—A mí no me dijeron nada —dijo el hombre—, sólo me alquilaron la casa, y la compré cuando reuní el dinero que me pedían por ella.
Alguien hizo un ruido detrás de la puerta. Ni Onel ni el hombre se movieron. A ninguno de los dos les sorprendió el ruido, era como si los dos estuvieran acostumbrados a oírlo. Onel tenía las manos sucias y quemadas por el sol al igual que sus pómulos que le brillaban con el reflejo de la luz. El hombre tenía el rostro marcado por el cansancio, ese que sólo labra la vida en un hombre desgraciado.
Traduction temporaire :
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait un bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avait pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, le genre qui forge la vie d’un homme malheureux.
Quelqu’un a fait un bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avait pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, le genre qui forge la vie d’un homme malheureux.
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— On ne m’a rien dit à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai acheté quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait un bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, c’est comme s’ils étaient tous deux habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, comme ses pommettes qui brillaient avec le reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, seule chose qui battit la vie d’un homme malheureux.
— On ne m’a rien dit à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai acheté [grammaire // vous la faites à chaque fois…] quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait un [« du » ?] bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, c’est comme s’ils étaient tous deux habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, comme [vous en avez un dans la phrase d'avant ; essayez de faire autrement] ses pommettes qui brillaient avec [« à cause » ? Je ne sais pas trop…] le reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, seule chose qui battit la vie d’un homme malheureux [la fin ??????].
— On ne m’a rien dit à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait du [plus général que ‘un’] bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, c’est comme s’ils étaient tous deux habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient avec à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, seule chose qui forge la vie d’un homme malheureux.
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait du bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, c’est [nécessaire ?] comme s’ils étaient tous deux [vous pensez qu'on peut le supprimer ? J'hésite…] habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient avec à cause [relisez-vous] du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, seule chose [pas ce qui est dit en V.O.] qui forge la vie d’un homme malheureux.
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait du bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, fatigue qui forge la vie d’un homme malheureux.
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait du bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’ [le pb avec ça, c'est que du coup, ça illégitime votre « UN bruit » ; à l'évidence, ça n'est pas général, mais précis…] entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, fatigue qui forge la vie d’un homme malheureux.
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait un bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’ entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, fatigue qui forge la vie d’un homme malheureux.
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait un bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, fatigue [il ne répète pas ; « le genre » ou quelque chose comme ça] qui forge la vie d’un homme malheureux.
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait un bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, fatigue, le genre qui forge la vie d’un homme malheureux.
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait un bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, fatigue, [supprimez, du coup ; quand vous changez quelque chose, assurez-vous de faire le ménage autour] le genre qui forge la vie d’un homme malheureux.
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait un bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, le genre qui forge la vie d’un homme malheureux.
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait un bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avaient pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, le genre qui forge la vie d’un homme malheureux.
Jordane ?
Ok.
— On ne m’a rien dit, à moi, ajouta l’homme, on m’a juste loué la maison, et je l’ai achetée quand j’ai réuni l’argent qu’on me demandait pour l’avoir.
Quelqu’un a fait un bruit derrière la porte. Ni Onel ni l’homme n’ont bougé. Le bruit ne les avait pas surpris, comme s’ils étaient habitués à l’entendre. Onel avait les mains sales et brûlées par le soleil, ses pommettes aussi brillaient à cause du reflet de la lumière. L’homme avait le visage marqué par la fatigue, le genre qui forge la vie d’un homme malheureux.
Je rectifie une faute de grammaire "Le bruit ne les avait" et pas "avaient".
OK. Je corrige. Merci.
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