El dedo medio de la mano derecha atacó de nuevo la tecla larga en la que antes figuraba una flecha apuntando hacia la izquierda y que ha sido borrado por el uso frecuente. Es absurdo, se dijo, pero eso no es lo peor. Lo peor era, según él, el estilo. Las formas. Tampoco es verosímil la reacción del hombre solo. ¿Cómo reaccionaría la gente en esta circunstancia? No lo sabe. Ha perdido contacto con la gente. El aislamiento, el claustro del oficio.
Traduction temporaire :
Le majeur de sa main droite attaqua de nouveau la longue touche où figurait autrefois une flèche pointant vers la gauche, à présent effacée par un usage fréquent. C’est absurde, se dit-il, mais il y a pire. D’après lui, le pire tenait au style. Aux formes. Même la réaction de l’homme solitaire n’est pas vraisemblable. Comment réagiraient les gens dans ces circonstances ? Il ne le sait pas. Il a perdu le contact avec les autres. L’isolement, l’enfermement du travail.
Le majeur de sa main droite attaqua de nouveau la longue touche où figurait autrefois une flèche pointant vers la gauche, à présent effacée par un usage fréquent. C’est absurde, se dit-il, mais il y a pire. D’après lui, le pire tenait au style. Aux formes. Même la réaction de l’homme solitaire n’est pas vraisemblable. Comment réagiraient les gens dans ces circonstances ? Il ne le sait pas. Il a perdu le contact avec les autres. L’isolement, l’enfermement du travail.
8 commentaires:
Projet Odile 2 – phrases 30-38
Le majeur de sa main droite attaqua de nouveau la longue touche où figurait autrefois une flèche pointant vers la gauche, signe effacé par un usage fréquent. C’est absurde, se dit-il, mais ce n’est pas le pire, Le pire était, d’après lui, le style. Les formes. Même la réaction de l’homme seul n’est pas vraisemblable. Comment réagiraient les gens dans ces circonstances ? Il ne le sait pas. Il a perdu le contact avec les autres. L’isolement, l’enfermement du travail.
Le majeur de sa main droite attaqua de nouveau la longue touche où figurait autrefois une flèche pointant vers la gauche, signe effacé [avec un « ée » à la fin, est-ce que ça ne nous permettrait pas de supprimer ce « signe », assez lourd… ? Essaie] par un usage fréquent. C’est absurde, se dit-il, [point ?] mais ce n’est pas le pire, Le [majuscule ?] pire était, d’après lui, le style [sens de cette phrase ? Manque une cheville ?]. Les formes. Même la réaction de l’homme seul [« solitaire » pour être plus clair ou ça change le sens ?] n’est pas vraisemblable. Comment réagiraient les gens dans ces circonstances ? Il ne le sait pas. Il a perdu le contact avec les autres. L’isolement, l’enfermement du travail.
Projet Odile 2 – phrases 30-38
Le majeur de sa main droite attaqua de nouveau la longue touche où figurait autrefois une flèche pointant vers la gauche, effacée par un usage fréquent. C’est absurde, se dit-il, mais ce n’est pas le pire. D’après lui, le pire en était le style. Les formes. Même la réaction de l’homme solitaire n’est pas vraisemblable. Comment réagiraient les gens dans ces circonstances ? Il ne le sait pas. Il a perdu le contact avec les autres. L’isolement, l’enfermement du travail.
Le majeur de sa main droite attaqua de nouveau la longue touche où figurait autrefois une flèche pointant vers la gauche, effacée par un usage fréquent. C’est absurde, se dit-il, mais ce n’est pas le pire [« il y a pire », pour éviter le pb « c'est » + « ce n'est »]. D’après lui, le pire en était le [« tenait au » ?] style. Les formes. Même la réaction de l’homme solitaire n’est pas vraisemblable. Comment réagiraient les gens dans ces circonstances ? Il ne le sait pas. Il a perdu le contact avec les autres. L’isolement, l’enfermement du travail.
Projet Odile 2 – phrases 30-38
Le majeur de sa main droite attaqua de nouveau la longue touche où figurait autrefois une flèche pointant vers la gauche, effacée par un usage fréquent. C’est absurde, se dit-il, mais il y a pire. D’après lui, le pire tenait au style. Aux formes. Même la réaction de l’homme solitaire n’est pas vraisemblable. Comment réagiraient les gens dans ces circonstances ? Il ne le sait pas. Il a perdu le contact avec les autres. L’isolement, l’enfermement du travail.
Le majeur de sa main droite attaqua de nouveau la longue touche où figurait autrefois une flèche pointant vers la gauche, [cheville : « à présent » ou inutile ?] effacée par un usage fréquent. C’est absurde, se dit-il, mais il y a pire. D’après lui, le pire tenait au style. Aux formes. Même la réaction de l’homme solitaire n’est pas vraisemblable. Comment réagiraient les gens dans ces circonstances ? Il ne le sait pas. Il a perdu le contact avec les autres. L’isolement, l’enfermement du travail.
Projet Odile 2 – phrases 30-38
Bien mieux avec "à présent"...
Le majeur de sa main droite attaqua de nouveau la longue touche où figurait autrefois une flèche pointant vers la gauche, à présent effacée par un usage fréquent. C’est absurde, se dit-il, mais il y a pire. D’après lui, le pire tenait au style. Aux formes. Même la réaction de l’homme solitaire n’est pas vraisemblable. Comment réagiraient les gens dans ces circonstances ? Il ne le sait pas. Il a perdu le contact avec les autres. L’isolement, l’enfermement du travail.
Le majeur de sa main droite attaqua de nouveau la longue touche où figurait autrefois une flèche pointant vers la gauche, à présent effacée par un usage fréquent. C’est absurde, se dit-il, mais il y a pire. D’après lui, le pire tenait au style. Aux formes. Même la réaction de l’homme solitaire n’est pas vraisemblable. Comment réagiraient les gens dans ces circonstances ? Il ne le sait pas. Il a perdu le contact avec les autres. L’isolement, l’enfermement du travail.
OK.
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