lundi 26 janvier 2015

Projet Joana / Justine – phrases 483-487

Osorio siempre sabía qué es lo que andaba haciendo y me lo contaba entre chelas. Hemos coincidido en algunas presentaciones sin cruzar palabra y sin que nadie nos presente. Ahora yo soy la curiosidad, el obrero escritor, el que publicó un primer libro de cuentos con historias alucinantes e inverosímiles, sucias. Eran suyas, eran de Cecilia. Las historias que no pudo escribir y que me contaba frenéticamente. 

Traduction temporaire :
Osorio savait toujours ce qu'elle fabriquait et me le racontait entre deux bières. Nous nous sommes croisés lors de quelques conférences, sans échanger un mot et sans que personne nous présente. Désormais, c'est moi la curiosité, l'ouvrier écrivain, celui qui a publié un premier recueil de nouvelles rassemblant des histoires hallucinantes et invraisemblables, sales. Les siennes, celles de Cecilia. Les histoires qu'elle n'avait pas pu écrire et qu'elle me racontait frénétiquement.

9 commentaires:

Justine a dit…

Osorio savait toujours ce qu'elle était en train de faire et me le racontait entre deux bières. Nous nous sommes rencontrés lors de quelques présentations sans échanger un mot et sans que personne nous présente. Désormais, c'est moi la curiosité, l'ouvrier écrivain, celui qui a publié un premier recueil de nouvelles rassemblant des histoires hallucinantes et invraisemblables, sales. C'étaient les siennes, celles de Cecilia. Les histoires qu'elle n'avait pas pu écrire et qu'elle me racontait frénétiquement.

Tradabordo a dit…

Osorio savait toujours ce qu'elle était en train de faire [« fabriquait »] et me le racontait entre deux bières. Nous nous sommes rencontrés [« croisés » ?] lors de quelques présentations [virgule ?] sans échanger un mot et sans que personne nous présente. Désormais, c'est moi la curiosité, l'ouvrier écrivain, celui qui a publié un premier recueil de nouvelles rassemblant des histoires hallucinantes et invraisemblables, sales. C'étaient les siennes, celles de Cecilia. Les histoires qu'elle n'avait pas pu écrire et qu'elle me racontait frénétiquement.

Justine a dit…

Osorio savait toujours ce qu'elle fabriquait et me le racontait entre deux bières. Nous nous sommes croisés lors de quelques présentations, sans échanger un mot et sans que personne nous présente. Désormais, c'est moi la curiosité, l'ouvrier écrivain, celui qui a publié un premier recueil de nouvelles rassemblant des histoires hallucinantes et invraisemblables, sales. C'étaient les siennes, celles de Cecilia. Les histoires qu'elle n'avait pas pu écrire et qu'elle me racontait frénétiquement.

Justine a dit…

Osorio savait toujours ce qu'elle fabriquait et me le racontait entre deux bières. Nous nous sommes croisés lors de quelques présentations, sans échanger un mot et sans que personne nous présente. Désormais, c'est moi la curiosité, l'ouvrier écrivain, celui qui a publié un premier recueil de nouvelles rassemblant des histoires hallucinantes et invraisemblables, sales. C'étaient les siennes, celles de Cecilia. Les histoires qu'elle n'avait pas pu écrire et qu'elle me racontait frénétiquement.

Tradabordo a dit…

Osorio savait toujours ce qu'elle fabriquait et me le racontait entre deux bières. Nous nous sommes croisés lors de quelques présentations, sans échanger un mot et sans que personne nous présente [zut ; pas génial avec « présentations » juste avant]. Désormais, c'est moi la curiosité, l'ouvrier écrivain, celui qui a publié un premier recueil de nouvelles rassemblant des histoires hallucinantes et invraisemblables, sales. C'étaient [nécessaire ?] les siennes, celles de Cecilia. Les histoires qu'elle n'avait pas pu écrire et qu'elle me racontait frénétiquement.

Justine a dit…

Osorio savait toujours ce qu'elle fabriquait et me le racontait entre deux bières. Nous nous sommes croisés lors de quelques présentations, sans échanger un mot et sans que personne nous mette en relation. Désormais, c'est moi la curiosité, l'ouvrier écrivain, celui qui a publié un premier recueil de nouvelles rassemblant des histoires hallucinantes et invraisemblables, sales. Les siennes, celles de Cecilia. Les histoires qu'elle n'avait pas pu écrire et qu'elle me racontait frénétiquement.

Tradabordo a dit…

Osorio savait toujours ce qu'elle fabriquait et me le racontait entre deux bières. Nous nous sommes croisés lors de quelques présentations, sans échanger un mot et sans que personne nous mette en relation [pas très naturel / un peu artificiel ; vois si tu ne devrais pas plutôt changer « présentations »]. Désormais, c'est moi la curiosité, l'ouvrier écrivain, celui qui a publié un premier recueil de nouvelles rassemblant des histoires hallucinantes et invraisemblables, sales. Les siennes, celles de Cecilia. Les histoires qu'elle n'avait pas pu écrire et qu'elle me racontait frénétiquement.

Justine a dit…

Comme il s'agit vraisemblablement de présentations littéraires, peut-on parler de « conférences » ?

Osorio savait toujours ce qu'elle fabriquait et me le racontait entre deux bières. Nous nous sommes croisés lors de quelques conférences, sans échanger un mot et sans que personne nous présente. Désormais, c'est moi la curiosité, l'ouvrier écrivain, celui qui a publié un premier recueil de nouvelles rassemblant des histoires hallucinantes et invraisemblables, sales. Les siennes, celles de Cecilia. Les histoires qu'elle n'avait pas pu écrire et qu'elle me racontait frénétiquement.

Tradabordo a dit…

Osorio savait toujours ce qu'elle fabriquait et me le racontait entre deux bières. Nous nous sommes croisés lors de quelques conférences, sans échanger un mot et sans que personne nous présente. Désormais, c'est moi la curiosité, l'ouvrier écrivain, celui qui a publié un premier recueil de nouvelles rassemblant des histoires hallucinantes et invraisemblables, sales. Les siennes, celles de Cecilia. Les histoires qu'elle n'avait pas pu écrire et qu'elle me racontait frénétiquement.

OK.