mercredi 8 mai 2013

Projet Delphine 3 – phrases 27-28

Simón, los ciclones tienen una virtud y es que dejan al descubierto todas las miserias humanas,  tanto las materiales como las espirituales, ¿Usted nunca se asomo por La Barquita cuando el huracán George? Yo que trabaje como voluntaria vi muchos batidores, catres, canapés y colchones de guata, también sillas y mecedoras de pino tejidas con guano.

Traduction temporaire :
Simón, les cyclones ont cette vertu de mettre à nu toutes les misères humaines, tant matérielles que spirituelles. N'êtes-vous pas passé par La Barquita lorsque l'ouragan Georges a frappé ? Moi qui y ai travaillé en tant volontaire, j'ai vu quantité de chassis, de pieux, de canapés et de matelas en coton, et également des chaises et des fauteuils à bascule en pin et en paille.

5 commentaires:

Unknown a dit…

Simón, los ciclones tienen una virtud y es que dejan al descubierto todas las miserias humanas, tanto las materiales como las espirituales, ¿Usted nunca se asomo por La Barquita cuando el huracán George? Yo que trabaje como voluntaria vi muchos batidores, catres, canapés y colchones de guata, también sillas y mecedoras de pino tejidas con guano.

Simon, les cyclones ont cette vertu de laisser à découvert [mettre à nu ?] toutes les misères humaines, tant matérielles que spirituelles. N'êtes-vous pas passé par La Barquita lorsque l'ouragan Georges a frappé ? Moi qui ai travaillé comme volontaire, j'y ai vu beaucoup de chassis, de pieux, de canapés et de matelas en ouate, et aussi des chaises et des fauteuils à bascule en pin et en paille.

Tradabordo a dit…

Simon [l'accent ; on ne traduit pas les prénoms], les cyclones ont cette vertu de laisser à découvert [mettre à nu ? OUI, BONNE IDÉE] toutes les misères humaines, tant matérielles que spirituelles. N'êtes-vous pas passé par La Barquita [TU AS REGARDÉ DE QUOI IL S'AGIT ? NE SERAIT-CE QUE POUR ÊTRE CERTAINE QUE « PASSÉ » EST ADAPTÉ…] lorsque l'ouragan Georges a frappé [OU SIMPLEMENT « IL Y A EU » – COMME TU VEUX ?] ? Moi qui ai travaillé comme volontaire, j'y ai vu beaucoup [OU « QUANTITÉ » ?] de chassis, de pieux, de canapés et de matelas en ouate [BIZARRE, NON ?], et aussi des chaises et des fauteuils à bascule en pin et en paille.

Unknown a dit…

Simón, les cyclones ont cette vertu de mettre à nu toutes les misères humaines, tant matérielles que spirituelles. N'êtes-vous pas passé par La Barquita [Alors oui, en effet, j'ai regardé et il s'agit d'un quartier qui a été particulièrement touché par cet ouragan] lorsque l'ouragan Georges a frappé [je préfère "a frappé"] ? Moi qui ai travaillé comme volontaire, j'y ai vu quantité de chassis, de pieux, de canapés et de matelas en coton, et aussi des chaises et des fauteuils à bascule en pin et en paille.

Tradabordo a dit…

Quelques petits modifs… Dis-moi si ça te va.

Simón, les cyclones ont cette vertu de mettre à nu toutes les misères humaines, tant matérielles que spirituelles. N'êtes-vous pas passé par La Barquita lorsque l'ouragan Georges a frappé ? Moi qui y ai travaillé en tant volontaire, j'ai vu quantité de chassis, de pieux, de canapés et de matelas en coton, et également des chaises et des fauteuils à bascule en pin et en paille.

Unknown a dit…

Simón, les cyclones ont cette vertu de mettre à nu toutes les misères humaines, tant matérielles que spirituelles. N'êtes-vous pas passé par La Barquita lorsque l'ouragan Georges a frappé ? Moi qui y ai travaillé en tant volontaire, j'ai vu quantité de chassis, de pieux, de canapés et de matelas en coton, et également des chaises et des fauteuils à bascule en pin et en paille.

Oui, parfait, j'avais hésité justement à mettre le pronom "y" dans la structure "moi qui Y ai travaillé" au lieu de le mettre après. Alors, tout est OK.