Disimula, viene mamá, le digo entre dientes, así es que nos sentamos a lo indio y nos ponemos a jugar a piedra, papel o tijera. Mamá se detiene junto a la puerta y da dos golpecitos muy suaves. Pregunta en un susurro, ¿Estás ahí, Victoria?, con una voz tan triste que me tiembla la garganta al contestarle que sí, que estamos las dos, aquí, jugando tranquilamente. Mamá ahoga un sollozo al otro lado, lo sé, y espera un poco con la mano puesta en el tirador antes de entrar. Laurita y yo no decimos nada cuando la vemos aparecer, sonreímos de oreja a oreja para que se calme y vea que todo está bien ahora. Pero mamá no sonríe. Parece un fantasma triste, le están saliendo canas plateadas por toda la cabeza y ese horrible vestido negro dos tallas más grande le queda fatal. Se sienta en la cama de Laurita y arregla el cojín en forma de corazón. Después me mira.
Traduction temporaire :
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, alors, on s'assied en tailleur et on se met à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tient à côté de la porte et toque deux petits coups. Elle demande dans un murmure, tu es là, Victoria ? d'une voix si triste que ma gorge tremble en lui répondant que oui, on est là, toutes les deux, à jouer tranquillement. Maman étouffe un sanglot de l'autre côté, je le sais, et attend un peu, la main sur la poignée, avant d'entrer. Laurita et moi, nous ne parlons plus lorsque nous la voyons apparaître, on a un sourire jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voie que tout va bien à présent. Mais maman, elle, elle ne sourit pas. Elle ressemble à un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortent de toute la tête et cette horrible robe noire de deux fois sa taille lui va très mal. Elle s'installe sur le lit de Laurita et arrange le coussin en forme de cœur. Puis, elle me regarde.
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, alors, on s'assied en tailleur et on se met à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tient à côté de la porte et toque deux petits coups. Elle demande dans un murmure, tu es là, Victoria ? d'une voix si triste que ma gorge tremble en lui répondant que oui, on est là, toutes les deux, à jouer tranquillement. Maman étouffe un sanglot de l'autre côté, je le sais, et attend un peu, la main sur la poignée, avant d'entrer. Laurita et moi, nous ne parlons plus lorsque nous la voyons apparaître, on a un sourire jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voie que tout va bien à présent. Mais maman, elle, elle ne sourit pas. Elle ressemble à un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortent de toute la tête et cette horrible robe noire de deux fois sa taille lui va très mal. Elle s'installe sur le lit de Laurita et arrange le coussin en forme de cœur. Puis, elle me regarde.
10 commentaires:
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, ainsi, on s'est assises en tailleur et on s'est mises à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tenait à côté de la porte et a toqué deux fois avec douceur. Elle a demandé dans un murmure, tu es là, Victoria ?, d'une voix si triste que ma gorge a tremblé en lui répondant que oui, on était toutes les deux, là, à jouer tranquillement. Maman a étouffé un sanglot de l'autre côté, je le sais, et a attendu un peu, la main sur la poignet, avant d'entrer. Laurita et moi n'avons rien dit lorsque nous l'avons vu apparaître, on a eut un sourire fendu jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voit que tout allait bien à présent. Mais maman n'a pas souri. On aurait dit un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortaient de part toute la tête et cet horrible vêtement noir de deux tailles plus grande qu'elle lui allait très mal. Elle s'est assise sur le lit de Laurita et a ajusté le coussin en forme de cœur. Puis, elle m'a regardé.
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, ainsi [« alors » / « du coup » ?], on s'est assises [temps ?] en tailleur et on s'est mises [temps ?] à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tenait [temps ? Attention, en trad, le nerf de la guerre, c'est les temps… pour les concours, c'est crucial] à côté de la porte et a toqué [temps] deux fois avec douceur.
Je vous laisse rétablir les temps.
Elle a demandé dans un murmure, tu es là, Victoria ?, d'une voix si triste que ma gorge a tremblé en lui répondant que oui, on était toutes les deux, là, à jouer tranquillement. Maman a étouffé un sanglot de l'autre côté, je le sais, et a attendu un peu, la main sur la poignet, avant d'entrer. Laurita et moi n'avons rien dit lorsque nous l'avons vu apparaître, on a eut un sourire fendu jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voit que tout allait bien à présent. Mais maman n'a pas souri. On aurait dit un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortaient de part toute la tête et cet horrible vêtement noir de deux tailles plus grande qu'elle lui allait très mal. Elle s'est assise sur le lit de Laurita et a ajusté le coussin en forme de cœur. Puis, elle m'a regardé.
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, alors, on s'assoit en tailleur et on se met à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tient à côté de la porte et toque deux fois avec douceur. Elle demande dans un murmure, tu es là, Victoria ? D'une voix si triste que ma gorge tremble en lui répondant que oui, on est là toutes les deux, à jouer tranquillement. Maman étouffe un sanglot de l'autre côté, je le sais, et attend un peu, la main sur la poignée, avant d'entrer. Laurita et moi ne disons rien lorsque nous la voyons apparaître, on a un sourire fendu jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voit que tout va bien à présent. Mais maman ne sourit pas. On aurait dit un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortent de part toute la tête et cet horrible vêtement noir de deux fois sa taille lui va très mal. Elle s'assoit sur le lit de Laurita et ajuste le coussin en forme de cœur. Puis, elle me regarde.
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, alors, on s'assoit [« s'assied »] en tailleur et on se met à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tient à côté de la porte et toque deux fois avec douceur [juste « deux petits coups » ?]. Elle demande dans un murmure, tu es là, Victoria ? D'une voix si triste que ma gorge tremble en lui répondant que oui, on est là [virgule ?] toutes les deux, à jouer tranquillement. Maman étouffe un sanglot de l'autre côté, je le sais, et attend un peu, la main sur la poignée, avant d'entrer. Laurita et moi [« , nous » ?] ne disons [vous l'avez déjà dans la première phrase] rien lorsque nous la voyons apparaître, on a un sourire fendu [supprimez ça ; mal dit] jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voit [grammaire] que tout va bien à présent. Mais maman [« , elle, elle » ?] ne sourit pas. On aurait dit [temps + « dire » X3] un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortent de part toute la tête et cet horrible vêtement [FS] noir de deux fois sa taille lui va très mal. Elle s'assoit [vous l'avez déjà au début ; facile de changer] sur le lit de Laurita et ajuste [??????] le coussin en forme de cœur. Puis, elle me regarde.
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, alors, on s'assied en tailleur et on se met à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tient à côté de la porte et toque deux petits coups. Elle demande dans un murmure, tu es là, Victoria ? d'une voix si triste que ma gorge tremble en lui répondant que oui, on est là, toutes les deux, à jouer tranquillement. Maman étouffe un sanglot de l'autre côté, je le sais, et attend un peu, la main sur la poignée, avant d'entrer. Laurita et moi, nous ne parlons plus lorsque nous la voyons apparaître, on a un sourire jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voie que tout va bien à présent. Mais maman, elle, elle ne sourit pas. Elle ressemble à un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortent de part toute la tête et cette horrible robe noire de deux fois sa taille lui va très mal. Elle se pose sur le lit de Laurita et arrange le coussin en forme de cœur. Puis, elle me regarde.
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, alors, on s'assied en tailleur et on se met à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tient à côté de la porte et toque deux petits coups. Elle demande dans un murmure, tu es là, Victoria ? d'une voix si triste que ma gorge tremble en lui répondant que oui, on est là, toutes les deux, à jouer tranquillement. Maman étouffe un sanglot de l'autre côté, je le sais, et attend un peu, la main sur la poignée, avant d'entrer. Laurita et moi, nous ne parlons plus lorsque nous la voyons apparaître, on a un sourire jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voie que tout va bien à présent. Mais maman, elle, elle ne sourit pas. Elle ressemble à un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortent de part toute [« part toute » ?] la tête et cette horrible robe noire de deux fois sa taille lui va très mal. Elle se pose [« s'installe »] sur le lit de Laurita et arrange le coussin en forme de cœur. Puis, elle me regarde.
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, alors, on s'assied en tailleur et on se met à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tient à côté de la porte et toque deux petits coups. Elle demande dans un murmure, tu es là, Victoria ? d'une voix si triste que ma gorge tremble en lui répondant que oui, on est là, toutes les deux, à jouer tranquillement. Maman étouffe un sanglot de l'autre côté, je le sais, et attend un peu, la main sur la poignée, avant d'entrer. Laurita et moi, nous ne parlons plus lorsque nous la voyons apparaître, on a un sourire jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voie que tout va bien à présent. Mais maman, elle, elle ne sourit pas. Elle ressemble à un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortent part toute la tête et cette horrible robe noire de deux fois sa taille lui va très mal. Elle s'installe sur le lit de Laurita et arrange le coussin en forme de cœur. Puis, elle me regarde.
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, alors, on s'assied en tailleur et on se met à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tient à côté de la porte et toque deux petits coups. Elle demande dans un murmure, tu es là, Victoria ? d'une voix si triste que ma gorge tremble en lui répondant que oui, on est là, toutes les deux, à jouer tranquillement. Maman étouffe un sanglot de l'autre côté, je le sais, et attend un peu, la main sur la poignée, avant d'entrer. Laurita et moi, nous ne parlons plus lorsque nous la voyons apparaître, on a un sourire jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voie que tout va bien à présent. Mais maman, elle, elle ne sourit pas. Elle ressemble à un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortent part toute [« part toute » ????????????????????????????] la tête et cette horrible robe noire de deux fois sa taille lui va très mal. Elle s'installe sur le lit de Laurita et arrange le coussin en forme de cœur. Puis, elle me regarde.
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, alors, on s'assied en tailleur et on se met à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tient à côté de la porte et toque deux petits coups. Elle demande dans un murmure, tu es là, Victoria ? d'une voix si triste que ma gorge tremble en lui répondant que oui, on est là, toutes les deux, à jouer tranquillement. Maman étouffe un sanglot de l'autre côté, je le sais, et attend un peu, la main sur la poignée, avant d'entrer. Laurita et moi, nous ne parlons plus lorsque nous la voyons apparaître, on a un sourire jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voie que tout va bien à présent. Mais maman, elle, elle ne sourit pas. Elle ressemble à un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortent de toute la tête et cette horrible robe noire de deux fois sa taille lui va très mal. Elle s'installe sur le lit de Laurita et arrange le coussin en forme de cœur. Puis, elle me regarde.
Cache-le, maman arrive, lui dis-je entre les dents, alors, on s'assied en tailleur et on se met à jouer à pierre, feuille, ciseau. Maman se tient à côté de la porte et toque deux petits coups. Elle demande dans un murmure, tu es là, Victoria ? d'une voix si triste que ma gorge tremble en lui répondant que oui, on est là, toutes les deux, à jouer tranquillement. Maman étouffe un sanglot de l'autre côté, je le sais, et attend un peu, la main sur la poignée, avant d'entrer. Laurita et moi, nous ne parlons plus lorsque nous la voyons apparaître, on a un sourire jusqu'aux oreilles pour qu'elle se calme et qu'elle voie que tout va bien à présent. Mais maman, elle, elle ne sourit pas. Elle ressemble à un fantôme triste, des cheveux blancs argentés lui sortent de toute la tête et cette horrible robe noire de deux fois sa taille lui va très mal. Elle s'installe sur le lit de Laurita et arrange le coussin en forme de cœur. Puis, elle me regarde.
Pas génial ce « sortent de toute la tête », mais on verra cela au moment de la relecture.
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