—Señor Ramírez, dijo. No hay por qué sulfurarse. Acérquese, por favor.
Ramírez se incorporó sin bríos, el estrés provocó un limbo en su mente. Apartó el diván y caminó unos metros hacia el fondo del despacho. Colocó su mirada en los cuadros de sonrisas, era la primera vez que los miraba con detenimiento y un horror brotó en su cuerpo. Los cuadros eran ilustraciones de sonrisas cortadas por las comisuras de la boca, manchadas por un rojo intenso a manera de sangre, que goteaba de las bocas desgarradas.
—Lo ve, señor Ramírez, tres veces ha estado en mi consulta y nunca se ha detenido a mirar mis cuadros. Yo mismo los he pintado, señaló David.
—¿Y por qué razón las sonrisas parecen sufrir? preguntó Ramírez, con espanto. “El gurú se ha vuelto loco”, pensó.
Traduction temporaire :
— Monsieur Ramírez, pas besoin de vous fâcher. Approchez, s'il vous plaît.
Ramirez se redressa sans entrain, le stress provoqua un vide dans son esprit. Il écarta le divan et parcourut les quelques mètres vers le fond du bureau. Il posa les yeux sur les tableaux de sourires ; c’était la première fois qu’il les regardait avec attention et un sentiment d'horreur jaillit dans son corps. Les tableaux représentaient des illustrations de sourires découpés au niveau des commissures de la bouche, tachés d’un rouge intense, à la manière du sang, qui coulait des lèvres déchirées.
— Vous voyez, Monsieur Ramirez, vous êtes venu trois fois dans mon bureau et vous n'avez jamais pris le temps de regarder mes tableaux. Je les ai peints moi-même, précisa David.
— Et pour quelle raison les sourires semblent souffrir ? demanda Ramirez, avec épouvante. « Le gourou est devenu fou », pensa-t-il.
6 commentaires:
— Monsieur Ramírez. Il n'y a pas besoin de se mettre dans ces états. Approchez, s'il vous plaît.
Ramirez se redressa sans entrain, le stress provoqua un vide dans son esprit. Il écarta le canapé et parcourut quelques mètres vers le fond du bureau. Il posa le regard sur les tableaux de sourires, c’était la première fois qu’il les regardait avec attention et une horreur jaillit dans son corps. Les tableaux représentaient des illustrations de sourires découpées sur les commissures de la bouche, tachées d’un rouge intense, à la manière du sang, qui coulait des bouches dépouillées.
— Je vois, Monsieur Ramirez, que vous êtes venu trois fois dans mon bureau et vous ne vous êtes jamais arrêté pour regarder mes tableaux. Je les ai peints moi-même, signala David.
— Et pour quelle raison les sourires semblent souffrir ? demanda Ramirez, avec horreur. « Le gourou est devenu fou », pensa-t-il.
— Monsieur Ramírez. [bonne initiative d'avoir viré «dijo» ;-) Mais reliez les deux phrases avec une virgule] Il n'y a [nécessaire ?] pas besoin de se [ou « vous » ?] mettre dans ces états [pas plus simple et clair avec « se fâcher » ? Comme vous voulez]. Approchez, s'il vous plaît.
Ramirez se redressa sans entrain, le stress provoqua un vide dans son esprit. Il écarta le canapé [il faut laisser « divan », au fait ; on est chez un psy… Si on ne l'a pas fait avant, il faudra les remettre au moment de la relecture. Notez ça quelque part] et parcourut quelques mètres vers le fond du bureau. Il posa le regard [« les yeux » ? Comme vous voulez] sur les tableaux de sourires, [ou : « ; » ?] c’était la première fois qu’il les regardait avec attention et une horreur [tout seul, ça ne va pas… Ajoutez quelque chose, genre : « sentiment »…] jaillit dans son corps. Les tableaux représentaient des illustrations de sourires découpées [grammaire ou CS ?] sur les [« au niveau de » ?] commissures de la bouche, tachées [grammaire ou CS ?] d’un rouge intense, à la manière du sang, qui coulait des bouches [pas facile, mais un moyen d'éviter la répétition de « bouche » ?] dépouillées [mal dit ici].
— Je vois [CS], Monsieur Ramirez,
Reprenez déjà ça.
que vous êtes venu trois fois dans mon bureau et vous ne vous êtes jamais arrêté pour regarder mes tableaux. Je les ai peints moi-même, signala David.
— Et pour quelle raison les sourires semblent souffrir ? demanda Ramirez, avec horreur. « Le gourou est devenu fou », pensa-t-il.
— Monsieur Ramírez, pas besoin de vous fâcher. Approchez, s'il vous plaît.
Ramirez se redressa sans entrain, le stress provoqua un vide dans son esprit. Il écarta le divan (c'est noté) et parcourut quelques mètres vers le fond du bureau. Il posa les yeux sur les tableaux de sourires ; c’était la première fois qu’il les regardait avec attention et un sentiment d'horreur jaillit dans son corps. Les tableaux représentaient des illustrations de sourires découpés au niveau des commissures de la bouche, tachés d’un rouge intense, à la manière du sang, qui coulait des lèvres déchirées.
— Vous voyez, Monsieur Ramirez, vous êtes venu trois fois dans mon bureau et vous ne vous êtes jamais arrêté pour regarder mes tableaux. Je les ai peints moi-même, signala David.
— Et pour quelle raison les sourires semblent souffrir ? demanda Ramirez, avec horreur. « Le gourou est devenu fou », pensa-t-il.
— Monsieur Ramírez, pas besoin de vous fâcher. Approchez, s'il vous plaît.
Ramirez se redressa sans entrain, le stress provoqua un vide dans son esprit. Il écarta le divan et parcourut les quelques mètres vers le fond du bureau. Il posa les yeux sur les tableaux de sourires ; c’était la première fois qu’il les regardait avec attention et un sentiment d'horreur jaillit dans son corps. Les tableaux représentaient des illustrations de sourires découpés au niveau des commissures de la bouche, tachés d’un rouge intense, à la manière du sang, qui coulait des lèvres déchirées.
— Vous voyez, Monsieur Ramirez, vous êtes venu trois fois dans mon bureau et vous ne vous êtes jamais arrêté pour [je pense que c'est dans le sens de « prendre la peine de » / « prendre le temps de »] regarder mes tableaux. Je les ai peints moi-même, signala [« précisa » ?] David.
— Et pour quelle raison les sourires semblent souffrir ? demanda Ramirez, avec horreur [vous l'avez avant ; trouvez un synonyme]. « Le gourou est devenu fou », pensa-t-il.
— Monsieur Ramírez, pas besoin de vous fâcher. Approchez, s'il vous plaît.
Ramirez se redressa sans entrain, le stress provoqua un vide dans son esprit. Il écarta le divan et parcourut les quelques mètres vers le fond du bureau. Il posa les yeux sur les tableaux de sourires ; c’était la première fois qu’il les regardait avec attention et un sentiment d'horreur jaillit dans son corps. Les tableaux représentaient des illustrations de sourires découpés au niveau des commissures de la bouche, tachés d’un rouge intense, à la manière du sang, qui coulait des lèvres déchirées.
— Vous voyez, Monsieur Ramirez, vous êtes venu trois fois dans mon bureau et vous n'avez jamais pris le temps de regarder mes tableaux. Je les ai peints moi-même, précisa David.
— Et pour quelle raison les sourires semblent souffrir ? demanda Ramirez, avec épouvante. « Le gourou est devenu fou », pensa-t-il.
— Monsieur Ramírez, pas besoin de vous fâcher. Approchez, s'il vous plaît.
Ramirez se redressa sans entrain, le stress provoqua un vide dans son esprit. Il écarta le divan et parcourut les quelques mètres vers le fond du bureau. Il posa les yeux sur les tableaux de sourires ; c’était la première fois qu’il les regardait avec attention et un sentiment d'horreur jaillit dans son corps. Les tableaux représentaient des illustrations de sourires découpés au niveau des commissures de la bouche, tachés d’un rouge intense, à la manière du sang, qui coulait des lèvres déchirées.
— Vous voyez, Monsieur Ramirez, vous êtes venu trois fois dans mon bureau et vous n'avez jamais pris le temps de regarder mes tableaux. Je les ai peints moi-même, précisa David.
— Et pour quelle raison les sourires semblent souffrir ? demanda Ramirez, avec épouvante. « Le gourou est devenu fou », pensa-t-il.
OK.
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