jeudi 15 janvier 2015

Projet Elena / Céline – phrases 147-151


A veces se lo tragaban y sacárselo era una carnice­ría, porque había que operarlos vivos. Otras veces estaba enganchado en una aleta, o en el cuerpo. En ese caso papá decía que el pescado era "robado". Cuan­do íbamos al Pozo Pestilente llevábamos siem­pre el robador, que es un gancho grande, como un anzuelo gigante de cuatro puntas (o como cuatro anzuelos gigantes pegados). El robador sirve para levantar los pescados más pesados sin que se corte la línea.

Traduction temporaire :

Parfois, ils l'avalaient et quand on le leur enlevait, c'était un carnage, parce qu'il fallait les ouvrir vivants. D'autres fois, il était ferré dans une nageoire ou dans le corps. Dans ce cas, papa disait que le poisson était « volé ». Quand on allait au Pozo Pestilentiel, on apportait le voleur, un gros crochet, comme une sorte d’hameçon géant à quatre pointes. Le voleur sert à remonter les poissons les plus lourds sans que la ligne ne casse.

13 commentaires:

Elena a dit…

Parfois, ils l'avalaient et le leur enlever était un carnage, parce qu'il fallait les ouvrir vivants. D'autres fois, il se ferrait dans une nageoire ou dans le corps. Dans ce cas, papa disait que le poisson était « volé ». Quand on allait au Pozo Pestilentiel, on apportait le voleur, un gros crochet, comme une sorte d’hameçon géant à quatre pointes. Le voleur sert à remonter les poissons les plus lourds sans que la ligne ne casse.

Tradabordo a dit…

Parfois, ils l'avalaient et le leur enlever était un carnage [« quand on le leur………… »], parce qu'il fallait les ouvrir vivants. D'autres fois, il se ferrait [ou « étaient ferrées » ?] dans une nageoire ou dans le corps. Dans ce cas, papa disait que le poisson était « volé ». Quand on allait au Pozo Pestilentiel, on apportait le voleur, un gros crochet, comme une sorte d’hameçon géant à quatre pointes. Le voleur sert à remonter les poissons les plus lourds sans que la ligne ne casse.

Elena a dit…

Parfois, ils l'avalaient et quand on le leur enlevait c'était un carnage, parce qu'il fallait les ouvrir vivants. D'autres fois, il était ferré dans une nageoire ou dans le corps. Dans ce cas, papa disait que le poisson était « volé ». Quand on allait au Pozo Pestilentiel, on apportait le voleur, un gros crochet, comme une sorte d’hameçon géant à quatre pointes. Le voleur sert à remonter les poissons les plus lourds sans que la ligne ne casse.

Tradabordo a dit…

Parfois, ils l'avalaient et quand on le leur enlevait [virgule] c'était un carnage, parce qu'il fallait les ouvrir vivants. D'autres fois, il était ferré [pluriel ?] dans une nageoire ou dans le corps. Dans ce cas, papa disait que le poisson était « volé ». Quand on allait au Pozo Pestilentiel, on apportait le voleur, un gros crochet, comme une sorte d’hameçon géant à quatre pointes. Le voleur sert à remonter les poissons les plus lourds sans que la ligne ne casse.

Elena a dit…

Parfois, ils l'avalaient et quand on le leur enlevait, c'était un carnage, parce qu'il fallait les ouvrir vivants. D'autres fois, il était ferré [pluriel ? → C'est "l'hameçon"]] dans une nageoire ou dans le corps. Dans ce cas, papa disait que le poisson était « volé ». Quand on allait au Pozo Pestilentiel, on apportait le voleur, un gros crochet, comme une sorte d’hameçon géant à quatre pointes. Le voleur sert à remonter les poissons les plus lourds sans que la ligne ne casse.

Tradabordo a dit…

Je crois qu'on dit ferrer le poisson…

Elena a dit…

Nous avions fait des recherches, j'avais trouvé ça, le troisième point est l'emploi pronominale :

Ferrer, CNRTL :
B.− [Le compl. désigne un poisson] Engager le fer d'un hameçon dans les chairs de l'animal qui vient de mordre, en donnant une secousse à la ligne. Ferrer un poisson (Ac.1932).
♦ Emploi abs., fréq. Lignes de pêcheurs qui ferrent. Pascal eut un geste large : presque celui du pêcheur qui a mal ferré et relance sa ligne, garnie d'une nouvelle esche (H. Bazin, Lève-toi,1952, p. 265).
♦ Emploi pronom. Il y eut (...) un éclair de bronze au soleil, et je vis qu'une troisième truite venait de se ferrer d'elle-même (Genevoix, Laframboise,1942, p. 125).

Tradabordo a dit…

OK. Remets l'ensemble.

Elena a dit…

→ Je ne sais pas…, ou bien avec "coincer" ?

Parfois, ils l'avalaient et quand on le leur enlevait, c'était un carnage, parce qu'il fallait les ouvrir vivants. D'autres fois, il était ferré dans une nageoire ou dans le corps. Dans ce cas, papa disait que le poisson était « volé ». Quand on allait au Pozo Pestilentiel, on apportait le voleur, un gros crochet, comme une sorte d’hameçon géant à quatre pointes. Le voleur sert à remonter les poissons les plus lourds sans que la ligne ne casse.

Tradabordo a dit…

Si tu dis pas que c'est comme ça dans le jargon de la pêche, autant laisser.

Céline ?

Elena a dit…

Moi, j'ai trouvé des acception avec "l'hameçon est ferré" dans des sites spécialisés… Voyons ce qu'en pense Céline.

Unknown a dit…

Je pense que "ferré" est correct.

Parfois, ils l'avalaient et quand on le leur enlevait, c'était un carnage, parce qu'il fallait les ouvrir vivants. D'autres fois, il était ferré dans une nageoire ou dans le corps. Dans ce cas, papa disait que le poisson était « volé ». Quand on allait au Pozo Pestilentiel, on apportait le voleur, un gros crochet, comme une sorte d’hameçon géant à quatre pointes. Le voleur sert à remonter les poissons les plus lourds sans que la ligne ne casse.

Tradabordo a dit…

Parfois, ils l'avalaient et quand on le leur enlevait, c'était un carnage, parce qu'il fallait les ouvrir vivants. D'autres fois, il était ferré dans une nageoire ou dans le corps. Dans ce cas, papa disait que le poisson était « volé ». Quand on allait au Pozo Pestilentiel, on apportait le voleur, un gros crochet, comme une sorte d’hameçon géant à quatre pointes. Le voleur sert à remonter les poissons les plus lourds sans que la ligne ne casse.

OK.