lundi 21 mars 2016

Projet Medea / Iris – phrases 150-155


Entonces, a la escasa luz de las estrellas, en la negra oscuridad que lo rodeaba, buscáronse los unos a los otros, marchando a tientas con los brazos extendidos, huyendo del silencio y de la soledad del planeta muerto. Y cuando sus manos tropezábanse en las tinieblas, asíanse para no soltarse más. Aquel contacto producía en sus yertos organismos una reacción inesperada. El débil calor que cada uno conservaba, parecía multiplicar su potencia: deshelábase la sangre, el corazón volvía a latir. Y esa cadena viviente aumentaba sin cesar por eslabones innumerables, se extendía a través de los campos, por sobre las montañas, los ríos y los mares helados. Mas, cuando esos cordones se soldaron, faltó un eslabón para que una cadena sin fin enlazase todas las vidas, fundiéndolas en una sola y única, invulnerable a la muerte.

Traduction temporaire :
Alors, à la faible lumière des étoiles, dans l'obscurité noire qui l'entourait, ils se cherchèrent les uns les autres, marchant à tâtons, les bras tendus, fuyant le silence et la solitude de la planète morte.Et quand leurs mains se heurtaient dans les ténèbres, elles se saisissaient pour ne plus se lâcher. Ce contact produisait dans leur organisme rigide une réaction inattendue. Le peu de chaleur que chacun conservait semblait multiplier leur puissance : le sang se dégelait, le cœur se remettait à battre. Et cette chaîne vivante augmentait sans cesse avec des chaînons innombrables, s'étendait à travers les champs, par-dessus les montagnes, les rivières et les mers gelées. Cependant, lorsque ces cordons se soudèrent, il manqua un maillon pour qu'une chaîne infinie relie toutes les vies, les fondant en une seule et unique, invulnérable à la mort.

6 commentaires:

Medea a dit…

Donc, à la faible lumière des étoiles, dans l'obscurité noir qui l'entourait, ils se cherchèrent les uns les autres, marchant à tâtons, les bras tendus, fuyant le silence et la solitude de la planète morte.
Et quand leurs mains se heurtaient dans les ténèbres, elles se saisissaient pour ne plus se lâcher. Ce contact, produisait dans leur organisme raide une réaction inespérée. La faible chaleur que chacun conservait, semblait multiplier leur puissance : le sang se dégelait, le cœur se remettait à battre. Et cette chaîne vivante augmentait sans s'arrêter par des chaînons innombrables, elle s'étendait à travers les champs, par dessus les montagnes, les rivières et les mers gelées. Cependant, lorsque ces cordons se soudèrent, il manqua un maillon [pour ne pas répéter "chaînon" ?] afin qu'une chaîne sans fin relie toutes les vies, les fondant en une seule et unique, invulnérable à la mort.

Tradabordo a dit…

Donc [FS ici], à la faible lumière des étoiles, dans l'obscurité noir [grammaire] qui l'entourait, ils se cherchèrent les uns les autres, marchant à tâtons, les bras tendus [cheville : « devant eux » ou inutile ? Comme vous préférez], fuyant le silence et la solitude de la planète morte.
Et quand leurs mains se heurtaient dans les ténèbres, elles se saisissaient pour ne plus se lâcher. Ce contact, [pas de virgule entre sujet et verbe] produisait dans leur organisme raide [j'hésite ; regardez quand même ce que dit la dico unilingue] une réaction inespérée [ou « inattendue » ; théoriquement, ça peut être les deux, alors il faut faire attention avant de trancher…]. La faible [vous l'avez déjà dans la première phrase] chaleur que chacun conservait, [sans la virgule] semblait multiplier leur puissance : le sang se dégelait, le cœur se remettait à battre. Et cette chaîne vivante augmentait sans s'arrêter [« sans cesse » ?] par [« avec »] des chaînons innombrables, elle [nécessaire ?] s'étendait à travers les champs, par dessus [tiret ? Vérifiez] les montagnes, les rivières et les mers gelées. Cependant, lorsque ces cordons se soudèrent, il manqua un maillon afin [pas sûre qu'on puisse faire sans « pour »] qu'une chaîne sans fin [ou avec un adjectif ?] relie toutes les vies, les fondant en une seule et unique, invulnérable à la mort.

Medea a dit…

Alors, à la faible lumière des étoiles, dans l'obscurité noire qui l'entourait, ils se cherchèrent les uns les autres, marchant à tâtons, les bras tendus [cheville : « devant eux » ou inutile ? Comme vous préférez // vu qu'ils marchent à tâtons, je pense que le lecteur s'imagine bien la scène avec les bras tendus devant eux], fuyant le silence et la solitude de la planète morte.
Et quand leurs mains se heurtaient dans les ténèbres, elles se saisissaient pour ne plus se lâcher. Ce contact produisait dans leur organisme raide [il y a deux définition : "Que no se puede doblar" ou "Riguroso, severo"] une réaction inattendue. Le peu de chaleur que chacun conservait semblait multiplier leur puissance : le sang se dégelait, le cœur se remettait à battre. Et cette chaîne vivante augmentait sans cesse avec des chaînons innombrables, s'étendait à travers les champs, par-dessus les montagnes, les rivières et les mers gelées. Cependant, lorsque ces cordons se soudèrent, il manqua un maillon pour qu'une chaîne infinie relie toutes les vies, les fondant en une seule et unique, invulnérable à la mort.

Tradabordo a dit…

Alors, à la faible lumière des étoiles, dans l'obscurité noire qui l'entourait, ils se cherchèrent les uns les autres, marchant à tâtons, les bras tendus, fuyant le silence et la solitude de la planète morte.
Et quand leurs mains se heurtaient dans les ténèbres, elles se saisissaient pour ne plus se lâcher. Ce contact produisait dans leur organisme raide [je me demande si « rigide ne serait pas mieux »] une réaction inattendue. Le peu de chaleur que chacun conservait semblait multiplier leur puissance : le sang se dégelait, le cœur se remettait à battre. Et cette chaîne vivante augmentait sans cesse avec des chaînons innombrables, s'étendait à travers les champs, par-dessus les montagnes, les rivières et les mers gelées. Cependant, lorsque ces cordons se soudèrent, il manqua un maillon pour qu'une chaîne infinie relie toutes les vies, les fondant en une seule et unique, invulnérable à la mort.

Medea a dit…

Alors, à la faible lumière des étoiles, dans l'obscurité noire qui l'entourait, ils se cherchèrent les uns les autres, marchant à tâtons, les bras tendus, fuyant le silence et la solitude de la planète morte.Et quand leurs mains se heurtaient dans les ténèbres, elles se saisissaient pour ne plus se lâcher. Ce contact produisait dans leur organisme rigide une réaction inattendue. Le peu de chaleur que chacun conservait semblait multiplier leur puissance : le sang se dégelait, le cœur se remettait à battre. Et cette chaîne vivante augmentait sans cesse avec des chaînons innombrables, s'étendait à travers les champs, par-dessus les montagnes, les rivières et les mers gelées. Cependant, lorsque ces cordons se soudèrent, il manqua un maillon pour qu'une chaîne infinie relie toutes les vies, les fondant en une seule et unique, invulnérable à la mort.

Tradabordo a dit…

Alors, à la faible lumière des étoiles, dans l'obscurité noire qui l'entourait, ils se cherchèrent les uns les autres, marchant à tâtons, les bras tendus, fuyant le silence et la solitude de la planète morte.Et quand leurs mains se heurtaient dans les ténèbres, elles se saisissaient pour ne plus se lâcher. Ce contact produisait dans leur organisme rigide une réaction inattendue. Le peu de chaleur que chacun conservait semblait multiplier leur puissance : le sang se dégelait, le cœur se remettait à battre. Et cette chaîne vivante augmentait sans cesse avec des chaînons innombrables, s'étendait à travers les champs, par-dessus les montagnes, les rivières et les mers gelées. Cependant, lorsque ces cordons se soudèrent, il manqua un maillon pour qu'une chaîne infinie relie toutes les vies, les fondant en une seule et unique, invulnérable à la mort.

OK.

Iris ?