Sí, ahora que han pasado tantos años comprende que no se había casado con Luis por amor; sin embargo, no atina a comprender por qué, por qué se marchó ella un día, de pronto... Pero he aquí que Mozart la toma nerviosamente de la mano y, arrastrándola en un ritmo segundo a segundo más apremiante, la obliga a cruzar el jardín en sentido inverso, a retomar el puente en una carrera que es casi una huida. Y luego de haberla despojado del quitasol y de la falda transparente, le cierra la puerta de su pasado con un acorde dulce y firme a la vez, y la deja en una sala de conciertos, vestida de negro, aplaudiendo maquinalmente en tanto crece la llama de las luces artificiales. De nuevo la penumbra y de nuevo el silencio precursor. Y ahora Beethoven empieza a remover el oleaje tibio de sus notas bajo una luna de primavera.
Traduction temporaire :
Oui, à présent que tant d'années ont passé, elle comprend qu'elle ne s'était pas mariée avec Luis par amour ; néanmoins, elle n'arrive pas à comprendre pourquoi, pourquoi elle est partie un jour, soudainement… Mais, c'est là que Mozart la prend nerveusement par la main et, l'entraînant dans un rythme plus urgent de seconde en seconde, l'oblige à traverser le jardin en sens inverse, à reprendre le pont dans une course qui est presque une fuite. Et après l'avoir débarrassée de son ombrelle et de sa jupe transparente, il ferme la porte de son passé avec un accord doux et ferme à la fois, et la laisse dans une salle de concerts, de noir vêtue, applaudissant machinalement à mesure que la flamme des lumières artificielles grandit. De nouveau la pénombre et de nouveau le silence précurseur. Et maintenant, Beethoven commence à agiter la houle tiède de ses notes sous une lune de printemps.
Oui, à présent que tant d'années ont passé, elle comprend qu'elle ne s'était pas mariée avec Luis par amour ; néanmoins, elle n'arrive pas à comprendre pourquoi, pourquoi elle est partie un jour, soudainement… Mais, c'est là que Mozart la prend nerveusement par la main et, l'entraînant dans un rythme plus urgent de seconde en seconde, l'oblige à traverser le jardin en sens inverse, à reprendre le pont dans une course qui est presque une fuite. Et après l'avoir débarrassée de son ombrelle et de sa jupe transparente, il ferme la porte de son passé avec un accord doux et ferme à la fois, et la laisse dans une salle de concerts, de noir vêtue, applaudissant machinalement à mesure que la flamme des lumières artificielles grandit. De nouveau la pénombre et de nouveau le silence précurseur. Et maintenant, Beethoven commence à agiter la houle tiède de ses notes sous une lune de printemps.
4 commentaires:
Oui, maintenant que tant d'années ont passées, elle comprend qu'elle ne s'était pas mariée avec Luis par amour ; néanmoins, elle n'arrive pas à comprendre pourquoi, pourquoi elle est partie un jour, tout à coup … Mais, c'est là que Mozart la prend nerveusement par la main et, l'arrachant dans un rythme plus pressant de seconde en seconde, il l'oblige à traverser le jardin en sens inverse, à reprendre le pont dans une course, presque semblable à une fuite. Et après l'avoir débarrassée de son ombrelle et de sa jupe transparente, il lui ferme la porte de son passé avec un accord doux et ferme à la fois, et la laisse dans une salle de concerts, vêtue de noir, applaudissant machinalement tandis que la flamme des lumières artificielles grandit. À nouveau la pénombre et à nouveau le silence précurseur. Et maintenant, Beethoven commence à remuer la houle tiède de ses notes sous une lune de printemps.
Oui, maintenant [« à présent » ? Je vous laisse voir ce qui est mieux… Dans l'intervalle, j'ai vu que vous aviez « maintenant » à la fin du fragment… Donc oui, il vaut mieux changer] que tant d'années ont passées [grammaire], elle comprend qu'elle ne s'était pas mariée avec Luis par amour ; néanmoins, elle n'arrive pas à comprendre pourquoi, pourquoi elle est partie un jour, tout à coup [dommage de gaspiller un « tout » ici ; une autre solution ?] [pas d'espace avant les deux points]… Mais, c'est là que Mozart la prend nerveusement par la main et, l'arrachant [FS ?] dans un rythme plus pressant [j'hésite] de seconde en seconde, il l'oblige à traverser le jardin en sens inverse, à reprendre le pont dans une course, presque semblable à une fuite [pour la fin, je pense que ce sera mieux en restant près de la V.O.]. Et après l'avoir débarrassée de son ombrelle et de sa jupe transparente, il lui [bof] ferme la porte de son passé avec un accord doux et ferme à la fois, et la laisse dans une salle de concerts, vêtue de noir [ou : « de noir vêtue » ? Comme vous préférez], applaudissant machinalement tandis que [« à mesure que » ?] la flamme des lumières artificielles grandit. À [« De »] nouveau la pénombre et à [« de nouveau »] nouveau le silence précurseur. Et maintenant, Beethoven commence à remuer [« agiter » ?] la houle tiède de ses notes sous une lune de printemps.
Oui, à présent que tant d'années ont passé, elle comprend qu'elle ne s'était pas mariée avec Luis par amour ; néanmoins, elle n'arrive pas à comprendre pourquoi, pourquoi elle est partie un jour, soudainement… Mais, c'est là que Mozart la prend nerveusement par la main et, l'entraînant dans un rythme plus urgent de seconde en seconde, il l'oblige à traverser le jardin en sens inverse, à reprendre le pont dans une course, qui est presque une fuite. Et après l'avoir débarrassée de son ombrelle et de sa jupe transparente, il ferme la porte de son passé avec un accord doux et ferme à la fois, et la laisse dans une salle de concerts, de noir vêtue, applaudissant machinalement à mesure que la flamme des lumières artificielles grandit. De nouveau la pénombre et de nouveau le silence précurseur. Et maintenant, Beethoven commence à agiter la houle tiède de ses notes sous une lune de printemps.
Je viens seulement de voir, par hasard, que je n'avais pas commenté… Quand vous voyez que ça ne bouge pas chez vous alors que parallèlement, je travaille avec les autres, faites-moi signe. Il suffit de remettre la proposition. C'est idiot de perdre du temps.
Oui, à présent que tant d'années ont passé, elle comprend qu'elle ne s'était pas mariée avec Luis par amour ; néanmoins, elle n'arrive pas à comprendre pourquoi, pourquoi elle est partie un jour, soudainement… Mais, c'est là que Mozart la prend nerveusement par la main et, l'entraînant dans un rythme plus urgent de seconde en seconde, l'oblige à traverser le jardin en sens inverse, à reprendre le pont dans une course qui est presque une fuite. Et après l'avoir débarrassée de son ombrelle et de sa jupe transparente, il ferme la porte de son passé avec un accord doux et ferme à la fois, et la laisse dans une salle de concerts, de noir vêtue, applaudissant machinalement à mesure que la flamme des lumières artificielles grandit. De nouveau la pénombre et de nouveau le silence précurseur. Et maintenant, Beethoven commence à agiter la houle tiède de ses notes sous une lune de printemps.
J'ai fait deux ou trois modifs et OK. Je vous mets la suite.
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