Yeniva Fernández
(Perú)
RUTKA O LA HISTORIA DE ALGUNAS FLORES EXTRAÑAS
La vi detrás de un pequeño mostrador de antigüedades, debajo de una enorme sombrilla que cubría todo el perímetro del puesto. Era ella, no tenía dudas. Se hallaba sentada en un pequeño banco plegable, donde su cuerpo delgado se encogía incómodo. Su mirada vagaba de modo distraído entre los artículos que conformaban su mercadería, mientras una de sus manos sostenía un libro sobre motores hidráulicos.
Traduction temporaire :
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui couvrait tout le stand. C’était elle, je n’avais aucun doute. Elle était assise sur un petit banc pliable, où son corps mince se contractait dans une position inconfortable. Son regard distrait errait sur les articles qui composaient sa marchandise, tandis que dans une main elle tenait un livre sur les moteurs hydrauliques.
Yeniva Fernández (Pérou)
Rutka ou l’histoire de fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui couvrait tout le stand. C’était elle, je n’avais aucun doute. Elle était assise sur un petit banc pliable, où son corps mince se contractait dans une position inconfortable. Son regard distrait errait sur les articles qui composaient sa marchandise, tandis que dans une main elle tenait un livre sur les moteurs hydrauliques.
12 commentaires:
Yeniva Fernández
(Pérou)
Rutka ou l’histoire de certaines fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui recouvrait tout le périmètre du stand. C’était elle, je n’avais aucun doute. Elle se trouvait assise sur un petit blanc pliable, où son corps mince mal installé se recroquevillait. Son regard errait dans le vague parmi les articles qui composaient sa marchandise, tandis que l’une de ses mains tenait un livre sur les moteurs hydrauliques.
Rutka ou l’histoire de certaines fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui recouvrait tout le périmètre du stand. C’était elle, je n’avais aucun doute / je n'en avais aucun doute/. Elle se trouvait / était?/ assise sur un petit blanc pliable / un pliant? un tabouret? /, où son corps mince mal installé se recroquevillait. Son regard errait dans le vague / Son regard se perdait dans le vague / parmi les articles qui composaient sa marchandise, tandis que l’une de ses mains tenait / tandis qu'elle tenait d'une main / un livre sur les moteurs hydrauliques.
Yeniva Fernández
(Pérou)
Rutka ou l’histoire de certaines fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui recouvrait tout le périmètre du stand. C’était elle, je n'en avais aucun doute. Elle se trouvait [Dommage de griller un "était", d'autant que la VO indique "se hallaba" et non "estaba"] assise sur un petit pliant, où son corps mince mal installé se recroquevillait. Son regard se perdait dans le vague parmi les articles qui composaient sa marchandise, tandis qu'elle tenait d'une main un livre sur les moteurs hydrauliques.
Je regarde la proposition d'Hélène, arrivée en premier ; Audrey, Hélène t'expliquera comment formater tes commentaires, mais en gros, tu retiens une option, que je considère… pas le temps de peser, soupeser…………… toutes les options que tu envisages ;-)
Yeniva Fernández (Pérou)
Rutka ou l’histoire de certaines [nécessaire ?] fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui recouvrait tout le périmètre du [nécessaire ?] stand. C’était elle, je n’avais aucun doute. Elle se trouvait [bof ; je me demande si ça n'est pas moins pire de répéter « être »] assise sur un petit blanc pliable, où son corps mince mal installé se recroquevillait [pas sûre que tu n'aies pas trop changé]. Son regard errait dans le vague [pourquoi tu changes autant ?] parmi [« sur »] les articles qui composaient sa marchandise, tandis que l’une de ses mains tenait un livre sur les moteurs hydrauliques.
Yeniva Fernández (Pérou)
Rutka ou l’histoire de fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui recouvrait tout le stand. C’était elle, je n’avais aucun doute. Elle était assise sur un petit banc pliable, où son corps mince se contractait en prenant une position inconfortable [À mon avis, la question qui se pose est si "incómodo" est la cause ou la conséquence de "se encogía" ; j'ai opté pour la seconde option pour voir]. Son regard distrait errait sur les articles qui composaient sa marchandise, tandis qu'elle tenait d'une main [je préfères cette proposition d'Audrey] un livre sur les moteurs hydrauliques.
Yeniva Fernández (Pérou)
Rutka ou l’histoire de fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui re[nécessaire ?]couvrait tout le stand. C’était elle, je n’avais aucun doute. Elle était assise sur un petit banc pliable, où son corps mince se contractait en prenant une position inconfortable [À mon avis, la question qui se pose est si "incómodo" est la cause ou la conséquence de "se encogía" ; j'ai opté pour la seconde option pour voir // demande son avis à Elena ; comme ça, on sera sûres]. Son regard distrait errait sur les articles qui composaient sa marchandise, tandis qu'elle tenait d'une main [pas très naturel] un livre sur les moteurs hydrauliques.
Yeniva Fernández (Pérou)
Rutka ou l’histoire de fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui couvrait tout le stand. C’était elle, je n’avais aucun doute. Elle était assise sur un petit banc pliable, où son corps mince se contractait en prenant une position inconfortable [Je vous transmets la réponse d'Elena, qui nous dit que "incómodo" est la conséquence de "se encogía". Du coup, je laisse ma seconde proposition, mais on peut peut-être trouver mieux. Qu'en pensez-vous ? ]. Son regard distrait errait sur les articles qui composaient sa marchandise, tandis que l’une de ses mains tenait un livre sur les moteurs hydrauliques.
Yeniva Fernández (Pérou)
Rutka ou l’histoire de fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui couvrait tout le stand. C’était elle, je n’avais aucun doute. Elle était assise sur un petit banc pliable, où son corps mince se contractait en prenant [avec un simple « dans » ?] une position inconfortable. Son regard distrait errait sur les articles qui composaient sa marchandise, tandis que l’une de ses [« dans une » ? Sinon, on dirait qu'elle en a genre 12, non ? ;-)] mains tenait un livre sur les moteurs hydrauliques.
Yeniva Fernández (Pérou)
Rutka ou l’histoire de fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui couvrait tout le stand. C’était elle, je n’avais aucun doute. Elle était assise sur un petit banc pliable, où son corps mince se contractait dans une position inconfortable. Son regard distrait errait sur les articles qui composaient sa marchandise, tandis que dans une main elle tenait un livre sur les moteurs hydrauliques.
Ok pour moi.
Yeniva Fernández (Pérou)
Rutka ou l’histoire de fleurs étranges
Je la vis derrière un modeste étal d’antiquités, sous un énorme parasol qui couvrait tout le stand. C’était elle, je n’avais aucun doute. Elle était assise sur un petit banc pliable, où son corps mince se contractait dans une position inconfortable. Son regard distrait errait sur les articles qui composaient sa marchandise, tandis que dans une main elle tenait un livre sur les moteurs hydrauliques.
OK.
Audrey ?
Bonsoir,
Navrée pour l'attente, je commence à saisir le fonctionnement des échanges.
OK pour moi!
Pas de problème ; je comprends qu'au départ, notre système soit un peu compliqué à maîtriser ;-)
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