lundi 28 mars 2016

Projet Fanny – phrases 401-417

Intentó por última vez razonar con él.
—Si vamos… si acepto ir, ¿de qué serviría? —preguntó—. Sé que no lo entiendes porque tú lo has vivido de otra manera. Pero Josef —Abrió por fin los ojos y le miró fijamente mientras le cogía las manos—, yo no soy ella.
Esperaba una mala reacción en su cara, que la golpease, cualquier cosa. Pero en la cara de él, lo único que había, era derrota. Se dio cuenta de que iba a dejarle ir, de que perderla era un trauma por el que ya había pasado y de que de verdad aquel hombre, aquel loco, debía de quererla tanto como decía. Olvidó el miedo que le había consumido hacía sólo unos segundos y sintió únicamente pena mezclada con un poco de asco.
Roslin se levantó despacio. Se puso sus zapatos, cogió el bolso y la chaqueta, pero dejó las llaves del piso encima de la mesa. Se dirigió a la puerta y la abrió. Antes de salir, giró para mirar a Josef por última vez.
—Superaste mi muerte una vez, así que supongo que ya estás algo más preparado que entonces. No me busques, no me llames. No soy quien tú piensas, no soy quien creías haber creado. Y, por lo que más quieras, destruye ese hospital, los laboratorios… y los embriones. Adiós.
Y se fue, dejando a Josef roto, como rota estaba la foto que había entre sus pies.

Traduction temporaire :
Elle essaya une dernière fois de le raisonner : 
— Si nous y allons… si j'accepte d'y aller, à quoi ça servira ? demanda-t-elle. Je sais que tu ne comprends pas parce que tu as vécu cela d'une autre manière, mais Josef… Elle ouvrit enfin les yeux et le regarda fixement tandis qu'elle lui prenait les mains : Je ne suis pas elle.
Elle attendait de lire une mauvaise réaction sur son visage, qu'il la frappe, n'importe quoi. Toutefois, la seule chose qu'elle y vit, ce fut l'échec. Elle se rendit compte qu'il la laisserait partir, que la perdre était pour lui un traumatisme qu'il avait déjà vécu et qu'assurément, cet homme, ce fou, devait vraiment beaucoup l'aimer ainsi qu'il le disait. Elle oublia la peur qui l'avait consommée quelques secondes plus tôt et ne ressentit que de la peine, mêlée à un peu de dégoût.
Roslin se leva doucement, enfila ses chaussures, prit son sac et sa veste, et laissa les clefs de l'appartement sur la table. Elle se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Avant de sortir, elle se retourna pour regarder Josef une dernière fois.
— Tu as surmonté ma mort une fois, donc je suppose que tu es un peu plus préparé qu'à cette époque. Ne me cherche pas, ne m'appelle pas. Je ne suis pas qui tu penses, je ne suis pas qui tu croyais avoir créé. Et, surtout, détruis cet hôpital, les laboratoires… et les embryons. Adieu.

Elle partit, laissant Josef morcelé, comme l'était la photo entre ses pieds.

7 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Elle essaya une dernière fois de le raisonner :
— Si nous y allons… si j'accepte d'y aller, à quoi ça servira ? demanda-t-elle. Je sais que tu ne le comprends pas parce que tu l'as vécu d'une autre manière. Mais, Josef, elle ouvrit enfin les yeux et le regarda fixement tandis qu'elle lui prenait les mains, je ne suis pas elle.
Elle attendait une mauvaise réaction sur son visage, qu'il la frappe, n'importe quoi. Mais, la seule chose qu'il y avait, c'était l'échec. Elle se rendit compte qu'il allait la laisser partir, que de la perdre était, pour lui, un traumatisme qu'il avait déjà vécu et qu'en vérité, cet homme, ce fou, devait vraiment beaucoup l'aimer comme il le disait. Elle oublia la peur qui la consommait quelques secondes plus tôt et ressentit seulement de la peine mêlée à un peu de dégoût.
Roslin se leva doucement. Elle enfila ses chaussures, prit son sac et sa veste, mais laissa les clefs de l'appartement sur la table. Elle se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Avant de sortir, elle se retourna pour regarder Josef une dernière fois.
— Tu as déjà surmonté ma mort une fois, donc je suppose que tu es un peu plus préparé qu'alors. Ne me cherche pas, ne m'appelle pas. Je ne suis pas qui tu penses, je ne suis pas qui tu croyais avoir créé. Et, surtout, détruis cet hôpital, les laboratoires… et les embryons. Adieu.
Elle partit, laissant Josef brisé, comme l'était la photo entre ses pieds.

Tradabordo a dit…

Elle essaya une dernière fois de le raisonner :
— Si nous y allons… si j'accepte d'y aller, à quoi ça servira ? demanda-t-elle. Je sais que tu ne le [nécessaire ?] comprends pas parce que tu l'as vécu [« tu as vécu cela » ?] d'une autre manière. [ou virgule ?] Mais, Josef, elle ouvrit enfin les yeux et le regarda fixement tandis qu'elle lui prenait les mains, je ne suis pas elle.
Elle attendait [cheville : « de lire » ?] une mauvaise réaction sur son visage, qu'il la frappe, n'importe quoi. Mais [tu en as déjà un juste avant], la seule chose qu'il y avait [« vit »], c'était [« c'est » ?] l'échec. Elle se rendit compte qu'il allait [tu en as déjà deux avant ; pour les deux premiers, la répétition était volontaire, mais là, débrouille-toi pour changer] la laisser partir, que de [?] la perdre était, [virgule nécessaire ?] pour lui, [idem ?] un traumatisme qu'il avait déjà vécu et qu'en vérité [bof ou alors mal placé…], cet homme, ce fou, devait vraiment beaucoup l'aimer comme [non] il le disait. Elle oublia la peur qui la consommait [temps ?] quelques secondes plus tôt et ressentit seulement de [pas très fluide] la peine [virgule ?] mêlée à un peu de dégoût.
Roslin se leva doucement. Elle [en reliant les deux phrases avec une simple virgule ?] enfila ses chaussures, prit son sac et sa veste, mais [nécessaire ?] laissa les clefs de l'appartement sur la table. Elle se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Avant de sortir, elle se retourna pour regarder Josef une dernière fois.
— Tu as déjà [nécessaire ?] surmonté ma mort une fois, donc je suppose que tu es un peu plus préparé qu'alors [clair ?]. Ne me cherche pas, ne m'appelle pas. Je ne suis pas qui tu penses, je ne suis pas qui tu croyais avoir créé. Et, surtout, détruis cet hôpital, les laboratoires… et les embryons. Adieu.
Elle partit, laissant Josef brisé, comme l'était la photo [brisé pour la photo ? Pas très adapté] entre ses pieds.

Fanny JAY a dit…

Elle essaya une dernière fois de le raisonner :
— Si nous y allons… si j'accepte d'y aller, à quoi ça servira ? demanda-t-elle. Je sais que tu ne comprends pas parce que tu as vécu cela d'une autre manière, mais, Josef, elle ouvrit enfin les yeux et le regarda fixement tandis qu'elle lui prenait les mains, je ne suis pas elle.
Elle attendait de lire une mauvaise réaction sur son visage, qu'il la frappe, n'importe quoi. Toutefois, la seule chose qu'elle y vit, ce fut l'échec. Elle se rendit compte qu'il la laisserait partir, que la perdre était pour lui un traumatisme qu'il avait déjà vécu et qu'assurément, cet homme, ce fou, devait vraiment beaucoup l'aimer ainsi qu'il le disait. Elle oublia la peur qui l'avait consommée quelques secondes plus tôt et ne ressentit que de la peine, mêlée à un peu de dégoût.
Roslin se leva doucement, enfila ses chaussures, prit son sac et sa veste, et laissa les clefs de l'appartement sur la table. Elle se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Avant de sortir, elle se retourna pour regarder Josef une dernière fois.
— Tu as surmonté ma mort une fois, donc je suppose que tu es un peu plus préparé qu'à cette époque. Ne me cherche pas, ne m'appelle pas. Je ne suis pas qui tu penses, je ne suis pas qui tu croyais avoir créé. Et, surtout, détruis cet hôpital, les laboratoires… et les embryons. Adieu.
Elle partit, laissant Josef morcelé, comme l'était la photo entre ses pieds.

Tradabordo a dit…

Elle essaya une dernière fois de le raisonner :
— Si nous y allons… si j'accepte d'y aller, à quoi ça servira ? demanda-t-elle. Je sais que tu ne comprends pas parce que tu as vécu cela d'une autre manière, mais Josef… Elle ouvrit enfin les yeux et le regarda fixement tandis qu'elle lui prenait les mains : Je ne suis pas elle.
Elle attendait de lire une mauvaise réaction sur son visage, qu'il la frappe, n'importe quoi. Toutefois, la seule chose qu'elle y vit, ce fut l'échec. Elle se rendit compte qu'il la laisserait partir, que la perdre était pour lui un traumatisme qu'il avait déjà vécu et qu'assurément, cet homme, ce fou, devait vraiment beaucoup l'aimer ainsi qu'il le disait. Elle oublia la peur qui l'avait consommée quelques secondes plus tôt et ne ressentit que de la peine, mêlée à un peu de dégoût.
Roslin se leva doucement, enfila ses chaussures, prit son sac et sa veste, et laissa les clefs de l'appartement sur la table. Elle se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Avant de sortir, elle se retourna pour regarder Josef une dernière fois.
— Tu as surmonté ma mort une fois, donc je suppose que tu es un peu plus préparé qu'à cette époque. Ne me cherche pas, ne m'appelle pas. Je ne suis pas qui tu penses, je ne suis pas qui tu croyais avoir créé. Et, surtout, détruis cet hôpital, les laboratoires… et les embryons. Adieu.
Elle partit, laissant Josef morcelé, comme l'était la photo entre ses pieds.

OK.

Tu peux aller chercher ton texte dans « Travaux en cours » et relire, en faisant bien attention qu'il ne manque pas quelques phrases (il y a parfois des problèmes techniques quand je fais les copier-coller) +en remettant la même mise en page que la V.O.

Fanny JAY a dit…

ok

Fanny JAY a dit…

Bonjour,
où dois-je vous envoyer le résultat final ? Sur Tradabordo ou par mail ?
Fanny

Tradabordo a dit…

Par mail.