lundi 2 septembre 2013

Projet Delphine 4 – phrase 10

En esos minutos eternos de gran desesperación solo deseábamos el fin de la tortura aunque sabíamos que las cosas ya no volverían a ser las mismas, bastaba levantar la mirada para saber que el desastre se manifestaba en su máxima expresión.

Traduction temporaire :
Lors de ces interminables minutes de grand désespoir, nous souhaitions seulement que la torture s'achève, bien que nous eussions conscience que les choses ne seraient plus jamais les mêmes ; il suffisait de lever les yeux pour savoir que le désastre se manifestait dans son expression la plus totale.

8 commentaires:

Unknown a dit…

En esos minutos eternos de gran desesperación solo deseábamos el fin de la tortura aunque sabíamos que las cosas ya no volverían a ser las mismas, bastaba levantar la mirada para saber que el desastre se manifestaba en su máxima expresión.

Durant ces éternelles minutes de grand désespoir, nous désirions seulement la fin de la torture bien que nous sussions que les choses ne seraient plus les mêmes ; il suffisait de lever les yeux pour savoir que le désastre se manifestait dans son expression la plus totale.

Tradabordo a dit…

Durant ces éternelles [mal dit ; ça ne s'arrête pas…] minutes de grand désespoir, nous désirions seulement [pas terrible…] la fin de la torture [virgule] bien que nous sussions [une autre solution ;-)] que les choses ne seraient plus [cheville : « jamais » ?] les mêmes ; il suffisait de lever les yeux pour savoir que le désastre se manifestait dans son expression la plus totale.

Unknown a dit…

Lors de ces éternelles minutes de grand désespoir, nous souhaitions seulement la fin de la torture, bien que nous eussions conscience [c'était la forme verbale qui faisait mouche ou le choix du verbe savoir en lui-même ?] que les choses ne seraient plus jamais les mêmes ; il suffisait de lever les yeux pour savoir que le désastre se manifestait dans son expression la plus totale.

Tradabordo a dit…

Lors de ces éternelles [cet adjectif ne fonctionne pas bien ici] minutes de grand désespoir, nous souhaitions seulement la fin de la torture, bien que nous eussions conscience que les choses ne seraient plus jamais les mêmes ; il suffisait de lever les yeux pour savoir que le désastre se manifestait dans son expression la plus totale.

Unknown a dit…

Parce que l'envoi a dû bugguer...

Lors de ces interminables minutes de grand désespoir, nous souhaitions seulement la fin de la torture, bien que nous eussions conscience que les choses ne seraient plus jamais les mêmes ; il suffisait de lever les yeux pour savoir que le désastre se manifestait dans son expression la plus totale.

Tradabordo a dit…

Lors de ces interminables minutes de grand désespoir, nous souhaitions seulement la fin de la torture [ou : « que la torture s'achève » ?], bien que nous eussions conscience que les choses ne seraient plus jamais les mêmes ; il suffisait de lever les yeux pour savoir que le désastre se manifestait dans son expression la plus totale.

Unknown a dit…

Lors de ces interminables minutes de grand désespoir, nous souhaitions seulement que la torture s'achève, bien que nous eussions conscience que les choses ne seraient plus jamais les mêmes ; il suffisait de lever les yeux pour savoir que le désastre se manifestait dans son expression la plus totale.

Tradabordo a dit…

Lors de ces interminables minutes de grand désespoir, nous souhaitions seulement que la torture s'achève, bien que nous eussions conscience que les choses ne seraient plus jamais les mêmes ; il suffisait de lever les yeux pour savoir que le désastre se manifestait dans son expression la plus totale.

OK.