En lo del Negro Pescador hay un tenorete que hace pecho; usa «Boutonniére» estrepitosa y canta con olas en la voz. Sentados oímos la verba efervescente de Alejandro, que tornea las palabras con ademanes de palpar formas.
-...Chicas así siempre se encuentran. No se animan a nada, contenidas por el temor del murmullo mal intencionado; pero se dan, se entregan, en una mirada, con un gesto distraído que las desnuda, ciñéndose la capa sobre las caderas libres, o entregándose turgentes al salir de una ola. ¿Ustedes conocen la chica de F...? ¿Es bonita, verdad? Pero su belleza es poco, comparada con el temperamento que vive en ella. Hacía todas las monadas de la capa, de la sonrisa, de la ola, y era como una palpitación constante de curiosidades personales. Parecía maravillarse con su cuerpito duro, ceñido en piel morocha, brillante como una espuma curada.
Traduction temporaire :
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, bridées par la crainte des murmures malveillants, mais elles se donnent, se livrent dans un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, resserrant leur cape autour de leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, pas vrai ? Mais sa beauté est peu de chose comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle minaudait avec sa cape, son sourire, la vague, comme si elle ne cessait de découvrir de nouveaux aspects de sa personne [c'est ce que je comprends, mais du coup, je suis loin]. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante telle de la mousse traitée
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, bridées par la crainte des murmures malveillants, mais elles se donnent, se livrent dans un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, resserrant leur cape autour de leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, pas vrai ? Mais sa beauté est peu de chose comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle minaudait avec sa cape, son sourire, la vague, comme si elle ne cessait de découvrir de nouveaux aspects de sa personne [c'est ce que je comprends, mais du coup, je suis loin]. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante telle de la mousse traitée
15 commentaires:
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, contenues par la crainte des murmures malintentionnés, mais elles se donnent, se livrent en un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, ceignant de leur cape leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, n’est-ce pas ? Mais sa beauté est peu de chose, comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle faisait toutes les mignardises de la cape, du sourire, de la vague, et était comme une palpitation constante de curiosités personnelles. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante comme de l’écume séchée [euh… je pense que je vais demander son aide à Elena !]
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, contenues [bof ici] par la crainte des murmures malintentionnés [naturel ?], mais elles se donnent, se livrent en [« dans » ? J'hésite…] un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, ceignant de [« resserrant » ?] leur cape [« autour de » ?] leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, n’est-ce pas [« pas vrai » ?] ? Mais sa beauté est peu de chose, [la virgule ?] comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle faisait toutes les mignardises de la cape [peu clair], du sourire, de la vague, et était comme une palpitation constante de curiosités personnelles [clair ?]. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante comme de l’écume séchée [euh… je pense que je vais demander son aide à Elena ! OK :-)]
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, empêchées [ou bridées ?] par la crainte des murmures malveillants, mais elles se donnent, se livrent dans un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, resserrant leur cape autour de leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, pas vrai ? Mais sa beauté est peu de chose comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle faisait toutes les mignardises dont je viens de parler, avec la cape, le sourire, la vague, et était comme une palpitation constante de curiosités liées à sa personne. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante comme de l’écume séchée. [en attente]
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, empêchées [ou bridées ? OK] par la crainte des murmures malveillants, mais elles se donnent, se livrent dans un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, resserrant leur cape autour de leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, pas vrai ? Mais sa beauté est peu de chose comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle faisait toutes les mignardises dont je viens de parler [« Elles minaudaient toutes avec leur cape » ?], avec la cape, le sourire, la vague, et était comme une palpitation constante de curiosités liées à sa personne [bof]. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante comme de l’écume séchée. [en attente]
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, bridées par la crainte des murmures malveillants, mais elles se donnent, se livrent dans un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, resserrant leur cape autour de leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, pas vrai ? Mais sa beauté est peu de chose comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle minaudait avec sa cape [il parle d’une seule fille], son sourire, la vague, et était comme une palpitation incessante de découvertes [ou je cherche qqch avec palpiter ?]. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante telle du caoutchouc vulcanisé.
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, bridées par la crainte des murmures malveillants, mais elles se donnent, se livrent dans un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, resserrant leur cape autour de leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, pas vrai ? Mais sa beauté est peu de chose comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle minaudait avec sa cape, son sourire, la vague, et était comme une palpitation incessante de découvertes [ou je cherche qqch avec palpiter ? Surtout, ça n'est carrément pas clair ; reviens à l'idée… L'important, maintenant, c'est le sens]. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante telle du caoutchouc vulcanisé [c'est validé par Elena ?].
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, bridées par la crainte des murmures malveillants, mais elles se donnent, se livrent dans un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, resserrant leur cape autour de leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, pas vrai ? Mais sa beauté est peu de chose comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle minaudait avec sa cape, son sourire, la vague, comme si elle ne cessait de découvrir de nouveaux aspects de sa personne [c'est ce que je comprends, mais du coup, je suis loin]. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante telle du caoutchouc vulcanisé [je n’ai pas l’avis d’Elena sur le résultat en français, mais c’est ce à quoi j’aboutis après recherches…].
Attends, je lui dis de venir… avec le lien, ça ira plus vite. Je préfère qu'elle regarde.
Ça me semble être un procédé trop moderne... Je ne trouve plus le site où j'avais trouvé l'information. Je continue de chercher.
En faisant des recherches, il s'avère que j'avais tout faux sur la date. Cependant, je pense que l'auteur parle plutôt de la "espuma de poliuretano"
"Mousse traitée" ?
Émilie, ton avis ? Merci, Elena.
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, bridées par la crainte des murmures malveillants, mais elles se donnent, se livrent dans un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, resserrant leur cape autour de leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, pas vrai ? Mais sa beauté est peu de chose comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle minaudait avec sa cape, son sourire, la vague, comme si elle ne cessait de découvrir de nouveaux aspects de sa personne [c'est ce que je comprends, mais du coup, je suis loin]. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante telle de la mousse traitée [Merci, Elena. J'y avais pensé mais ne trouvais pas ça assez explicite - mousse végétale, artificielle ? Ou alors : du caoutchouc mousse traité?].
Ou peut-être "mousse polyuréthane traitée" ?
Chez le Pécheur Noir, il y a un petit ténor qui bombe le torse : il porte une boutonnière tape-à-l’œil et chante avec des trémolos dans la voix. Assis, nous écoutons l’effervescente loquacité d’Alejandro, qui façonne les mots en mimant des formes qu’il palpe.
— … Des filles comme ça, on en trouve partout. Elles n’osent rien, bridées par la crainte des murmures malveillants, mais elles se donnent, se livrent dans un regard, à travers une expression distraite qui les dénude, resserrant leur cape autour de leurs hanches libres, ou se livrant, turgescentes, lorsqu’elles émergent d’une vague.
Connaissez-vous la fille de F… ? Elle est jolie, pas vrai ? Mais sa beauté est peu de chose comparée au tempérament qui bout en elle.
Elle minaudait avec sa cape, son sourire, la vague, comme si elle ne cessait de découvrir de nouveaux aspects de sa personne [c'est ce que je comprends, mais du coup, je suis loin]. Elle semblait s’émerveiller de son petit corps ferme, enveloppé d’une peau brune, brillante telle de la mousse traitée.
OK comme ça.
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