La hermosa y nociva luz del sol permanecía latente sobre aquella capa de humo envenenado; como una contradicción aberrante la polución protegía a la ciudad de los rayos ultravioleta.
Traduction temporaire :
La belle et nocive lumière du soleil restait latente au-dessus de cette couche de nuages empoisonnés ; comme une contradiction aberrante, la pollution protégeait la ville des rayons ultraviolets.
16 commentaires:
La belle et nocive lumière du soleil restait cachée au-dessus de cette couche de fumée empoisonnée ; telle une contradiction aberrante, la pollution protégeait la ville des rayons ultraviolets.
Cloé :
La hermosa y nociva luz del sol permanecía latente sobre aquella capa de humo envenenado; como una contradicción aberrante la polución protegía a la ciudad de los rayos ultravioleta.
1) « latente » est beaucoup plus riche que « cachée »… Là où c'était suggestif en V.O. tu as trop explicité.
2) Question « empoisonnée » ou « polluée » ?????
3) Dans le cas de la pollution, est-ce qu'on parle vraiment de fumée ? Je ne dis pas que c'est faux ; j'ai juste un doute et je n'arrive pas à trouver le mot que je cherche – et qui, si ça se trouve, n'existe pas. Confirme-moi.
4) Pour le coup, je pense que « telle » n'est pas adapté… car ça n'est pas une vraie comparaison. Je ne sais pas si je suis claire, mais reprends avec « comme »
J'attends de voir ce que ça donne.
La belle et nocive lumière du soleil restait latente au-dessus de cette couche de nuages pollués ; comme une contradiction aberrante, la pollution protégeait la ville des rayons ultraviolets.
Amélie / Cloé :
Moi, je suis ok… Cloé ?
La proposition "pollués"/"pollution" me dérange un peu.
La "couche de nuages" convient mieux que fumée, seulement, je ne pense pas qu'on puisse dire "des nuages pollués". Il me semble qu'on dit plus "un nuage de pollution", non?
Cloé : si je trouve l'argument de la répétition « pollués » / « pollution » très recevable, l'autre est moins convaincant… N'oublie pas que nous sommes en littérature, pas dans un prospectus de Greenpeace ;-)
Du coup, si tu veux, on peut revenir à ton « empoisonné » ; ça donnerait =
La belle et nocive lumière du soleil restait latente au-dessus de cette couche de nuages empoisonnés ; comme une contradiction aberrante, la pollution protégeait la ville des rayons ultraviolets.
Qu'en pensez-vous ?
Moi ça me va...
J'avais aussi pensé à impur, mais on ressent moins l'idée de "pollués", cela peut simplement signifier qu'ils sont gris au lieu de blancs.
Je sais bien qu'il s'agit de littérature, mais je pense que les termes météorologiques sont justement courants dans la science fiction. Peut-être que brouillard conviendrait mieux ?
Bon j'avoue, je pinaille. Mais dans ma tête, je ne visualise pas de la même façon "capa de humo envenenado" et "couche de nuages empoisonnés".
Cloé :
Tu as parfaitement raison de « pinailler » – c'est ainsi que nous arriverons à une vraie bonne traduction. Ne te bride pas là-dessus. D'autant que l'idée de « brouillard » est très bonne.
Et alors quoi = « brouillard empoisonné » (l'avantage, là, c'est qu'on satisfait les exigences météo et litté) ?
Cloé :
si ça te convient, je te laisse récapituler.
Après réflection, je ne pense pas que "brouillard" convienne, car même si ça rend bien le côté "homogène" de la chose, le brouillard se forme au niveau du sol, et je ne pense pas que ça soit le cas dans le texte.
Je viens de taper "capa de humo envenenado" et il n'y a que 9 occurances: dans Azul, et sur Tradabordo ! Ne faut-il pas conserver cette originalité, et du coup garder "fumée" ?
Ok… Donc, je récapitule :
La belle et nocive lumière du soleil restait latente au-dessus de cette couche de nuages empoisonnés ; comme une contradiction aberrante, la pollution protégeait la ville des rayons ultraviolets.
Et brume ?
Pour le coup, je préfère « nuages »…
Pardon, réflexion.
Vous pensez qu'il n'est pas nécessaire de garder le terme "fumée"?
Dans ce cas je suis d'accord pour garder "couche de nuages empoisonnés".
Le problème avec brume c'est qu'elle descend jusqu'au sol, comme le brouillard, non?
Laissons cela en suspens (c'est le cas de le dire) et nous verrons au moment de la relecture. Passez à la phrase d'après.
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