Abrió los ojos a la brumosa atmósfera de un lugar cerrado y maloliente. Husmeó: cebollas, humedad, orín, vino. Se preguntó qué lugar sería aquel y recién entonces advirtió que por primera vez en mucho tiempo —aunque no podía precisar cuánto— no estaba embutido en el exoprot.
—Ya se despertó —dijo una voz aguardentosa. ¡Lo había logrado! El lugar era el sótano de una bodega o algo parecido. Los borrachos lo habían sacado del exoprot para ubicarlo sobre dos mesas unidas, y aunque los muñones le hormigueaban y sentía la boca llena de una pasta pegajosa, como si la lengua le hubiera vuelto a crecer en la boca hasta ocupar cada recoveco, tuvo la sensación de que una marea de fuego le recorría el cuerpo, de que podría salir corriendo y recuperar la libertad en cuanto se lo propusiera. Por eso, la frase siguiente lo demolió.
Traduction temporaire :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit quelqu'un avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit en question était un sous-sol ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient allongé sur deux tables qu'ils avaient rapprochées, et bien que ses moignons le démangent et qu’il ait l'impression que sa bouche était remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche, jusqu’à complètement l'emplir, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait son corps, qu’il aurait pu partir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit le démolit :
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit quelqu'un avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit en question était un sous-sol ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient allongé sur deux tables qu'ils avaient rapprochées, et bien que ses moignons le démangent et qu’il ait l'impression que sa bouche était remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche, jusqu’à complètement l'emplir, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait son corps, qu’il aurait pu partir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit le démolit :
23 commentaires:
Pardon, il me manque un bout :
***
Il rouvrit les yeux dans une atmosphère brumeuse d’un lieu renfermé et malodorant. Il flaira: des oignons, de l’humidité, de l’urine, du vin. Il se demanda où il se trouvait et ce fut alors qu’il remarqua pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne pouvait pas préciser depuis combien de temps – qu’il ne se trouvait pas fourré dans l’exoprot.
— Ça y est, il s’est réveillé, dit une voix qui sentait l’eau de vie. Il avait réussi ! Il se trouvait au sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre là. Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit.
Il rouvrit les yeux dans une [texte ?] atmosphère brumeuse d’un lieu renfermé [texte] et malodorant. Il flaira[espace]: des oignons, de l’humidité, de l’urine, du vin.
Il se demanda où il se trouvait et ce fut alors qu’il remarqua pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne pouvait pas préciser depuis combien de temps – qu’il ne se trouvait pas fourré dans l’exoprot.
— Ça y est, il s’est réveillé, dit une voix qui sentait l’eau de vie. Il avait réussi ! Il se trouvait au sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre là. Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit.
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu fermé et malodorant. Il flaira : des oignons, de l’humidité, de l’urine, du vin.
Il se demanda où il se trouvait et ce fut alors qu’il remarqua pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne pouvait pas préciser depuis combien de temps – qu’il ne se trouvait pas fourré dans l’exoprot.
— Ça y est, il s’est réveillé, dit une voix qui sentait l’eau de vie. Il avait réussi ! Il se trouvait au sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre là. Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit.
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu fermé [« clos » ?] et malodorant. Il flaira [bof] : des [nécessaire ?] oignons, de [idem ?] l’[idem et idem jusqu'à la fin]humidité, de l’urine, du vin.
Il se demanda où il se trouvait et ce fut alors qu’[simplifie + le « que » ne porte pas sur la même chose]il remarqua pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne pouvait pas préciser depuis combien de temps – qu’il ne se trouvait pas fourré dans l’exoprot.
— Ça y est, il s’est réveillé, dit une voix qui sentait l’eau de vie. Il avait réussi ! Il se trouvait au sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre là. Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit.
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; alors il remarqua pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne pouvait pas préciser depuis combien de temps – qu’il ne se trouvait pas fourré dans l’exoprot.
— Ça y est, il s’est réveillé, dit une voix qui sentait l’eau de vie. Il avait réussi ! Il se trouvait au sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre là. Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit.
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; alors il remarqua pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne pouvait [grammaire !!!!!!!!!!!!!] pas préciser depuis combien de temps [débrouille-toi pour ne pas combiner « longtemps » + « temps »] – qu’il ne se trouvait pas fourré dans l’exoprot.
— Ça y est, il s’est réveillé, dit une voix qui sentait l’eau de vie. Il avait réussi ! Il se trouvait au sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre là. Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit.
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; alors il remarqua pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – qu’il ne se trouvait pas fourré dans l’exoprot.
— Ça y est, il s’est réveillé, dit une voix qui sentait l’eau de vie. Il avait réussi ! Il se trouvait au sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre là. Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit.
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; alors [mets-le après ; ce sera plus fluide] il remarqua pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – qu’il ne se trouvait pas fourré [mal dit] dans l’exoprot.
—Ya se despertó —dijo una voz aguardentosa. ¡Lo había logrado! El lugar era el sótano de una bodega o algo parecido. Los borrachos lo habían sacado del exoprot para ubicarlo sobre dos mesas unidas, y aunque los muñones le hormigueaban y sentía la boca llena de una pasta pegajosa, como si la lengua le hubiera vuelto a crecer en la boca hasta ocupar cada recoveco, tuvo la sensación de que una marea de fuego le recorría el cuerpo, de que podría salir corriendo y recuperar la libertad en cuanto se lo propusiera. Por eso, la frase siguiente lo demolió.
— Ça y est, il s’[pas besoin]est réveillé, dit une voix qui sentait [pas logique] l’eau de vie [tu as vérifié qu'il n'y a pas de tirets ?].
Il avait réussi ! Il se trouvait [tu l'as déjà au-dessus] au sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre là [tiret] [tu as changé dans cette phrase ; reviens à la V.O.].
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit.
rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – qu’il ne se trouvait pas entassé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit une voix avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit était un sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit :
Refais ton copier / coller.
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – qu’il ne se trouvait pas entassé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit une voix avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit était un sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit :
Abrió los ojos a la brumosa atmósfera de un lugar cerrado y maloliente. Husmeó: cebollas, humedad, orín, vino. Se preguntó qué lugar sería aquel y recién entonces advirtió que por primera vez en mucho tiempo —aunque no podía precisar cuánto— no estaba embutido en el exoprot.
—Ya se despertó —dijo una voz aguardentosa. ¡Lo había logrado! El lugar era el sótano de una bodega o algo parecido. Los borrachos lo habían sacado del exoprot para ubicarlo sobre dos mesas unidas, y aunque los muñones le hormigueaban y sentía la boca llena de una pasta pegajosa, como si la lengua le hubiera vuelto a crecer en la boca hasta ocupar cada recoveco, tuvo la sensación de que una marea de fuego le recorría el cuerpo, de que podría salir corriendo y recuperar la libertad en cuanto se lo propusiera. Por eso, la frase siguiente lo demolió.
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors [« que »] pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – qu’[supprime]il ne se trouvait [tu viens de le mettre] pas entassé [« engoncé »] dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit une voix avec une haleine [une voix n'a pas une haleine] d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit était un sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit une voix ivre.
Il avait réussi ! L'endroit était un sous-sol d’une cave ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble, et bien que les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit une voix ivre [en fait, c'est voix que tu dois changer… remets le reste].
El lugar era el sótano de una bodega o algo parecido. Los borrachos lo habían sacado del exoprot para ubicarlo sobre dos mesas unidas, y aunque los muñones le hormigueaban y sentía la boca llena de una pasta pegajosa, como si la lengua le hubiera vuelto a crecer en la boca hasta ocupar cada recoveco, tuvo la sensación de que una marea de fuego le recorría el cuerpo, de que podría salir corriendo y recuperar la libertad en cuanto se lo propusiera. Por eso, la frase siguiente lo demolió.
Il avait réussi ! L'endroit [cheville : « en question »] était un [texte] sous-sol d’une cave [bizarre en français] ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables mises ensemble [« qu'ils avaient rapprochées »], et bien que [déjà dit dans cette section-là : bien que + subj !!!!!!!!!!!!!!!!] les moignons le démangeaient et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit quelqu'un avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit en question était au sous-sol, dans une cave à vins ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables qu'ils avaient rapprochées, et bien que les moignons le démangent et qu’il sentait la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit quelqu'un avec une haleine d’eau-de-vie.
El lugar era el sótano de una bodega o algo parecido. Los borrachos lo habían sacado del exoprot para ubicarlo sobre dos mesas unidas, y aunque los muñones le hormigueaban y sentía la boca llena de una pasta pegajosa, como si la lengua le hubiera vuelto a crecer en la boca hasta ocupar cada recoveco, tuvo la sensación de que una marea de fuego le recorría el cuerpo, de que podría salir corriendo y recuperar la libertad en cuanto se lo propusiera. Por eso, la frase siguiente lo demolió.
Il avait réussi ! L'endroit en question était au sous-sol, dans une cave à vins [il faut raccourcir : ou « sous-sol » ou « cave » tout seul] ou quelque chose dans ce genre-là [point]
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables qu'ils avaient rapprochées, et bien que les [possessif] moignons le démangent et qu’il sentait [GRAMMAIRE !!!!!!!! RELIS JUSQU'AU BOUT QUAND TU CORRIGES QUELQUES CHOSE] la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit quelqu'un avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit en question était au sous-sol ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé sur deux tables qu'ils avaient rapprochées, et bien que ses moignons le démangent et qu’il sente la bouche remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout son corps, qu’il pouvait repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, le démolit :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit quelqu'un avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit en question était au [« un »] sous-sol ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient posé [« allongé »] sur deux tables qu'ils avaient rapprochées, et bien que ses moignons le démangent et qu’il sente la [ça ne va pas…] bouche remplie d’une pâte collante,
como si la lengua le hubiera vuelto a crecer en la boca hasta ocupar cada recoveco, tuvo la sensación de que una marea de fuego le recorría el cuerpo, de que podría salir corriendo y recuperar la libertad en cuanto se lo propusiera. Por eso, la frase siguiente lo demolió.
comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à en occuper chaque recoin [bof ; il vaut mieux complètement changer : « complètement l'emplir » ou un truc comme ça], il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait tout [nécessaire de griller un « tout » ici ?] son corps, qu’il pouvait [temps ?] repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit, [pourquoi cette virgule ?] le démolit :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit quelqu'un avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit en question était un sous-sol ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient allongé sur deux tables qu'ils avaient rapprochées, et bien que ses moignons le démangent et qu’il aie l'impression que sa bouche était remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche jusqu’à complètement l'emplir, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait son corps, qu’il aurait pu repartir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit le démolit :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit quelqu'un avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit en question était un sous-sol ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient allongé sur deux tables qu'ils avaient rapprochées, et bien que ses moignons le démangent et qu’il aie [grammaire] l'impression que sa bouche était remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche [virgule] jusqu’à complètement l'emplir, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait son corps, qu’il aurait pu re[nécessaire ?]partir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit le démolit :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit quelqu'un avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit en question était un sous-sol ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient allongé sur deux tables qu'ils avaient rapprochées, et bien que ses moignons le démangent et qu’il ait l'impression que sa bouche était remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche, jusqu’à complètement l'emplir, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait son corps, qu’il aurait pu partir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit le démolit :
Il rouvrit les yeux dans l'atmosphère brumeuse d’un lieu clos et malodorant. Il renifla : oignons, humidité, urine, vin.
Il se demanda où il se trouvait ; il remarqua alors que pour la première fois depuis bien longtemps – bien qu’il ne puisse pas préciser depuis quand – il n'était pas engoncé dans l’exoprot.
— Ça y est, il est réveillé, dit quelqu'un avec une haleine d’eau-de-vie.
Il avait réussi ! L'endroit en question était un sous-sol ou quelque chose dans ce genre-là.
Les ivrognes l’avaient sorti de l’exoprot et l’avaient allongé sur deux tables qu'ils avaient rapprochées, et bien que ses moignons le démangent et qu’il ait l'impression que sa bouche était remplie d’une pâte collante, comme si sa langue avait repoussé dans sa bouche, jusqu’à complètement l'emplir, il eut la sensation qu’une marée de feu parcourait son corps, qu’il aurait pu partir en courant et reprendre sa liberté aussitôt qu’il le souhaiterait. C’est pourquoi la phrase qui suivit le démolit :
OK.
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