter de rien, sans se permettre rien [avance le « rien » ici].

Sonita a dit…

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme, ni à moi d'ailleurs ; il faut dire ils se méfiaient même de leur ombre. Ce qui est sûr, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie a été de savoir qu'ils vivaient misérablement, sans profiter de rien, sans rien se permettre.

Tradabordo a dit…

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme, ni à moi [virgule] d'ailleurs ; il faut dire [manque quelque chose ici] ils se méfiaient même de leur ombre. Ce qui est sûr, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie a été [« était » ici ?] de savoir qu'ils vivaient misérablement, sans profiter de rien, sans rien se permettre.

Sonita a dit…

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme, ni à moi, d'ailleurs ; il faut dire qu'ils se méfiaient même de leur ombre. Ce qui est sûr, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie était de savoir qu'ils vivaient misérablement, sans profiter de rien, sans rien se permettre.

Tradabordo a dit…

Ils ne l'ont jamais formulé ainsi, mais il était clair que mes parents ne faisaient pas confiance à ma femme, ni à moi, d'ailleurs ; il faut dire qu'ils se méfiaient même de leur ombre. Ce qui est sûr, c'est que la seule compensation que j'ai eue pendant cette période-là de ma vie était de savoir qu'ils vivaient misérablement, sans profiter de rien, sans rien se permettre.

OK.