-Ahora que sé que del otro lado no hay ángeles ni abismos me vuelvo a mi humilde morada.
Y con buen humor se aproximó a su cadáver -jaula vacía- y fue a entrar para animarlo otra vez.
¡Tan fácil que hubiera sido! Pero no pudo. No pudo porque en ese mismo instante se abrió la puerta y se entrometió su mujer, alarmada por el ruido de silla y cuerpo caídos.
-¡No entres! -gritó él, pero sin voz.
Era tarde. La mujer se arrojó sobre su marido y al sentirlo exánime lloró y lloró.
-¡Cállate! ¡Lo has echado todo a perder! - gritaba él, pero sin voz.
Traduction temporaire :
— Maintenant que je sais que de l'autre côté, il n'y a ni anges ni abîmes, je regagne mon humble demeure.
De bonne humeur, il s'approcha de son cadavre – une cage vide - et s'y glissa pour lui redonner vie. Ç'aurait été si facile ! Mais il ne put pas. Il ne put pas parce qu'à cet instant, la porte s'ouvrit et sa femme surgit, alarmée par le bruit de la chute de la chaise et de son corps.
— N'entre pas ! cria-t-il, sans voix
Trop tard. La femme se jeta sur son mari et, le découvrant inanimé, elle pleura encore et encore.
— Tais-toi ! Tu as tout gâché ! cria-t-il, sans voix.
De bonne humeur, il s'approcha de son cadavre – une cage vide - et s'y glissa pour lui redonner vie. Ç'aurait été si facile ! Mais il ne put pas. Il ne put pas parce qu'à cet instant, la porte s'ouvrit et sa femme surgit, alarmée par le bruit de la chute de la chaise et de son corps.
— N'entre pas ! cria-t-il, sans voix
Trop tard. La femme se jeta sur son mari et, le découvrant inanimé, elle pleura encore et encore.
— Tais-toi ! Tu as tout gâché ! cria-t-il, sans voix.
8 commentaires:
- Maintenant que je sais que de l'autre côté il n'y a pas d'anges ni d'abîmes, je retourne à mon humble demeure.
Et de bonne humeur, il s'approcha de son cadavre – une cage vide – et il alla pour y entrer afin de l'animer de nouveau. Ça aurait été si facile ! Mais il n'y arriva pas. Il n'y arriva pas parce qu'à cet instant la porte s'ouvrit et sa femme s’interposa, alarmée par le bruit de la chute de la chaise et de son corps.
- N'entre pas ! cria-t-il, mais sans voix.
Il était tard. La femme se jeta sur son mari et en le sentant inanimé, elle pleura et pleura.
- Tais-toi ! Tu as tout gâché ! cria-t-il, mais sans voix.
Vous changerez dans l'ensemble du fragment : pour les dialogues, il faut les tirets les plus longs =
—
- Maintenant que je sais que de l'autre côté il n'y a pas [« ni »] d'[supprimez]anges ni d'[supprimez]abîmes, je retourne à mon humble demeure.
Et [nécessaire ?] de bonne humeur, il s'approcha de son cadavre – une cage vide – et il [nécessaire ?] alla pour y entrer afin de l'animer de nouveau [carrément pas clair…]. Ça aurait [« Ç'aurait »] été si facile ! Mais il n'y arriva [si ça n'est pas pour contourner une répétition, je pense qu'il vaut mieux laisser la V.O.] pas. Il n'y arriva pas parce qu'à cet instant [virgule] la porte s'ouvrit et sa femme s’interposa [FS ici], alarmée par le bruit de la chute de la chaise et de son corps.
- N'entre pas ! cria-t-il, mais [nécessaire ? Ça fait un peu bizarre…] sans voix.
Il était tard [ou dans le sens de : « Trop tard » ?]. La femme se jeta sur son mari et en le sentant [« voyant » ; sinon, ça ne va pas…] inanimé, elle pleura et pleura [naturel ?].
- Tais-toi ! Tu as tout gâché ! cria-t-il, mais [idem] sans voix.
- Maintenant que je sais que de l'autre côté il n'y a ni anges ni abîmes, je retourne à mon humble demeure.
De bonne humeur, il s'approcha de son cadavre – une cage vide – il s'y glissa afin de le réanimer. Ç'aurait été si facile ! Mais il ne le put pas. Il ne le put pas parce qu'à cet instant, la porte s'ouvrit et sa femme intervint, alarmée par le bruit de la chute de la chaise et de son corps.
— N'entre pas ! cria-t-il, sans voix.
C'était trop tard. La femme se jeta sur son mari et en le découvrant inanimé, elle pleura sans cesse.
— Tais-toi ! Tu as tout gâché ! cria-t-il, sans voix.
-[tiret long ?] Maintenant que je sais que de l'autre côté [virgule] il n'y a ni anges ni abîmes, je retourne à [ou : « regagne » ? Je vous laisse trancher] mon humble demeure.
De bonne humeur, il s'approcha de son cadavre – une cage vide – il [vous devriez le supprimer + virgule ou « et »] s'y glissa afin de le réanimer [ça fait bizarre, non ? En fait, l'idée c'est qu'il réintègre son corps et lui redonne vie… On n'a pas un moyen plus clair et naturel de le dire ? Si vous ne trouvez pas, on gardera ça… mais voyez quand même si vous avez quelque chose en stock]. Ç'aurait été si facile ! Mais il ne le [nécessaire ?] put pas. Il ne le [idem ?] put pas parce qu'à cet instant, la porte s'ouvrit et sa femme intervint [prenez-le de manière plus simple ; genre : « faire irruption », ou un truc comme ça], alarmée par le bruit de la chute de la chaise et de son corps.
— N'entre pas ! cria-t-il, sans voix.
C'était [nécessaire ? Allez toujours au plus simple / léger] trop tard. La femme se jeta sur son mari et en [je supprimerais + virgule ; essayez et voyez ce que ça donne] le découvrant inanimé, elle pleura sans cesse [« encore et encore » ?].
— Tais-toi ! Tu as tout gâché ! cria-t-il, sans voix.
— Maintenant que je sais que de l'autre côté, il n'y a ni anges ni abîmes, je regagne mon humble demeure.
De bonne humeur, il s'approcha de son cadavre – une cage vide - et s'y glissa pour le ranimer. Ç'aurait été si facile ! Mais il ne put pas. Il ne put pas parce qu'à cet instant, la porte s'ouvrit et sa femme surgit, alarmée par le bruit de la chute de la chaise et de son corps.
— N'entre pas ! cria-t-il, sans voix
Trop tard. La femme se jeta sur son mari et, le découvrant inanimé, elle pleura encore et encore.
— Tais-toi ! Tu as tout gâché ! cria-t-il, sans voix.
— Maintenant que je sais que de l'autre côté, il n'y a ni anges ni abîmes, je regagne mon humble demeure.
De bonne humeur, il s'approcha de son cadavre – une cage vide - et s'y glissa pour le ranimer [je me demande s'il ne faut pas être plus clair : « lui redonner vie » ; pesez le pour et le contre]. Ç'aurait été si facile ! Mais il ne put pas. Il ne put pas parce qu'à cet instant, la porte s'ouvrit et sa femme surgit, alarmée par le bruit de la chute de la chaise et de son corps.
— N'entre pas ! cria-t-il, sans voix
Trop tard. La femme se jeta sur son mari et, le découvrant inanimé, elle pleura encore et encore.
— Tais-toi ! Tu as tout gâché ! cria-t-il, sans voix.
— Maintenant que je sais que de l'autre côté, il n'y a ni anges ni abîmes, je regagne mon humble demeure.
De bonne humeur, il s'approcha de son cadavre – une cage vide - et s'y glissa pour lui redonner vie. Ç'aurait été si facile ! Mais il ne put pas. Il ne put pas parce qu'à cet instant, la porte s'ouvrit et sa femme surgit, alarmée par le bruit de la chute de la chaise et de son corps.
— N'entre pas ! cria-t-il, sans voix
Trop tard. La femme se jeta sur son mari et, le découvrant inanimé, elle pleura encore et encore.
— Tais-toi ! Tu as tout gâché ! cria-t-il, sans voix.
— Maintenant que je sais que de l'autre côté, il n'y a ni anges ni abîmes, je regagne mon humble demeure.
De bonne humeur, il s'approcha de son cadavre – une cage vide - et s'y glissa pour lui redonner vie. Ç'aurait été si facile ! Mais il ne put pas. Il ne put pas parce qu'à cet instant, la porte s'ouvrit et sa femme surgit, alarmée par le bruit de la chute de la chaise et de son corps.
— N'entre pas ! cria-t-il, sans voix
Trop tard. La femme se jeta sur son mari et, le découvrant inanimé, elle pleura encore et encore.
— Tais-toi ! Tu as tout gâché ! cria-t-il, sans voix.
OK.
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