jeudi 29 janvier 2015

Projet Juliette / Jordane – phrases 48-51

El silencio de Onel y la voz del hombre parecían fundirse en una extraña masa de aire que perforaba las paredes. Onel no dejaba de observar los rincones de la casa, donde tal vez aún quedaba algo de polvo del tiempo que le recordaban esas paredes. Nada era confuso en su memoria. Desde su sitio parecía vigilarlo todo.
A mí me la alquilaron —volvió a decir el hombre.

Traduction temporaire :
Le silence d’Onel et la voix de l’homme semblaient se fondre en une étrange masse d’air qui perforait les murs. Onel ne cessait de regarder les coins de la maison, où il restait peut-être encore de la poussière du temps que lui rappelaient ces lieux. Rien n'était confus dans sa mémoire. De sa place, il semblait garder un œil sur tout.

— On me l’a louée à moi, répéta l’homme.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Le silence d’onel et la voix de l’homme semblaient se fondre dans une étrange masse d’air qui perforait les murs. Onel ne cessait de regarder les coins de la maison, où il restait peut-être encore de la poussière du temps que lui rappelaient ses murs. Tout était clair dans sa mémoire. De son fauteuil, il semblait garder un œil sur tout.
— On me l’a loué à moi, répéta l’homme.

Tradabordo a dit…

Le silence d’onel [majuscule] et la voix de l’homme semblaient se fondre dans une étrange masse d’air qui perforait les murs. Onel ne cessait de regarder les coins de la maison, où il restait peut-être encore de la poussière du temps que lui rappelaient ses murs. Tout était clair dans sa mémoire [obligez-vous à passer par « confus »]. De son fauteuil, il semblait garder un œil sur tout.
— On me l’a loué [grammaire ?] à moi, répéta l’homme.

Unknown a dit…

Le silence d’Onel et la voix de l’homme semblaient se fondre dans une étrange masse d’air qui perforait les murs. Onel ne cessait de regarder les coins de la maison, où il restait peut-être encore de la poussière du temps que lui rappelaient ses murs. Rien n'était confus dans sa mémoire. De son fauteuil, il semblait garder un œil sur tout.
— On me l’a louée à moi, répéta l’homme.

Tradabordo a dit…

Le silence d’Onel et la voix de l’homme semblaient se fondre dans une étrange masse d’air qui perforait les murs. Onel ne cessait de regarder les coins de la maison, où il restait peut-être encore de la poussière du temps que lui rappelaient ses [grammaire] murs [pour éviter une répétition : « lieux » / « endroit » ?]. Rien n'était confus dans sa mémoire. De son fauteuil [FS], il semblait garder un œil sur tout.
— On me l’a louée à moi, répéta l’homme.

Unknown a dit…

Le silence d’Onel et la voix de l’homme semblaient se fondre dans une étrange masse d’air qui perforait les murs. Onel ne cessait de regarder les coins de la maison, où il restait peut-être encore de la poussière du temps que lui rappelaient ces lieux. Rien n'était confus dans sa mémoire. De sa place, il semblait garder un œil sur tout.
— On me l’a louée à moi, répéta l’homme.

Tradabordo a dit…

Le silence d’Onel et la voix de l’homme semblaient se fondre dans [« en » ? J'hésite…] une étrange masse d’air qui perforait les murs. Onel ne cessait de regarder les coins de la maison, où il restait peut-être encore de la poussière du temps que lui rappelaient ces lieux. Rien n'était confus dans sa mémoire. De sa place, il semblait garder un œil sur tout.
— On me l’a louée à moi, répéta l’homme.

Unknown a dit…

Le silence d’Onel et la voix de l’homme semblaient se fondre en une étrange masse d’air qui perforait les murs. Onel ne cessait de regarder les coins de la maison, où il restait peut-être encore de la poussière du temps que lui rappelaient ces lieux. Rien n'était confus dans sa mémoire. De sa place, il semblait garder un œil sur tout.
— On me l’a louée à moi, répéta l’homme.

Tradabordo a dit…

Le silence d’Onel et la voix de l’homme semblaient se fondre en une étrange masse d’air qui perforait les murs. Onel ne cessait de regarder les coins de la maison, où il restait peut-être encore de la poussière du temps que lui rappelaient ces lieux. Rien n'était confus dans sa mémoire. De sa place, il semblait garder un œil sur tout.
— On me l’a louée à moi, répéta l’homme.

OK.

Juliette ?