samedi 14 septembre 2013

Projet Delphine 4 – phrase 15

Como si fuera poco la tierra seguía temblando, muchos recién en ese momento supimos el verdadero valor de la vida pero ya era tarde. Lloraban, imploraban, en el fondo el hecho de tratar de huir, solo era algo instintivo, el cuerpo actuaba como una máquina porque la voluntad ya estaba resignada.

Traduction temporaire :
Comme si cela ne suffisait pas, la terre tremblait toujours. À ce moment précis, beaucoup comprirent la valeur véritable de la vie, mais il était trop tard. Ils pleuraient, ils imploraient. Dans le fond, tenter de s'échapper était que purement instinctif, le corps se comportait comme une machine, car la volonté, elle, avait déjà abdiqué.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Como si fuera poco la tierra seguía temblando, muchos recién en ese momento supimos el verdadero valor de la vida pero ya era tarde. Lloraban, imploraban, en el fondo el hecho de tratar de huir, solo era algo instintivo, el cuerpo actuaba como una máquina porque la voluntad ya estaba resignada.

Pour couronner le tout, la terre continuait à trembler [ne pourrait-on pas mettre ici "le terre tremblait toujours" ou "la terre ne cessait de trembler" pour varier un peu autour de l'idée de continuité ? Car on a "continuer à" juste un peu plus haut]. À ce moment-même, beaucoup comprirent la véritable valeur de la vie mais il était déjà trop tard. Ils pleuraient, ils imploraient. Dans le fond, le fait de tenter de s'échapper n'était qu'instinctif, le corps se comportait comme une machine, car la volonté avait déjà abdiqué.

Tradabordo a dit…

Pour couronner le tout [pourquoi pas la trad littérale ?], la terre continuait à trembler [ne pourrait-on pas mettre ici "le terre tremblait toujours" OK ou "la terre ne cessait de trembler" pour varier un peu autour de l'idée de continuité ? Car on a "continuer à" juste un peu plus haut]. À ce moment-même, beaucoup comprirent la véritable valeur [inverse la syntaxe] de la vie [virgule] mais il était déjà trop tard. Ils pleuraient, ils imploraient. Dans le fond, le fait [essaie de te débrouiller sans « le fait »] de tenter de s'échapper n'était qu'instinctif, le corps se comportait comme une machine, car la volonté [cheville : « , elle, »] avait déjà abdiqué.

Unknown a dit…

Comme si cela ne suffisait pas, la terre tremblait toujours. À ce moment-même, beaucoup comprirent la valeur véritable de la vie, mais il était déjà trop tard. Ils pleuraient, ils imploraient. Dans le fond, tenter de s'échapper n'était qu'instinctif, le corps se comportait comme une machine, car la volonté, elle, avait déjà abdiqué.

Tradabordo a dit…

Comme si cela ne suffisait pas, la terre tremblait toujours. À ce moment-même [incorrect], beaucoup comprirent la valeur véritable de la vie, mais il était déjà [nécessaire ?] trop tard. Ils pleuraient, ils imploraient. Dans le fond, tenter de s'échapper n'était qu' [cheville : « que purement » ? ]instinctif, le corps se comportait comme une machine, car la volonté, elle, avait déjà abdiqué.

Unknown a dit…

Comme si cela ne suffisait pas, la terre tremblait toujours. À ce moment précis, beaucoup comprirent la valeur véritable de la vie, mais il était trop tard. Ils pleuraient, ils imploraient. Dans le fond, tenter de s'échapper n'était que purement instinctif, le corps se comportait comme une machine, car la volonté, elle, avait déjà abdiqué.

Tradabordo a dit…

Comme si cela ne suffisait pas, la terre tremblait toujours. À ce moment précis, beaucoup comprirent la valeur véritable de la vie, mais il était trop tard. Ils pleuraient, ils imploraient. Dans le fond, tenter de s'échapper n'était [sans la négation] que purement instinctif, le corps se comportait comme une machine, car la volonté, elle, avait déjà abdiqué.

Unknown a dit…


Comme si cela ne suffisait pas, la terre tremblait toujours. À ce moment précis, beaucoup comprirent la valeur véritable de la vie, mais il était trop tard. Ils pleuraient, ils imploraient. Dans le fond, tenter de s'échapper était que purement instinctif, le corps se comportait comme une machine, car la volonté, elle, avait déjà abdiqué.

Tradabordo a dit…

Comme si cela ne suffisait pas, la terre tremblait toujours. À ce moment précis, beaucoup comprirent la valeur véritable de la vie, mais il était trop tard. Ils pleuraient, ils imploraient. Dans le fond, tenter de s'échapper était que purement instinctif, le corps se comportait comme une machine, car la volonté, elle, avait déjà abdiqué.

OK.