vendredi 13 septembre 2013

Projet Céline – phrase 85

Estaba enteramente vuelta hacia él, sonriéndole, mirándolo con esa sonrisa, auscultándolo con esa sonrisa, ya que en todas las italianas, e incluso en todas las mujeres, hay finalmente un momento en que descubren en el hombre que las atrae, siquiera un poquito, allá en el fondo de la mirada, allá en la escondida palidez y en las hundidas ojeras, una necesidad de enfermedad urgente que ellas precisan para quedarse junto a la almohada, al velador, a la mesita de noche, a la lámpara de noche.

Traduction temporaire :
Elle était entièrement tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, parce que pour toutes les Italiennes, et d'ailleurs pour toutes les femmes, finit par arriver le moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire, ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de son regard, dans sa pâleur cachée et dans ses cernes profonds, un besoin urgent de tomber malade afin de leur permettre de rester à côté de son oreiller, de sa chandelle, de sa table de nuit, de sa lampe de chevet.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Elle était complètement tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, étant donné que pour toutes les Italiennes, et même pour toutes les femmes, il finit par y avoir un moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de leur regard, dans leur pâleur cachée et dans leurs cernes profondes, un besoin urgent de tomber malade pour qu’elles puissent rester à côté de l’oreiller, de la chandelle, de la table de nuit, de la lampe de chevet.

Tradabordo a dit…

Elle était complètement [pourquoi pas littéralement ?] tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, étant donné [ou « parce que »] que pour toutes les Italiennes, et même pour toutes les femmes

, il finit par y avoir un moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de leur regard, dans leur pâleur cachée et dans leurs cernes profondes, un besoin urgent de tomber malade pour qu’elles puissent rester à côté de l’oreiller, de la chandelle, de la table de nuit, de la lampe de chevet.

Unknown a dit…

Elle était entièrement tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, parce que pour toutes les Italiennes, et même pour toutes les femmes, il finit par y avoir un moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de leur regard, dans leur pâleur cachée et dans leurs cernes profondes, un besoin urgent de tomber malade pour qu’elles puissent rester à côté de l’oreiller, de la chandelle, de la table de nuit, de la lampe de chevet.

Tradabordo a dit…

Elle était entièrement tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, parce que pour toutes les Italiennes, et même [ou « d'ailleurs » ?] pour toutes les femmes, il finit par y avoir [ou « finit par arriver le moment où » ?] un moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire [virgule] ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de leur [« son » ? Du coup : incidence sur la suite… donc je te laisse déjà voir ça] regard, dans leur pâleur cachée et dans leurs cernes profondes, un besoin urgent de tomber malade pour qu’elles puissent rester à côté de l’oreiller, de la chandelle, de la table de nuit, de la lampe de chevet.

Unknown a dit…

Elle était entièrement tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, parce que pour toutes les Italiennes, et d'ailleurs pour toutes les femmes, finit par arriver le moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire, ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de son regard, dans sa pâleur cachée et dans ses cernes profondes, un besoin urgent de tomber malade pour qu’elles puissent rester à côté de l’oreiller, de la chandelle, de la table de nuit, de la lampe de chevet.

Tradabordo a dit…

Elle était entièrement tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, parce que pour toutes les Italiennes, et d'ailleurs pour toutes les femmes, finit par arriver le moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire, ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de son regard, dans sa pâleur cachée et dans ses cernes profondes [genre : UN cerne], un besoin urgent de tomber malade pour [« afin » / tu as déjà deux « pour »] qu’elles puissent rester à côté de l’[possessif ? + adapter à la suite] oreiller, de la chandelle, de la table de nuit, de la lampe de chevet.

Unknown a dit…

Elle était entièrement tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, parce que pour toutes les Italiennes, et d'ailleurs pour toutes les femmes, finit par arriver le moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire, ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de son regard, dans sa pâleur cachée et dans ses cernes profonds, un besoin urgent de tomber malade afin qu’elles puissent rester à côté de son oreiller, de sa chandelle, de sa table de nuit, de sa lampe de chevet.

Tradabordo a dit…

Elle était entièrement tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, parce que pour toutes les Italiennes, et d'ailleurs pour toutes les femmes, finit par arriver le moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire, ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de son regard, dans sa pâleur cachée et dans ses cernes profonds, un besoin urgent de tomber malade afin qu’elles puissent [« de leur permettre de » / sinon, c'est bancal] rester à côté de son oreiller, de sa chandelle, de sa table de nuit, de sa lampe de chevet.

Unknown a dit…

Elle était entièrement tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, parce que pour toutes les Italiennes, et d'ailleurs pour toutes les femmes, finit par arriver le moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire, ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de son regard, dans sa pâleur cachée et dans ses cernes profonds, un besoin urgent de tomber malade afin de leur permettre de rester à côté de son oreiller, de sa chandelle, de sa table de nuit, de sa lampe de chevet.

Tradabordo a dit…

Elle était entièrement tournée vers lui et elle lui souriait, elle le regardait avec ce sourire, l’auscultait avec ce sourire, parce que pour toutes les Italiennes, et d'ailleurs pour toutes les femmes, finit par arriver le moment où elles découvrent chez l’homme qui les attire, ne serait-ce qu’un peu, quelque part au fond de son regard, dans sa pâleur cachée et dans ses cernes profonds, un besoin urgent de tomber malade afin de leur permettre de rester à côté de son oreiller, de sa chandelle, de sa table de nuit, de sa lampe de chevet.

OK.