—¿Qué hacemos con ellos, Clyde? Estos perros merecen un escarmiento.
Otro clamó:
—¡Vamos a arrancarles la piel, los ojos!
Otro rió obscenamente.
—¡Clyde, que tal si los fusilamos todos y cada uno!
Se alzaron otras risas. El gigante no respondió. Se puso de cuclillas junto a uno de los caídos. Le quitó la mordaza y se puso a interrogarlo, a dialogar con él, como un jefe de milicia que aún no sabe la suerte que va a imponerles a sus prisioneros. Luego se puso a hablar con algunos de los que lo rodeaban en círculo. Era un consejo de guerra. Se diría que estaban en un claro de bosque, en alguna sabana, salvo que en el horizonte se alzaban los grandes rascacielos que rodeaban el centro de Los Ángeles. Volvió a sentir la urgencia de irse. Se dijo que ya estaba bueno, que ya se había complicado la vida en forma suficiente, que era tiempo de desaparecer de ese lugar.
Traduction temporaire :
— Qu’est-ce qu’on fait d’eux, Clyde ? Ces chiens méritent une correction.
Un type s'exclama :
— On va leur arracher la peau et les yeux !
Un autre rit de façon obscène.
— Clyde, et si on les fusille tous, les uns après les autres !
De nouveaux rires s’élevèrent. Le géant ne répondit pas. Il s'agenouilla auprès de l’un des hommes à terre. Il lui ôta son bâillon, puis l’interrogea, discuta avec lui, comme un chef de milice ignorant encore quel sort réserver à ses prisonniers. Enfin, il se mit à parler avec quelques-uns des compagnons qui l’entouraient. C’était un conseil de guerre. On aurait dit qu’ils se trouvaient dans une clairière, une savane, sauf qu’à l’horizon, se dressaient les grands gratte-ciels qui encerclaient le centre de Los Angeles. Il ressentit encore une fois l’urgence de partir. Cela suffisait, il s’était déjà assez compliqué la vie comme ça, il était temps de disparaître.
— Qu’est-ce qu’on fait d’eux, Clyde ? Ces chiens méritent une correction.
Un type s'exclama :
— On va leur arracher la peau et les yeux !
Un autre rit de façon obscène.
— Clyde, et si on les fusille tous, les uns après les autres !
De nouveaux rires s’élevèrent. Le géant ne répondit pas. Il s'agenouilla auprès de l’un des hommes à terre. Il lui ôta son bâillon, puis l’interrogea, discuta avec lui, comme un chef de milice ignorant encore quel sort réserver à ses prisonniers. Enfin, il se mit à parler avec quelques-uns des compagnons qui l’entouraient. C’était un conseil de guerre. On aurait dit qu’ils se trouvaient dans une clairière, une savane, sauf qu’à l’horizon, se dressaient les grands gratte-ciels qui encerclaient le centre de Los Angeles. Il ressentit encore une fois l’urgence de partir. Cela suffisait, il s’était déjà assez compliqué la vie comme ça, il était temps de disparaître.
4 commentaires:
— Qu’est-ce qu’on fait d’eux, Clyde ? Ces chiens méritent une correction. Un type clama : on va leur arracher la peau et les yeux ! Un autre ria de façon obscène. Clyde, et si on les fusille tous, chacun leur tour !
De nouveaux rires s’élevèrent. Le géant ne répondit pas. Il se mit à genoux auprès de l’un des deux hommes à terre. Il lui ôta son bâillon, puis l’interrogea, discuta avec lui, comme un chef de milice ne sachant pas encore quel sort réserver à ses prisonniers. Enfin, il échangea avec quelques-uns des gars qui l’entouraient. C’était un conseil de guerre. On aurait dit qu’ils se trouvaient dans une clairière, une savane, sauf qu’à l’horizon se dressaient les grands gratte-ciels qui ceignaient le centre de Los Angeles. Il ressentit encore une fois l’urgence de partir. C’était bon, il s’était déjà assez compliqué la vie comme ça, il était temps de disparaître de cet endroit.
— Qu’est-ce qu’on fait d’eux, Clyde ? Ces chiens méritent une correction.
Un type clama [bof] :
— On va leur arracher la peau et les yeux !
Un autre ria [!!!!!!] de façon obscène.
— Clyde, et si on les fusille tous, chacun leur tour [texte ?] !
De nouveaux rires s’élevèrent. Le géant ne répondit pas. Il se mit à genoux [ou directement avec le verbe ?] auprès de l’un des deux [ajout nécessaire ?] hommes à terre. Il lui ôta son bâillon, puis l’interrogea, discuta avec lui, comme un chef de milice ne sachant pas [« ignorant » ?] encore quel sort réserver à ses prisonniers. Enfin, il échangea [pas très naturel ici] avec quelques-uns des gars [registre ?] qui l’entouraient. C’était un conseil de guerre. On aurait dit qu’ils se trouvaient dans une clairière, une savane, sauf qu’à l’horizon [virgule] se dressaient les grands gratte-ciels qui ceignaient [naturel ici ?] le centre de Los Angeles. Il ressentit encore une fois l’urgence de partir. C’était [tu en as déjà un juste avant] bon, il s’était déjà assez compliqué la vie comme ça, il était temps de disparaître de cet endroit [nécessaire ?].
— Qu’est-ce qu’on fait d’eux, Clyde ? Ces chiens méritent une correction.
Un type s'exclama :
— On va leur arracher la peau et les yeux !
Un autre rit [rhoooo] de façon obscène.
— Clyde, et si on les fusille tous les uns après les autres !
De nouveaux rires s’élevèrent. Le géant ne répondit pas. Il s'agenouilla auprès de l’un des hommes à terre. Il lui ôta son bâillon, puis l’interrogea, discuta avec lui, comme un chef de milice ignorant encore quel sort réserver à ses prisonniers. Enfin, il se mit à parler avec quelques-uns des compagnons [registre ? J'ai déjà "homme", "type"... Du coup, je propose quelque chose de moins neutre sémantiquement] qui l’entouraient. C’était un conseil de guerre. On aurait dit qu’ils se trouvaient dans une clairière, une savane, sauf qu’à l’horizon, se dressaient les grands gratte-ciels qui encerclaient le centre de Los Angeles. Il ressentit encore une fois l’urgence de partir. Cela suffisait, il s’était déjà assez compliqué la vie comme ça, il était temps de disparaître.
— Qu’est-ce qu’on fait d’eux, Clyde ? Ces chiens méritent une correction.
Un type s'exclama :
— On va leur arracher la peau et les yeux !
Un autre rit de façon obscène.
— Clyde, et si on les fusille tous, les uns après les autres !
De nouveaux rires s’élevèrent. Le géant ne répondit pas. Il s'agenouilla auprès de l’un des hommes à terre. Il lui ôta son bâillon, puis l’interrogea, discuta avec lui, comme un chef de milice ignorant encore quel sort réserver à ses prisonniers. Enfin, il se mit à parler avec quelques-uns des compagnons qui l’entouraient. C’était un conseil de guerre. On aurait dit qu’ils se trouvaient dans une clairière, une savane, sauf qu’à l’horizon, se dressaient les grands gratte-ciels qui encerclaient le centre de Los Angeles. Il ressentit encore une fois l’urgence de partir. Cela suffisait, il s’était déjà assez compliqué la vie comme ça, il était temps de disparaître.
OK.
Enregistrer un commentaire