Enrique Anderson Imbert (Argentine)
El fantasma
Se dio cuenta de que acababa de morirse cuando vio que su propio cuerpo, como si no fuera el suyo sino el de un doble, se desplomaba sobre la silla y la arrastraba en la caída. Cadáver y silla quedaron tendidos sobre la alfombra, en medio de la habitación. ¿Con que eso era la muerte?
Traduction temporaire :
Enrique Anderson Imbert (Argentine)
Le Fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme si ce n'était pas le sien, mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise, l'entraînant dans sa chute. Cadavre et chaise se retrouvèrent sur le tapis, au milieu de la chambre. Était-ce dont cela la mort ?
12 commentaires:
Le fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme s'il n'était pas le sien mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise et entraînait celle-ci dans sa chute. Cadavre et chaise restèrent étendus sur le tapis, au milieu de la chambre. En quoi cela était-ce la mort ?
A. Gambiny
Mettez le nom de l'auteur et le pays – après, comme ça, je n'ai plus qu'à faire un copier / coller dans le doc final.
Le fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme s'il n'était [c'est juste, mais il y a quelque chose de plus naturel ; pour résoudre le problème, il faut toujours se poser cette question : comment moi, je le dirais spontanément ?] pas le sien [toujours une virgule devant les « mais » en milieu de phrase] mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise et entraînait celle-ci [un moyen de faire sans, pour alléger ?] dans sa chute. Cadavre et chaise restèrent étendus [adapté pour une chaise ?] sur le tapis, au milieu de la chambre [ou « pièce » ? J'hésite… essayez de voir l'usage en espagnol d'Argentine…]. En quoi cela était-ce la mort [CS pour l'ensemble de la phrase] ?
Enrique Anderson Imbert (Argentine)
Le Fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme si ce n'était pas le sien, mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise et l'entraînait dans sa chute. Cadavre et chaise restèrent gisant [adapté pour une chaise ?] sur le tapis, au milieu de la chambre [ apparemment ce serait bien la chambre : http://forum.wordreference.com/threads/cuarto-pieza-habitaci%C3%B3n.530403/ ]. Était-ce dont cela la mort ?
Camille FURGAUT--BIHET
Enrique Anderson Imbert (Argentine)
Le Fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme si ce n'était pas le sien, mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise et l'entraînait [là, on pense que c'est lui… Il faut trouver une solution pour qu'on comprenne bien qu'il s'agit de la chaise. Je vous laisse chercher encore un peu ;-)] dans sa chute. Cadavre et chaise restèrent gisant [pas très naturel… Changez carrément : « se retrouvèrent » ou un truc comme ça] sur le tapis, au milieu de la chambre. Était-ce dont cela la mort ?
Enrique Anderson Imbert (Argentine)
Le Fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme si ce n'était pas le sien, mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise et l'entraînait avec lui dans sa chute (c'est ma dernière idée, je trouve que le "celle-ci" est pas mal et pas du tout lourd en passant). Cadavre et chaise se retrouvèrent couchés sur le tapis, au milieu de la chambre. Était-ce dont cela la mort ?
A. GAMBINY
C'est bon, maintenant, votre nom apparaît – plus besoin de vous embêter à signer.
Enrique Anderson Imbert (Argentine)
Le Fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme si ce n'était pas le sien, mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise et l'entraînait avec lui dans sa chute (c'est ma dernière idée, je trouve que le "celle-ci" est pas mal et pas du tout lourd en passant. // vous donner votre langue au chat ? :P). Cadavre et chaise se retrouvèrent couchés [pas besoin de cet ajout] sur le tapis, au milieu de la chambre. Était-ce dont cela la mort ?
Enrique Anderson Imbert (Argentine)
Le Fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme si ce n'était pas le sien, mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise et l'entraînait avec lui [ on donne notre langue au chat ] dans sa chute . Cadavre et chaise demerèrent [ mieux que restèrent ? ] sur le tapis, au milieu de la chambre. Était-ce dont cela la mort ?
Enrique Anderson Imbert (Argentine)
Le Fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme si ce n'était pas le sien, mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise et l'entraînait avec lui [ on donne notre langue au chat ///// :-)))))) « s'effondrait sur la chaise, l'entraînant… » – là, c'est clair et sans ambiguïtés] dans sa chute . Cadavre et chaise demerèrent [ mieux que restèrent ? Non, « retrouvèrent » tout seul était très bien…] sur le tapis, au milieu de la chambre. Était-ce dont cela la mort ?
Enrique Anderson Imbert (Argentine)
Le Fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme si ce n'était pas le sien, mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise, l'entraînant dans sa chute. Cadavre et chaise se retrouvèrent sur le tapis, au milieu de la chambre. Était-ce dont cela la mort ?
Enrique Anderson Imbert (Argentine)
Le Fantôme
Il se rendit compte qu'il venait de mourir lorsqu'il vit que son propre corps, comme si ce n'était pas le sien, mais celui d'un double, s'effondrait sur la chaise, l'entraînant dans sa chute. Cadavre et chaise se retrouvèrent sur le tapis, au milieu de la chambre. Était-ce dont cela la mort ?
OK.
Camille ?
En attendant la réponse de Camille, je vous mets la suite, Angélique.
Rien à ajouter
D'accord, alors j'enregistre le début dans « Travaux en cours » (cf colonne de droite du blog) et vous pouvez passer à la suite, que je viens de mettre en ligne.
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