mardi 20 janvier 2015

Projet Justine / Coralie – phrases 80-84

Mona el coño de tu madre, asere, ¿Qué pinga te pasa?
El guardia en la puerta no dio tiempo al primer piñazo,  con la tonfa golpea los barrotes de, hierro,  después abre la puerta y le ordena salir al último negro que encerraron, le quita el pañuelo rojo de la cabeza, lo esposa nuevamente.
Los demás presos ven como es, conducido, ven como es llevado hasta una puerta, al parecer de una oficina, una puerta que se cierra. La oficina del jefe.

Traduction temporaire :

— Flic, ta mère [pas plus grossier, en V.O. ?, j'ai demandé l'avis d'Elena concernant la vulgarité de cette expression, elle valide.], mon pote ! Qu'est-ce qui t'arrive, bordel ? À la porte, le garde ne leur a pas laissé le temps de se castagner ; avec sa matraque, il frappe sur les barreaux en fer, ouvre la porte et ordonne au dernier Noir qu'ils ont serré de sortir. Il lui enlève son foulard rouge, lui remet les menottes. Les autres prisonniers voient comment il est conduit jusqu'à une porte, visiblement celle d'un bureau. Une porte qui se ferme. Le bureau du chef.

4 commentaires:

Justine a dit…

Flic, ta mère, mon pote ! Qu'est-ce qui t'arrive, bordel ? À la porte, le garde ne leur a pas laissé le temps du premier coup de poing ; avec sa matraque, il frappe sur les barreaux en fer, ouvre ensuite la porte et ordonne au dernier Noir qu'ils ont serré de sortir : il lui enlève son foulard rouge, lui remet les menottes. Les autres prisonniers voient comment il est conduit jusqu'à une porte, visiblement celle d'un bureau. Une porte qui se ferme. Le bureau du chef.

Tradabordo a dit…

[le tiret]Flic, ta mère [pas plus grossier, en V.O. ?], mon pote ! Qu'est-ce qui t'arrive, bordel ? À la porte, le garde ne leur a pas laissé le temps du []bof ; pas génial… peut-être parce qu'il manque une cheville ici premier coup de poing ; avec sa matraque, il frappe sur les barreaux en fer, ouvre ensuite [nécessaire ?] la porte et ordonne au dernier Noir qu'ils ont serré de sortir : [point ?] il lui enlève son foulard rouge, lui remet les menottes. Les autres prisonniers voient comment il est conduit jusqu'à une porte, visiblement celle d'un bureau. Une porte qui se ferme. Le bureau du chef.

Justine a dit…

— Flic, ta mère [pas plus grossier, en V.O. ?, j'ai demandé l'avis d'Elena concernant la vulgarité de cette expression, elle valide.], mon pote ! Qu'est-ce qui t'arrive, bordel ? À la porte, le garde ne leur a pas laissé le temps de se castagner ; avec sa matraque, il frappe sur les barreaux en fer, ouvre la porte et ordonne au dernier Noir qu'ils ont serré de sortir. Il lui enlève son foulard rouge, lui remet les menottes. Les autres prisonniers voient comment il est conduit jusqu'à une porte, visiblement celle d'un bureau. Une porte qui se ferme. Le bureau du chef.

Tradabordo a dit…

— Flic, ta mère, mon pote ! Qu'est-ce qui t'arrive, bordel ? À la porte, le garde ne leur a pas laissé le temps de se castagner ; avec sa matraque, il frappe sur les barreaux en fer, ouvre la porte et ordonne au dernier Noir qu'ils ont serré de sortir. Il lui enlève son foulard rouge, lui remet les menottes. Les autres prisonniers voient comment il est conduit jusqu'à une porte, visiblement celle d'un bureau. Une porte qui se ferme. Le bureau du chef.

OK.