mercredi 30 mars 2016

Projet Justine / Marie G. 2 – phrases 319-333

—Uy, qué pregunta difícil. –en este instante soltó del todo y puso cara de ensoñación; es la imagen que mejor conservo de aquella noche—. ¿Cómo se describe una voz? —le preguntó a la noche en un tono dulcísimo. A ver, pues era gruesa y cálida. Lo que más recuerdo es su risa… se reía a carcajadas, unas carcajadas grandes que se oían por toda la casa.
—¿Cómo eran sus manos? –me entusiasmé yo.
—Como las tuyas, de dedos delgados y largos.
Al decir esto, la tía Alfreda rozó mis manos levemente. Yo las retiré nerviosa, sintiendo que se me calentaban los cachetes.
—Mamá dice que era muy inteligente.
—Sí, así es.
—¿Usted sabe por qué se mató? –solté la pregunta que hacía años crecía entre mis manos como una pelota pegajosa. Temí que al caer, la pregunta-pelota se estrellase contra el suelo y despertara a todos en la casa… en cambió se quedó inerte, pegada al suelo, sin rebotar y sin despedazarse.
—Yo creo que fue la angustia. Estaba muy angustiado. Y triste. –dijo ella después de una pausa. La respuesta tampoco hizo ruido.
—Mamá dice que lo estaban buscando para matarlo y que él prefirió matarse primero.
—Sí, eso dijeron.

Traduction temporaire :
— Oh ! Question difficile !
À cet instant, elle relâcha la pression et son visage devint rêveur ; c'est la meilleure image que je garde de cette nuit-là.
— Comment décrit-on une voix ? lança-t-elle à la nuit sur un ton très doux. Voyons voir, elle était grosse et chaude. C'est son rire que je me rappelle le mieux… Il riait aux éclats, de grands éclats qui résonnaient dans toute la maison.
— Comment étaient ses mains ? m'emballai-je.
— Comme les tiennes, avec des doigts fins et longs.
À ces mots, tante Alfreda effleura mes mains. Sentant mes joues chauffer, je les retirai, nerveuse.
— Selon maman, il était très intelligent.
— Oui, en effet.
— Vous savez pourquoi il s'est tué ?
Je lançai la question qui, depuis des années, gonflait dans mes mains tel une balle gluante. Je craignis qu'en tombant, ma question-balle n'aille s'écraser au sol et réveille tout le monde dans la maison… or, non, elle resta inerte, collée par terre, sans rebondir ni éclater.
— Je crois qu'on peut mettre son geste sur le compte de son angoisse. Il était très angoissé. Et triste, ajouta-t-elle après une pause. Sa réponse ne fit pas de bruit non plus.
— D'après maman, on le recherchait pour le tuer et il aurait préféré se tuer en premier.
— Oui, on a prétendu cela.

8 commentaires:

Justine a dit…

— Oh ! Quelle question difficile !
À cet instant, elle se relâcha complètement et son visage devint rêveur, c'est la meilleure image que je garde de cette nuit-là.
— Comment décrit-on une voix ? interrogea-t-elle la nuit sur un ton très doux. Voyons, elle était grosse et chaude. C'est son rire que je me rappelle le mieux… Il riait aux éclats, de grands éclats qui résonnaient dans toute la maison.
— Comment étaient ses mains ?
— Comme les tiennes, avec des doigts fins et longs.
À ces mots, tante Alfreda effleura légèrement mes mains. Sentant mes joues chauffer, je les retirai, nerveuse.
— Selon maman, il était très intelligent.
— Oui, en effet.
— Vous savez pourquoi il s'est tué ? je libérai la question qui, depuis des années, gonflait dans mes mains tel un ballon collant. Je craignis qu'en tombant ma question-ballon n'aille s'écraser au sol et réveille tout le monde dans la maison… or, elle resta inerte, collée par terre, sans rebondir et sans éclater.
— Je crois que son angoisse est responsable. Il était très angoissé. Et triste, ajouta-t-elle après une pause. Sa réponse ne fit pas de bruit non plus.
— D'après maman, on le recherchait pour le tuer et il aurait préféré se tuer en premier.
— Oui, on a prétendu cela.

Tradabordo a dit…

— Oh ! Quelle [nécessaire ?] question difficile !
À cet instant, elle se relâcha [il s'agissait de quoi, déjà ?] complètement et son visage devint rêveur, [ponctuation ?] c'est la meilleure image que je garde de cette nuit-là.
— Comment décrit-on une voix ? [« l' » ?]interrogea-t-elle la nuit sur un ton très doux. Voyons, [on ne fait rien du « pues » ?] elle était grosse et chaude. C'est son rire que je me rappelle le mieux… Il riait aux éclats, de grands éclats qui résonnaient dans toute la maison.
— Comment étaient ses mains ? [«me entusiasmé yo»]
— Comme les tiennes, avec des doigts fins et longs.
À ces mots, tante Alfreda effleura légèrement [redondant ?] mes mains. Sentant mes joues chauffer, je les retirai, nerveuse.
— Selon maman, il était très intelligent.
— Oui, en effet.
— Vous savez pourquoi il s'est tué ? je [maj] libérai [????] la question qui, depuis des années, gonflait dans mes mains tel un ballon [« balle » ? J'hésite] collant. Je craignis qu'en tombant [virgule] ma question-ballon n'aille s'écraser au sol et réveille tout le monde dans la maison… or, [cheville : « non, »] elle resta inerte, collée [tu as « collante » avant… donc bof] par terre, sans rebondir et sans éclater.
— Je crois que son angoisse est responsable [passe par « mettre sur le compte »]. Il était très angoissé. Et triste, ajouta-t-elle après une pause. Sa réponse ne fit pas de bruit non plus.
— D'après maman, on le recherchait pour le tuer et il aurait préféré se tuer en premier.
— Oui, on a prétendu cela.

Justine a dit…

— Oh ! Question difficile !
À cet instant, elle se relâcha [il s'agissait de quoi, déjà ? /de sa tante.] complètement et son visage devint rêveur ; c'est la meilleure image que je garde de cette nuit-là.
— Comment décrit-on une voix ? [« l' » ? / Je comprends que c'est la nuit qu'elle interroge.]interrogea-t-elle la nuit sur un ton très doux. Voyons voir, elle était grosse et chaude. C'est son rire que je me rappelle le mieux… Il riait aux éclats, de grands éclats qui résonnaient dans toute la maison.
— Comment étaient ses mains ? m'emballai-je.
— Comme les tiennes, avec des doigts fins et longs.
À ces mots, tante Alfreda effleura mes mains. Sentant mes joues chauffer, je les retirai, nerveuse.
— Selon maman, il était très intelligent.
— Oui, en effet.
— Vous savez pourquoi il s'est tué ? Je lançai la question qui, depuis des années, gonflait dans mes mains tel une balle gluante. Je craignis qu'en tombant, ma question-balle n'aille s'écraser au sol et réveille tout le monde dans la maison… or,non, elle resta inerte, collée par terre, sans rebondir ni éclater.
— Je crois qu'on peut mettre son geste sur le compte de son angoisse. Il était très angoissé. Et triste, ajouta-t-elle après une pause. Sa réponse ne fit pas de bruit non plus.
— D'après maman, on le recherchait pour le tuer et il aurait préféré se tuer en premier.
— Oui, on a prétendu cela.

Tradabordo a dit…

— Oh ! Question difficile !
À cet instant, elle se relâcha [il s'agissait de quoi, déjà ? /de sa tante. //// d'accord, mais moi qui ne me souvient pas de ce qui précède, je ne comprends pas… Ça veut dire quoi « se relâcher » ici ?] complètement et son visage devint rêveur ; c'est la meilleure image que je garde de cette nuit-là.
— Comment décrit-on une voix ? [« l' » ? / Je comprends que c'est la nuit qu'elle interroge.]interrogea-t-elle la nuit sur un ton très doux. Voyons voir, elle était grosse et chaude. C'est son rire que je me rappelle le mieux… Il riait aux éclats, de grands éclats qui résonnaient dans toute la maison.
— Comment étaient ses mains ? m'emballai-je.
— Comme les tiennes, avec des doigts fins et longs.
À ces mots, tante Alfreda effleura mes mains. Sentant mes joues chauffer, je les retirai, nerveuse.
— Selon maman, il était très intelligent.
— Oui, en effet.
— Vous savez pourquoi il s'est tué ?
Je lançai la question qui, depuis des années, gonflait dans mes mains tel une balle gluante. Je craignis qu'en tombant, ma question-balle n'aille s'écraser au sol et réveille tout le monde dans la maison… or,[espace]non, elle resta inerte, collée par terre, sans rebondir ni éclater.
— Je crois qu'on peut mettre son geste sur le compte de son angoisse. Il était très angoissé. Et triste, ajouta-t-elle après une pause. Sa réponse ne fit pas de bruit non plus.
— D'après maman, on le recherchait pour le tuer et il aurait préféré se tuer en premier.
— Oui, on a prétendu cela.

Justine a dit…

— Oh ! Question difficile !
À cet instant, elle relâcha la pression [ avant elle est tendue et préférerait éviter les questions de sa nièce ; et j'ai voulu contourner « détendre » qu'on a déjà. ] et son visage devint rêveur ; c'est la meilleure image que je garde de cette nuit-là.
— Comment décrit-on une voix ? interrogea-t-elle la nuit sur un ton très doux. Voyons voir, elle était grosse et chaude. C'est son rire que je me rappelle le mieux… Il riait aux éclats, de grands éclats qui résonnaient dans toute la maison.
— Comment étaient ses mains ? m'emballai-je.
— Comme les tiennes, avec des doigts fins et longs.
À ces mots, tante Alfreda effleura mes mains. Sentant mes joues chauffer, je les retirai, nerveuse.
— Selon maman, il était très intelligent.
— Oui, en effet.
— Vous savez pourquoi il s'est tué ?
Je lançai la question qui, depuis des années, gonflait dans mes mains tel une balle gluante. Je craignis qu'en tombant, ma question-balle n'aille s'écraser au sol et réveille tout le monde dans la maison… or, non, elle resta inerte, collée par terre, sans rebondir ni éclater.
— Je crois qu'on peut mettre son geste sur le compte de son angoisse. Il était très angoissé. Et triste, ajouta-t-elle après une pause. Sa réponse ne fit pas de bruit non plus.
— D'après maman, on le recherchait pour le tuer et il aurait préféré se tuer en premier.
— Oui, on a prétendu cela.

Tradabordo a dit…

— Oh ! Question difficile !
À cet instant, elle relâcha la pression et son visage devint rêveur ; c'est la meilleure image que je garde de cette nuit-là.
— Comment décrit-on une voix ? interrogea[« lança-t-elle » ; ce sera plus clair]-t-elle la nuit sur un ton très doux. Voyons voir, elle était grosse et chaude. C'est son rire que je me rappelle le mieux… Il riait aux éclats, de grands éclats qui résonnaient dans toute la maison.
— Comment étaient ses mains ? m'emballai-je.
— Comme les tiennes, avec des doigts fins et longs.
À ces mots, tante Alfreda effleura mes mains. Sentant mes joues chauffer, je les retirai, nerveuse.
— Selon maman, il était très intelligent.
— Oui, en effet.
— Vous savez pourquoi il s'est tué ?
Je lançai la question qui, depuis des années, gonflait dans mes mains tel une balle gluante. Je craignis qu'en tombant, ma question-balle n'aille s'écraser au sol et réveille tout le monde dans la maison… or, non, elle resta inerte, collée par terre, sans rebondir ni éclater.
— Je crois qu'on peut mettre son geste sur le compte de son angoisse. Il était très angoissé. Et triste, ajouta-t-elle après une pause. Sa réponse ne fit pas de bruit non plus.
— D'après maman, on le recherchait pour le tuer et il aurait préféré se tuer en premier.
— Oui, on a prétendu cela.

Justine a dit…

— Oh ! Question difficile !
À cet instant, elle relâcha la pression et son visage devint rêveur ; c'est la meilleure image que je garde de cette nuit-là.
— Comment décrit-on une voix ? lança-t-elle à la nuit sur un ton très doux. Voyons voir, elle était grosse et chaude. C'est son rire que je me rappelle le mieux… Il riait aux éclats, de grands éclats qui résonnaient dans toute la maison.
— Comment étaient ses mains ? m'emballai-je.
— Comme les tiennes, avec des doigts fins et longs.
À ces mots, tante Alfreda effleura mes mains. Sentant mes joues chauffer, je les retirai, nerveuse.
— Selon maman, il était très intelligent.
— Oui, en effet.
— Vous savez pourquoi il s'est tué ?
Je lançai la question qui, depuis des années, gonflait dans mes mains tel une balle gluante. Je craignis qu'en tombant, ma question-balle n'aille s'écraser au sol et réveille tout le monde dans la maison… or, non, elle resta inerte, collée par terre, sans rebondir ni éclater.
— Je crois qu'on peut mettre son geste sur le compte de son angoisse. Il était très angoissé. Et triste, ajouta-t-elle après une pause. Sa réponse ne fit pas de bruit non plus.
— D'après maman, on le recherchait pour le tuer et il aurait préféré se tuer en premier.
— Oui, on a prétendu cela.

Tradabordo a dit…

— Oh ! Question difficile !
À cet instant, elle relâcha la pression et son visage devint rêveur ; c'est la meilleure image que je garde de cette nuit-là.
— Comment décrit-on une voix ? lança-t-elle à la nuit sur un ton très doux. Voyons voir, elle était grosse et chaude. C'est son rire que je me rappelle le mieux… Il riait aux éclats, de grands éclats qui résonnaient dans toute la maison.
— Comment étaient ses mains ? m'emballai-je.
— Comme les tiennes, avec des doigts fins et longs.
À ces mots, tante Alfreda effleura mes mains. Sentant mes joues chauffer, je les retirai, nerveuse.
— Selon maman, il était très intelligent.

OK.
— Oui, en effet.
— Vous savez pourquoi il s'est tué ?
Je lançai la question qui, depuis des années, gonflait dans mes mains tel une balle gluante. Je craignis qu'en tombant, ma question-balle n'aille s'écraser au sol et réveille tout le monde dans la maison… or, non, elle resta inerte, collée par terre, sans rebondir ni éclater.
— Je crois qu'on peut mettre son geste sur le compte de son angoisse. Il était très angoissé. Et triste, ajouta-t-elle après une pause. Sa réponse ne fit pas de bruit non plus.
— D'après maman, on le recherchait pour le tuer et il aurait préféré se tuer en premier.
— Oui, on a prétendu cela.